Pour ce qui est de la sécurité des populations, Me Ngom, tout en insistant sur «la présence massive des forces de l’ordre à l’intérieur du pays», a renseigné : «Nous allons continuer à appliquer ce que nous appelons la police de proximité, c'est-à-dire à mailler le territoire national de postes de police et de commissariats pour rapprocher toujours davantage les forces de sécurité des populations». Non sans rappeler les actes que le gouvernement a posé pour renforcer la sécurité des populations, notamment l'inauguration récente des postes de police de Malika et de Golf Sud.
Le ministre d'État a également promis, entre autres, l’ouverture des postes de police de Wakhinane Nimzat et de Jaxaay. «En plus de cela, nous allons continuer à l’intérieur du pays, à Bambey, à Bignona et dans d’autres zones. Le président de la République nous a donné les moyens. Les effectifs de la police vont être accrus pour que nous ayons le plus d’agents possible sur le terrain»», a-t-il renchéri.
Sur les actes qui relèvent du grand banditisme, Ousmane Ngom a relevé, pour s'en réjouir, que «la peur a déjà changé de camp». Car, a-t-il expliqué, «depuis plusieurs années, le grand banditisme, on ne le rencontre plus dans les villes, mais plutôt dans les campagnes». «Nous allons maintenir la position pour que nous puissions réduire au strict minimum la criminalité et le banditisme dans notre pays», a conclu le ministre de l'Intérieur.
Mously NDIAYE (Stagiaire)
Le Populaire
Le ministre d'État a également promis, entre autres, l’ouverture des postes de police de Wakhinane Nimzat et de Jaxaay. «En plus de cela, nous allons continuer à l’intérieur du pays, à Bambey, à Bignona et dans d’autres zones. Le président de la République nous a donné les moyens. Les effectifs de la police vont être accrus pour que nous ayons le plus d’agents possible sur le terrain»», a-t-il renchéri.
Sur les actes qui relèvent du grand banditisme, Ousmane Ngom a relevé, pour s'en réjouir, que «la peur a déjà changé de camp». Car, a-t-il expliqué, «depuis plusieurs années, le grand banditisme, on ne le rencontre plus dans les villes, mais plutôt dans les campagnes». «Nous allons maintenir la position pour que nous puissions réduire au strict minimum la criminalité et le banditisme dans notre pays», a conclu le ministre de l'Intérieur.
Mously NDIAYE (Stagiaire)
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