C’est dans une salle archi-comble composée d’Africains et d’Européens amis de l’Afrique que le Maire de Francfort a délivré son message de bienvenue. À la suite de l’édile de Francfort, M. Macky Sall a présenté un exposé sur les 50 ans d’indépendance des pays africains, en insistant sur les réussites et les échecs. M. Sall a rappelé les exigences de la mondialisation qui nécessitent des États forts avec des marchés compétitifs. À ce titre, il a souligné l’urgence pour les pays africains à se conformer aux nouvelles réalités de la globalisation.
Ensuite, ce fut autour de M. Eloy Coly d’expliquer l’origine et les mécanismes de la traite négrière en prenant l’exemple de l’île de Gorée.
À 19 h 30, M. Souleymane Jules Diop, très attendu par le public, a présenté une conférence intitulée : « 50 ans d’indépendance. Politiques de développement et Perspectives : l’exemple du Sénégal ». Le public a pu mesurer, avec satisfaction, que le savoir de Souleymane Jules Diop ne se limite pas seulement à l’échelle nationale, mais s’étend au-delà du continent. En rappelant le combat des pères fondateurs du panafricanisme, Jules (comme l’appellent les familiers) a honoré toute une génération d’hommes de refus.
Le lendemain 21 Août à 16 h, le Président de l’APR M. Macky Sall a animé une conférence politique devant les membres et sympathisants de l’APR venus des quatre coins de l’Europe.
Dans une atmosphère très détendue, M. Macky Sall a dénoncé la situation gravissime que traverse le pays ainsi que les souffrances quotidiennes des Sénégalais. C’est un Macky Sall très décontracté, usant souvent de l’humour qui caricature et dénonce en même temps le projet en cours de dévolution monarchique du pouvoir. Dans son discours, M. Sall a aussi assumé pleinement sa part de responsabilité dans son cheminement avec l’actuel régime. En parlant de la réalité du pouvoir au quotidien, le Président de l’APR confie quelques confidences à son auditoire notamment sa rencontre avec feu Mamadou Dia trois semaines après la publication de son article contre le Grand Maodo. Les révélations du conférencier ont montré la noblesse d’âme, la sacralité de la démocratie chez le disparu.
À l’endroit des critiques qui l’accusent de mener une opposition trop passive à l’endroit du projet monarchique du Président de la République, Macky Sall répond que si le pouvoir en place essaie de reculer la date des élections ou s’il tente d’imposer quelqu’un par des voies autres que démocratiques, les Sénégalais s’auront s’il est un guerrier ou pas.
politicosn.com
Ensuite, ce fut autour de M. Eloy Coly d’expliquer l’origine et les mécanismes de la traite négrière en prenant l’exemple de l’île de Gorée.
À 19 h 30, M. Souleymane Jules Diop, très attendu par le public, a présenté une conférence intitulée : « 50 ans d’indépendance. Politiques de développement et Perspectives : l’exemple du Sénégal ». Le public a pu mesurer, avec satisfaction, que le savoir de Souleymane Jules Diop ne se limite pas seulement à l’échelle nationale, mais s’étend au-delà du continent. En rappelant le combat des pères fondateurs du panafricanisme, Jules (comme l’appellent les familiers) a honoré toute une génération d’hommes de refus.
Le lendemain 21 Août à 16 h, le Président de l’APR M. Macky Sall a animé une conférence politique devant les membres et sympathisants de l’APR venus des quatre coins de l’Europe.
Dans une atmosphère très détendue, M. Macky Sall a dénoncé la situation gravissime que traverse le pays ainsi que les souffrances quotidiennes des Sénégalais. C’est un Macky Sall très décontracté, usant souvent de l’humour qui caricature et dénonce en même temps le projet en cours de dévolution monarchique du pouvoir. Dans son discours, M. Sall a aussi assumé pleinement sa part de responsabilité dans son cheminement avec l’actuel régime. En parlant de la réalité du pouvoir au quotidien, le Président de l’APR confie quelques confidences à son auditoire notamment sa rencontre avec feu Mamadou Dia trois semaines après la publication de son article contre le Grand Maodo. Les révélations du conférencier ont montré la noblesse d’âme, la sacralité de la démocratie chez le disparu.
À l’endroit des critiques qui l’accusent de mener une opposition trop passive à l’endroit du projet monarchique du Président de la République, Macky Sall répond que si le pouvoir en place essaie de reculer la date des élections ou s’il tente d’imposer quelqu’un par des voies autres que démocratiques, les Sénégalais s’auront s’il est un guerrier ou pas.
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