C’est rendu public. Me Mbaye Jacques Diop, membre du directoire politique du Parti démocratique sénégalais (Pds), par ailleurs maire honoraire de la ville de Rufisque et ancien président du conseil pour la République, n’est pas candidat à la présidentielle de 2012. Il soutient la candidature de Me Abdoulaye Wade. Le juriste en Droit politique l’a fait savoir hier, sur les ondes de la Rfm.
En effet, selon ce dernier, l’ensemble des partis de l’opposition réunie au sein de Benno Siggil Senegaal, ne pourront jamais battre la Coalition Sopi pour toujours regroupant plus d’une dizaine de partis politiques de la mouvance présidentielle à l’élection présidentielle de 2012. « Ce n’est pas possible que Benno remporte l’élection présidentielle de 2012 dans la mesure où elle ne parvient même pas à avoir un candidat, tandis que nous, notre candidat est connu de tous, il s’agit de Me Abdoulaye Wade », a-t-il déclaré.
Toujours dans la perspective de l’élection présidentielle de 2012, Me Mbaye Jacques Diop se dit favorable à un audit du fichier électoral lors que interpellé sur la question. Il soutient à cet effet, que le régime libéral n’a rien à craindre et que son objectif principal demeure d’organiser des élections transparentes et propres, sans contestation. « Je suis d’accord pour un audit du fichier électoral pour qu’il n’y ait pas de suspicions », argue-t-il.
Pour ce qui est de la Crise casamançaise et de la reprise des hostilités depuis un certains temps dans cette partie sud du pays, l’ancien médiateur de la crise casamançaise de soutenir que la solution est à chercher du coté politique et non militaire même si l’armais fait du bon travail et continue d’en faire. A ce propos, il dira que « le problème casamançais est à la fois militaire et politique. Il faut s’assoir autour d’une table et régler définitivement ce problème qui a trop duré ».
Mbaye Jacques Diop reconnaît tout de même qu’il n’a pas totalement rempli sa mission de médiateur à la crise casamançaise.
S’agissant du cinquantenaire de notre accession à la souveraineté internationale, Me Mbaye Jacques Diop d’appeler l’opposition à participer sa célébration. « Même si on n’a pas envoyé à temps les cartons d’invitation, l’opposition doit savoir que le Sénégal nous appartient à tous. L’importance ce n’est pas de boycotter cette célébration de haute facture pour notre pays, mais de conforter l’Etat de Droit, la bonne gouvernance et la démocratie.
Interrogé en dernier lieu sur la fermeture des bases de l’armée française au Sénégal, Mbaye Jacques Diop soutient que cela a toujours été leur revendication depuis 1960. « Si se fait après cinquante ans, nous ne pouvons qu’applaudir », dira t il avant d’ajouter que « la présence de ces bases militaires sur notre sol constitue un danger et ne pose que des problèmes ».
En effet, selon ce dernier, l’ensemble des partis de l’opposition réunie au sein de Benno Siggil Senegaal, ne pourront jamais battre la Coalition Sopi pour toujours regroupant plus d’une dizaine de partis politiques de la mouvance présidentielle à l’élection présidentielle de 2012. « Ce n’est pas possible que Benno remporte l’élection présidentielle de 2012 dans la mesure où elle ne parvient même pas à avoir un candidat, tandis que nous, notre candidat est connu de tous, il s’agit de Me Abdoulaye Wade », a-t-il déclaré.
Toujours dans la perspective de l’élection présidentielle de 2012, Me Mbaye Jacques Diop se dit favorable à un audit du fichier électoral lors que interpellé sur la question. Il soutient à cet effet, que le régime libéral n’a rien à craindre et que son objectif principal demeure d’organiser des élections transparentes et propres, sans contestation. « Je suis d’accord pour un audit du fichier électoral pour qu’il n’y ait pas de suspicions », argue-t-il.
Pour ce qui est de la Crise casamançaise et de la reprise des hostilités depuis un certains temps dans cette partie sud du pays, l’ancien médiateur de la crise casamançaise de soutenir que la solution est à chercher du coté politique et non militaire même si l’armais fait du bon travail et continue d’en faire. A ce propos, il dira que « le problème casamançais est à la fois militaire et politique. Il faut s’assoir autour d’une table et régler définitivement ce problème qui a trop duré ».
Mbaye Jacques Diop reconnaît tout de même qu’il n’a pas totalement rempli sa mission de médiateur à la crise casamançaise.
S’agissant du cinquantenaire de notre accession à la souveraineté internationale, Me Mbaye Jacques Diop d’appeler l’opposition à participer sa célébration. « Même si on n’a pas envoyé à temps les cartons d’invitation, l’opposition doit savoir que le Sénégal nous appartient à tous. L’importance ce n’est pas de boycotter cette célébration de haute facture pour notre pays, mais de conforter l’Etat de Droit, la bonne gouvernance et la démocratie.
Interrogé en dernier lieu sur la fermeture des bases de l’armée française au Sénégal, Mbaye Jacques Diop soutient que cela a toujours été leur revendication depuis 1960. « Si se fait après cinquante ans, nous ne pouvons qu’applaudir », dira t il avant d’ajouter que « la présence de ces bases militaires sur notre sol constitue un danger et ne pose que des problèmes ».
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