Qu’il accède au deuxième tour même à la deuxième place est aléatoire. Qu’il arrive troisième à l’issue du premier tour est réalisable.
Et paradoxalement c’est cette troisième place qui est la meilleure position pour lui, à défaut de gagner dés le premier tour ce qui est foncièrement impossible on l’a dit.
La raison est la suivante :
Si le candidat du PDS arrivait au deuxième tour avec MACKY SALL, il n’enregistrait aucun report de voix de la part des autres candidats, et serait battu à plate couture par MACKY qui lui, pourrait bénéficier de reports de voix. Dans ce cas le PDS ne participerait sous aucune forme à la nouvelle gestion des affaires du pays dirigée par MACKY SALL.
Par contre si MACKY SALL et le candidat de BENNOO SIGGIL SENEGAL ou de feu BENNO SIGGIL SENEGAL ou un autre candidat arrivent au deuxième tour, le candidat du PDS qui arriverait à la troisième place, serait à la noble position de faiseur de « ROI ».
Ce faisant, s’il négocie bien avec le candidat qu’il aura choisi, il le ferait gagner et serait parcellement au pouvoir avec lui. Alors il assurerait ses arrières et sauverait une partie de ses meubles.
Ce scénario qui est légitime, légal et démocratique serait le moins dramatique pour lui.
C’est à ce scénario que la seule constante du PDS Me WADE qui est constitutionnellement non partant, doit travailler de toutes ses forces pour sa réalisation.
Président tout n’est encore perdu. Mais envisager un seul instant de reporter la présidentielle de 2012 à 2014, c’est-à-dire proroger le mandat du président en fonction de deux ans, serait anticonstitutionnel, antidémocratique et créerait une situation conflictuelle qui pourrait embraser notre pays.
Des faucons de la mouvance présidentielle et des intellecto-mercenaires travaillent dans ce mauvais sens.
Cette idée de reporter la présidentielle de 2012 à 2014, était une proposition de IDRISSA SECK quand il était en négociation avec le Président ABDOULALAYE WADE, il ya de cela quelques mois.
Le deal était que le mandat du Président WADE qui doit prendre fin en 2012 coure jusqu’en 2014, et qu’en cette présidentielle reportée à 2014, IDRISSA SECK serait le candidat de la coalition du PDS avec l’aval et le soutien de Me WADE.
Mais l’entourage immédiat du Président WADE y était farouchement opposé, et l’affaire a capoté.
IDRISSA SECK tient aujourd’hui des propos hostiles à toute idée de report de la présidentielle de 2012, comme s’il en était étranger alors qu’il en est le père.
L’idée a été reprise par le Professeur JACQUES MARIEL NZOUANKEU, qui dans ses réflexions écrites en faveur d’une troisième candidature du Président WADE, envisage une impasse après la publication de la liste des candidats par le Conseil Constitutionnel (donc pour lui pas de doute la candidature de Me WADE sera validée), et nous prépare à deux cas de figure qu’il décrit comme suit :
1) la déception est telle que l’électorat est démobilisé estimant que les jeux sont déjà faits, et il en résultera une vaste abstention qui entachera le scrutin.
2) la déception est telle qu’il en résulte des troubles qui conduisent le Gouvernement à reporter l’élection présidentielle. La probabilité serait alors qu’elle soit reportée à 2014 ».
Cet éminent Professeur de droit constitutionnel, qui s’est impliqué jusqu’au cou dans notre situation pré-électorale, tient des propos partisans, aussi aberrants que dangereux du genre « c’est au seul regard des conditions de recevabilité inscrites dans le code électoral au nombre desquelles ne figurent pas celles prescrites par les articles 27 et 104 de la constitution, que le Conseil Constitutionnel examinera la recevabilité de la candidature du Président WADE à l’élection présidentielle de 2012 ». Quelle absurdité. Heureusement qu’il parle de recevabilité, qui de signifie pas validité pour les juristes sérieux et honnêtes.
Les propos du Professeur NZOUANKEU ne font que creuser d’avantage le fossé qui existe entre le pouvoir et l’opposition.
Il n’en qu’à se taire et nous laisser nous sénégalais, faire notre jeu électoral, notre jeu démocratique.
C’est par la suite que d’autres personnes comme Me OUSMANE SEYE, qui était un farouche défenseur d’une troisième candidature de Me WADE se dédie et propose le report de l’élection présidentielle de 2012 à 2014 et sans celui qui était son candidat le Président WADE.
Je fais observer aux apprentis sorciers et aux sorciers endiablés, que tout report de l’élection présidentielle de 2012 à quelque date que ce soit est anticonstitutionnel et antidémocratique, parce que ne se justifiant pas. Le mandat du Président de la République en fonction expire le 3 Avril 2012, passé ce délai il n’est plus Président de la République.
Le report de la présidentielle de 2012 est également contraire au protocole ASP du 01/12/01 de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne Gouvernance. Protocole qui prévoit de façon précise, qu’aucune réforme substantielle de la loi électorale ne doit intervenir dans les six mois précédant l’élection sans le consentement d’une large majorité des acteurs politiques.
Il prescrit également la tenue régulière des élections à date échue, l’observation des élections et l’assistance de la CEDEAO.
En conséquence, par respect à notre constitution, dont le Président de la République est le maître d’ouvrage et le constituant numéro un, et par respect aux engagements que notre pays a pris au sein de l’organisation d’intégration qu’est la CEDEAO, le Président de la République et les parlementaires qui ont l’initiative des lois doivent êtres les premiers à bannir toute idée de reporter l’élection présidentielle de 2012.
Il y va de la paix civile, et de l’avenir de la démocratie dans notre pays.
