Et ces tenues traditionnelles qui corrélaient avec leurs chansons d’essence traditionnelle, même si elles étaient jouées sous une rythmique moderne, étaient embaumées par une fragrance enivrante à laquelle les hommes adultes ne pouvaient pas résister. D’ailleurs, elles savaient puissante la force d’attraction de ces tenues traditionnelles si bien que dans tous leurs clips ou lors de leurs concerts, elles mettaient en exergue un arsenal de ces types d’habillements. N’a-t-on pas vu dans beaucoup de clips une femme comme Kiné Lam porter tour à tour plusieurs boubous de valeur ? A un certain moment, le téléspectateur devise plus sur le port vestimentaire que sur la thématique de la chanson de la diva.
Mais les années 2000 semblent avoir effiloché cet intérêt accordé à ces tenues traditionnelles des cantatrices des années 80 de même que l’engoument portée à l’endroit de leurs chansons. Elles sont devenues ringardes, vieillottes ; leurs chansons et ports vestimentaires ne font plus recettes devant la modernité incarnée par une génération de sexy girls. Les grands boubous et les pagnes et autres tenues traditionnelles pudiques ont fait place aux jupettes, shorts moulants, aux décolletés, aux « Joumbax out » ou au dos nus osés. Seule Fatou Guéwel, qui n’est pas de cette génération 80 mais qui a le même style et les mêmes goûts (du côté chanson comme du côté vestimentaire), tient encore la corde au sein d’une meute de jeunes meufs audacieuses et mutines qui chantent et s’habillent moderne. Même Fatou Laobé, qui est du même calibre que l’autre Fatou précitée, met en relief ses rondeurs voluptueuses dans ses sorties cathodiques ou ses prestations sur scène. En effet, les jeunes cantatrices à taille fine ou à popotin pulpeux, comme les Coumba Gawlo Seck, Titi Tine, Viviane Chudid, Arame Thioye, le trio Alif arborent des tenues occidentales sexyssimes, abordent dans leurs chansons des thèmes salaces comme « Ma yeur li nga yoor », « sa li sa lé » de Coumba Gawlo, en les accordant à des déhanchements lascifs pour appâter un public si friand de ces satanismes. Dans plusieurs clips, les téléspectateurs s’intéressent plus à la mini-jupe tendance et les clins d’œil provoc de Coumba Gawlo, au décolleté de Titi qui laisse transparaître une poitrine bombée (comparable à celle de la sex symbol Scarlett Johansson) faisant pâlir d’envie plus d’une chanteuse, au short moulant de Viviane Chudid enveloppant des cuisses plantureuses dont plusieurs croyaient pigeonnantes, au pantalon serré de Arame Thioye qui a du mal à contenir son dodu popotin ou au bustier de Malouida bouffi par une poitrine capitonnée. Et sans oublier la robe hyper courte de la lolita affriolante du groupe Alif en l’occurrence Mamy Mbaye qui exhibe des cuisses lisses et charnues et les tenues sexyssimes de l’aguicheuse Amy Mbengue qui garde intact son sex appeal. Mais il faut aussi se dire que ces nymphes, qui font chavirer les cœurs des jeunes voire des hommes d’âge mûr, ont réussi à combiner harmonieusement avec brio thèmes érotiques dans leurs chansons et look sexy. Du coup, elles enterrent leurs pudiques devancières dépassées mais qui résistent à l’air du temps en refusant de déserter les tréteaux. Mark Senghor
Source : Icône Magazine/xalimasn com
Mais les années 2000 semblent avoir effiloché cet intérêt accordé à ces tenues traditionnelles des cantatrices des années 80 de même que l’engoument portée à l’endroit de leurs chansons. Elles sont devenues ringardes, vieillottes ; leurs chansons et ports vestimentaires ne font plus recettes devant la modernité incarnée par une génération de sexy girls. Les grands boubous et les pagnes et autres tenues traditionnelles pudiques ont fait place aux jupettes, shorts moulants, aux décolletés, aux « Joumbax out » ou au dos nus osés. Seule Fatou Guéwel, qui n’est pas de cette génération 80 mais qui a le même style et les mêmes goûts (du côté chanson comme du côté vestimentaire), tient encore la corde au sein d’une meute de jeunes meufs audacieuses et mutines qui chantent et s’habillent moderne. Même Fatou Laobé, qui est du même calibre que l’autre Fatou précitée, met en relief ses rondeurs voluptueuses dans ses sorties cathodiques ou ses prestations sur scène. En effet, les jeunes cantatrices à taille fine ou à popotin pulpeux, comme les Coumba Gawlo Seck, Titi Tine, Viviane Chudid, Arame Thioye, le trio Alif arborent des tenues occidentales sexyssimes, abordent dans leurs chansons des thèmes salaces comme « Ma yeur li nga yoor », « sa li sa lé » de Coumba Gawlo, en les accordant à des déhanchements lascifs pour appâter un public si friand de ces satanismes. Dans plusieurs clips, les téléspectateurs s’intéressent plus à la mini-jupe tendance et les clins d’œil provoc de Coumba Gawlo, au décolleté de Titi qui laisse transparaître une poitrine bombée (comparable à celle de la sex symbol Scarlett Johansson) faisant pâlir d’envie plus d’une chanteuse, au short moulant de Viviane Chudid enveloppant des cuisses plantureuses dont plusieurs croyaient pigeonnantes, au pantalon serré de Arame Thioye qui a du mal à contenir son dodu popotin ou au bustier de Malouida bouffi par une poitrine capitonnée. Et sans oublier la robe hyper courte de la lolita affriolante du groupe Alif en l’occurrence Mamy Mbaye qui exhibe des cuisses lisses et charnues et les tenues sexyssimes de l’aguicheuse Amy Mbengue qui garde intact son sex appeal. Mais il faut aussi se dire que ces nymphes, qui font chavirer les cœurs des jeunes voire des hommes d’âge mûr, ont réussi à combiner harmonieusement avec brio thèmes érotiques dans leurs chansons et look sexy. Du coup, elles enterrent leurs pudiques devancières dépassées mais qui résistent à l’air du temps en refusant de déserter les tréteaux. Mark Senghor
Source : Icône Magazine/xalimasn com