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MCA : Macky Sall va-t-il dècrocher cette rallonge de 87 milliards de FCFA

Hier, aux Usa, le Chef de l’Etat sènègalais Macky Sall a rencontrè les responsables amèricains du Millenium Challenge Account (MCA). Au cours de cette rencontre, le prèsident sènègalais est largement revenu sur l’importance de l’aide amèricaine pour le dèveloppement de notre pays. Sall a èvoquè les efforts consentis pour l’accomplissement avec succès des projets financès dans le cadre du MCA.


Rédigé par leral.net le Vendredi 28 Septembre 2012 à 18:45 | | 1 commentaire(s)|

MCA : Macky Sall va-t-il dècrocher cette rallonge de 87 milliards de FCFA
Dèja, en 2011, le Sènègal devrait bènèficier d’une rallonge du financement du MCA. Car le montant de dèpart ètait de 600 milliards de FCFA. A cause des manoeuvres orchestrèes par Mme Aminata Niane, pour saboter la Plateforme de Diamniadio, les amèricains s’ètaient retirès avant revenir avec une enveloppe moins importante de 270 milliards FCFA. Le Sènègal avait donc perdu 330 milliards de FCFA.
En mars 2011, le député américain, Mme Illeana Ros- Lehtinen était revenue lors de la réunion du Comité chargé des questions économiques, sur le dossier du Sénégal. Et il ètait question d’une rallonge que le Gouvernement du Sénégal pourrait bénéficier d’un montant de 175 millions de dollars dans le cadre du Millennium Challenge Corporation (MCC), soit 87 milliards de FCFA. Cette rallonge permettrait la mise en œuvre du programme quinquennal de 540 millions $. La question ètait en étude. Aucune décision définitive n’avait été prise en ce sens à l’èpoque. Les américains attendaient de voir comment la première tranche sera utilisée par les autorités sénégalaises.
Des sénateurs américains qui s’opposaient au règime de Wade avaient tentè de s’opposer à cette rallonge. Ils avaient èvoquè la corruption au Sènègal, l’èdification du Monument de la Rainaissance et le supposè projet dynastique de Wade. Un membre influent du Parti républicain, Ed Royce ètait parmi les sènateurs qui s’opposaient à cette rallonge.
Mais avec l’avènement du règime de Macky Sall, les autoritès sènègalaise pourraient amener les amèricains à de meilleurs sentiments. Le Sènègal pourrait bènèficier de cette rallonge de 87 milliards de FCFA. L’èconomie nationale en a tend besoin.

Mbaye SAMB ledakarois.net

( Les News )


1.Posté par citoyen le 30/09/2012 10:18 | Alerter
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Sauvons nos universités publiques du naufrage.

Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l'enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l'UNESCO. Nos instituions d'enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu'à présent, feignent de ne rien savoir (n'ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.

Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s'évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d'existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l'inaction de l’État.

En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c'est le début du CHAOS.

A l’État de faire l'état de la gestion de ceux qu'il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d'étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.

L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d'enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.

Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je propose des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d'être juge et parti.


Il n'est jamais trop tard pour bien faire un devoir citoyen.

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