MOUSTAPHA FALL « CHE » SECRETAIRE GENERAL
ACTION PATRIOTIQUE DE LIBERATION (APL)
Source: netali.net
Et paradoxalement c’est cette troisième place qui est la meilleure position pour lui, à défaut de gagner dés le premier tour ce qui est foncièrement impossible on l’a dit.
La raison est la suivante :
Si le candidat du PDS arrivait au deuxième tour avec MACKY SALL, il n’enregistrait aucun report de voix de la part des autres candidats, et serait battu à plate couture par MACKY qui lui, pourrait bénéficier de reports de voix. Dans ce cas le PDS ne participerait sous aucune forme à la nouvelle gestion des affaires du pays dirigée par MACKY SALL.
Par contre si MACKY SALL et le candidat de BENNOO SIGGIL SENEGAL ou de feu BENNO SIGGIL SENEGAL ou un autre candidat arrivent au deuxième tour, le candidat du PDS qui arriverait à la troisième place, serait à la noble position de faiseur de « ROI ».
Ce faisant, s’il négocie bien avec le candidat qu’il aura choisi, il le ferait gagner et serait parcellement au pouvoir avec lui. Alors il assurerait ses arrières et sauverait une partie de ses meubles.
Ce scénario qui est légitime, légal et démocratique serait le moins dramatique pour lui.
C’est à ce scénario que la seule constante du PDS Me WADE qui est constitutionnellement non partant, doit travailler de toutes ses forces pour sa réalisation.
Président tout n’est encore perdu. Mais envisager un seul instant de reporter la présidentielle de 2012 à 2014, c’est-à-dire proroger le mandat du président en fonction de deux ans, serait anticonstitutionnel, antidémocratique et créerait une situation conflictuelle qui pourrait embraser notre pays.
Des faucons de la mouvance présidentielle et des intellecto-mercenaires travaillent dans ce mauvais sens.
Cette idée de reporter la présidentielle de 2012 à 2014, était une proposition de IDRISSA SECK quand il était en négociation avec le Président ABDOULALAYE WADE, il ya de cela quelques mois.
Le deal était que le mandat du Président WADE qui doit prendre fin en 2012 coure jusqu’en 2014, et qu’en cette présidentielle reportée à 2014, IDRISSA SECK serait le candidat de la coalition du PDS avec l’aval et le soutien de Me WADE.
Mais l’entourage immédiat du Président WADE y était farouchement opposé, et l’affaire a capoté.
IDRISSA SECK tient aujourd’hui des propos hostiles à toute idée de report de la présidentielle de 2012, comme s’il en était étranger alors qu’il en est le père.
L’idée a été reprise par le Professeur JACQUES MARIEL NZOUANKEU, qui dans ses réflexions écrites en faveur d’une troisième candidature du Président WADE, envisage une impasse après la publication de la liste des candidats par le Conseil Constitutionnel (donc pour lui pas de doute la candidature de Me WADE sera validée), et nous prépare à deux cas de figure qu’il décrit comme suit :
1) la déception est telle que l’électorat est démobilisé estimant que les jeux sont déjà faits, et il en résultera une vaste abstention qui entachera le scrutin.
2) la déception est telle qu’il en résulte des troubles qui conduisent le Gouvernement à reporter l’élection présidentielle. La probabilité serait alors qu’elle soit reportée à 2014 ».
Cet éminent Professeur de droit constitutionnel, qui s’est impliqué jusqu’au cou dans notre situation pré-électorale, tient des propos partisans, aussi aberrants que dangereux du genre « c’est au seul regard des conditions de recevabilité inscrites dans le code électoral au nombre desquelles ne figurent pas celles prescrites par les articles 27 et 104 de la constitution, que le Conseil Constitutionnel examinera la recevabilité de la candidature du Président WADE à l’élection présidentielle de 2012 ». Quelle absurdité. Heureusement qu’il parle de recevabilité, qui de signifie pas validité pour les juristes sérieux et honnêtes.
Les propos du Professeur NZOUANKEU ne font que creuser d’avantage le fossé qui existe entre le pouvoir et l’opposition.
Il n’en qu’à se taire et nous laisser nous sénégalais, faire notre jeu électoral, notre jeu démocratique.
C’est par la suite que d’autres personnes comme Me OUSMANE SEYE, qui était un farouche défenseur d’une troisième candidature de Me WADE se dédie et propose le report de l’élection présidentielle de 2012 à 2014 et sans celui qui était son candidat le Président WADE.
Je fais observer aux apprentis sorciers et aux sorciers endiablés, que tout report de l’élection présidentielle de 2012 à quelque date que ce soit est anticonstitutionnel et antidémocratique, parce que ne se justifiant pas. Le mandat du Président de la République en fonction expire le 3 Avril 2012, passé ce délai il n’est plus Président de la République.
Le report de la présidentielle de 2012 est également contraire au protocole ASP du 01/12/01 de la CEDEAO sur la démocratie et la bonne Gouvernance. Protocole qui prévoit de façon précise, qu’aucune réforme substantielle de la loi électorale ne doit intervenir dans les six mois précédant l’élection sans le consentement d’une large majorité des acteurs politiques.
Il prescrit également la tenue régulière des élections à date échue, l’observation des élections et l’assistance de la CEDEAO.
En conséquence, par respect à notre constitution, dont le Président de la République est le maître d’ouvrage et le constituant numéro un, et par respect aux engagements que notre pays a pris au sein de l’organisation d’intégration qu’est la CEDEAO, le Président de la République et les parlementaires qui ont l’initiative des lois doivent êtres les premiers à bannir toute idée de reporter l’élection présidentielle de 2012.
Il y va de la paix civile, et de l’avenir de la démocratie dans notre pays.
MOUSTAPHA FALL « CHE » SECRETAIRE GENERAL
ACTION PATRIOTIQUE DE LIBERATION (APL)
Source: netali.net