L’une des premières mesures du nouveau gouvernement à la tête duquel se trouve le banquier Abdoul Mbaye a été la baisse des prix de certaines denrées de consommation courante. Mais cette baisse n’a pas été bien sentie par les ménages, toujours sous le fardeau de la cherté de la vie.
Macky Sall aborda la question des audits, mais n’est pas allé au bout de sa logique, car quelques mois après son installation en tant que quatrième président du Sénégal, l’ancien maire de Fatick nomma Aminata Niane, pourtant citée dans un rapport d’audit, ministre conseiller.
N’eurent été les inondations, Macky Sall aurait maintenu le Sénat, institution budgétivore et "inopportune", pensent une frange importante de l’opinion publique. Le président de la République, de retour de voyage en Afrique du Sud, annonça la suppression de la Chambre haute du Parlement. Mais non sans préciser que cette suppression relevait du provisoire. Quid du Conseil économique et social ? Ladite chambre de l’appareil législatif aura aussi pour vocation de se pencher sur des questions environnementales ! N’est-ce pas là une manière de recaser ceux qui étaient présentés au Sénat ?
L’austérité déclarée par le pouvoir ne semble pas respectée : des infos ont fait état de la possibilité pour le président Sall d’augmenter la taille du gouvernement. Sans parler de la proposition qu’aurait faite la Secrétaire générale de la Présidence, Aminata Tall, d’augmenter le salaire des conseillers au palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor.
Ferloo.com
Macky Sall aborda la question des audits, mais n’est pas allé au bout de sa logique, car quelques mois après son installation en tant que quatrième président du Sénégal, l’ancien maire de Fatick nomma Aminata Niane, pourtant citée dans un rapport d’audit, ministre conseiller.
N’eurent été les inondations, Macky Sall aurait maintenu le Sénat, institution budgétivore et "inopportune", pensent une frange importante de l’opinion publique. Le président de la République, de retour de voyage en Afrique du Sud, annonça la suppression de la Chambre haute du Parlement. Mais non sans préciser que cette suppression relevait du provisoire. Quid du Conseil économique et social ? Ladite chambre de l’appareil législatif aura aussi pour vocation de se pencher sur des questions environnementales ! N’est-ce pas là une manière de recaser ceux qui étaient présentés au Sénat ?
L’austérité déclarée par le pouvoir ne semble pas respectée : des infos ont fait état de la possibilité pour le président Sall d’augmenter la taille du gouvernement. Sans parler de la proposition qu’aurait faite la Secrétaire générale de la Présidence, Aminata Tall, d’augmenter le salaire des conseillers au palais de l’avenue Léopold Sédar Senghor.
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