Officieusement, l'ancien Premier ministre, candidat déclaré à la présidentielle de février 2012, va tenter de rencontrer les officiels gabonais, à commencer par le président Ali Bongo Ondimba.
Pour ce faire, "Macky", comme le surnomment ses compatriotes, peut compter sur certains de ses partisans qui sont des personnes d'influence au Gabon. Parmi lesquelles Abdoulaye Sally Sall, un transitaire qui a pignon sur rue dans ce pays où il est installé depuis plusieurs années et a bien gagné sa vie. L'opposant peut aussi bénéficier d'un coup de pouce du président burkinabè, Blaise Compaoré, dont il est devenu proche, auprès de son homologue gabonais.
Comme tous les opposants du continent, Macky Sall tient à avoir ses entrées au Palais du bord de mer qui, pendant le règne plus que quarantenaire d'Omar Bongo, était le passage obligé de tous les hommes politiques soucieux de trouver les moyens de financement de leur activité. Courant 2009, le leader de l'APR avait tenté de rencontrer Omar Bongo, à qui il avait d'ailleurs adressé un courrier dans ce sens. Mais la procédure a été stoppée net avec le tollé soulevé par Abdoulaye Wade qui a accusé son ex-Premier ministre de "blanchir" de l'argent que lui a remis Bongo, avec la complicité d'Abdoulaye Sally Sall.
politicosn.com
Pour ce faire, "Macky", comme le surnomment ses compatriotes, peut compter sur certains de ses partisans qui sont des personnes d'influence au Gabon. Parmi lesquelles Abdoulaye Sally Sall, un transitaire qui a pignon sur rue dans ce pays où il est installé depuis plusieurs années et a bien gagné sa vie. L'opposant peut aussi bénéficier d'un coup de pouce du président burkinabè, Blaise Compaoré, dont il est devenu proche, auprès de son homologue gabonais.
Comme tous les opposants du continent, Macky Sall tient à avoir ses entrées au Palais du bord de mer qui, pendant le règne plus que quarantenaire d'Omar Bongo, était le passage obligé de tous les hommes politiques soucieux de trouver les moyens de financement de leur activité. Courant 2009, le leader de l'APR avait tenté de rencontrer Omar Bongo, à qui il avait d'ailleurs adressé un courrier dans ce sens. Mais la procédure a été stoppée net avec le tollé soulevé par Abdoulaye Wade qui a accusé son ex-Premier ministre de "blanchir" de l'argent que lui a remis Bongo, avec la complicité d'Abdoulaye Sally Sall.
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