Dans une démocratie moderne, telle que nous la vivons au Sénégal, le peuple souverain, choisit son leader qui devient par ricochet son serviteur officiel. Ainsi depuis le 25 mars 2012, Macky, préside aux destinées de notre pays afin de panser les maux que Wade, l’avilisseur a laissé lors de son passage à la tête du Sénégal.
Macky Sall n’est pas sorti de l’ENFOM comme Abdou Diouf ; il n’a pas fait le lycée Louis le Grand comme Senghor. Dans l’axe du temps politique sénégalais, il est postcolonial dans l’esprit et dans la pratique. Etant né après les indépendances il est délesté de tout complexe vis-à-vis de l’Occident contrairement à Wade qui est allé chercher un semblant de noblesse à Versailles.
Tout compte fait, Macky Sall est un fils du peuple. Il est le fils de chaque famille sénégalaise. Il est né dans ce pays, y a grandi, y a reçu sa formation professionnelle, et a toujours travaillé pour le Sénégal. Ainsi, Il représente l’espoir et le modèle que l’on voudrait donner à chaque élève et étudiant de ce pays. Il incarne ces valeurs de jom, de kersa, de paspas qu’on aimerait voir en chaque fils et fille du pays. In fine, Macky Sall est un pur produit local.
En acceptant ce rôle de Président, il s’est préparé à tout, y compris aux diatribes hideuses et dangereuses qui constituent l’arme d’un clan politique aujourd’hui au banc des accusés. Sinon qu’est-ce qui explique sa hauteur et son flegme, si ce n’est le contexte difficile dans lequel il a trouvé le pays au soir du 25 mars? Qu’est-ce qui donc occuperait ses pensées au quotidien pour qu’il ne prête aucune attention au débat oiseux?
Pendant que Wade débitait des insanités sur d’honnêtes gens dans le confort de son salon dakarois, Macky Sall était dans le fin fond du pays, en Casamance justement là où le même Wade avait promis la paix en 100 jours.
Macky Sall a hérité d’un pays déstructuré, sans repères et sans valeurs, une dette publique qui plombe l’économie, avec des paysans sans intrants, des éleveurs sans pâturages, et un PDS déchu dont nombre de ses dignitaires sont assis sur des milliards subtilisés au peuple.
C’est face à ces défis tant structurels que conjoncturels que Macky Sall a mis en place une politique publique ardue pour remettre notre économie sur les rails. Sans beaucoup de ressources, il a instauré les bourses familiales qui soulagent les plus démunis d’entre nous ; il a procédé à une baisse des impôts sur le revenu, du carburant et du gaz, du loyer pour booster le pouvoir d’achat. Il a stabilisé des prix des denrées de première nécessité et a mis en place une politique agressive d’autosuffisance en riz qui diminue nos importations et renforce l’économie locale.
La masse paysanne n’a jamais était aussi soutenue avec la mise à disposition d’intrants pour améliorer la production agricole. Le Ranch de Dolly a été rendu aux éleveurs pour retrouver sa vocation pastorale et secourir les éleveurs en fourrage durant les périodes de soudure. Pour continuer à accompagner les éleveurs et à accroître l’économie sur pied, le Président a instruit son gouvernement de subventionner l’aliment de bétail.
On comprend dès lors pourquoi Macky Sall n’est pas en mesure de combiner une politique publique qui s’attaque à toutes les urgences auxquelles le Sénégal fait face et dans le même temps accorder une once d’attention à celui qui a choisi de battre les records de l’indécence et de la vulgarité. Wade est un récidiviste devant l’éternel.
Wade, avilisseur du Peuple
L’image que le peuple non amnésique garde de Wade, ce n’est pas seulement la plus chère corniche du monde, mais aussi la grâce des assassins de Maître Babacar Sèye, le bateau le Joola avec des milliers de vies humaines perdues, le 23 juin 2011, la mallette de Segura, les 91 milliards du Fesman dans le vent, le jet privé d’un arrogant super ministre qui ne voyageait pas avec les Sénégalais. L’image qui colle à la peau de Wade c’est celui qui a refusé d’être le Mandela du Sénégal, tellement il est inconscient de ce que le peuple a fait pour lui.
En refusant de garder sa réserve et son crédit pour verser dans la calomnie la plus abjecte, il est temps d’examiner l’internement du vieillard qui visiblement n’a pas de conseiller. Même Abdoulaye Mbaye Pekh, son griot attitré, n’a pu le ramener à la raison. Wade a brûlé son habit d’ancien président sur la place publique, donc traitons le comme tel!
Moussa SOW
Citoyen meurtri
UGB/Pndip@yahoo.com
Macky Sall n’est pas sorti de l’ENFOM comme Abdou Diouf ; il n’a pas fait le lycée Louis le Grand comme Senghor. Dans l’axe du temps politique sénégalais, il est postcolonial dans l’esprit et dans la pratique. Etant né après les indépendances il est délesté de tout complexe vis-à-vis de l’Occident contrairement à Wade qui est allé chercher un semblant de noblesse à Versailles.
Tout compte fait, Macky Sall est un fils du peuple. Il est le fils de chaque famille sénégalaise. Il est né dans ce pays, y a grandi, y a reçu sa formation professionnelle, et a toujours travaillé pour le Sénégal. Ainsi, Il représente l’espoir et le modèle que l’on voudrait donner à chaque élève et étudiant de ce pays. Il incarne ces valeurs de jom, de kersa, de paspas qu’on aimerait voir en chaque fils et fille du pays. In fine, Macky Sall est un pur produit local.
En acceptant ce rôle de Président, il s’est préparé à tout, y compris aux diatribes hideuses et dangereuses qui constituent l’arme d’un clan politique aujourd’hui au banc des accusés. Sinon qu’est-ce qui explique sa hauteur et son flegme, si ce n’est le contexte difficile dans lequel il a trouvé le pays au soir du 25 mars? Qu’est-ce qui donc occuperait ses pensées au quotidien pour qu’il ne prête aucune attention au débat oiseux?
Pendant que Wade débitait des insanités sur d’honnêtes gens dans le confort de son salon dakarois, Macky Sall était dans le fin fond du pays, en Casamance justement là où le même Wade avait promis la paix en 100 jours.
Macky Sall a hérité d’un pays déstructuré, sans repères et sans valeurs, une dette publique qui plombe l’économie, avec des paysans sans intrants, des éleveurs sans pâturages, et un PDS déchu dont nombre de ses dignitaires sont assis sur des milliards subtilisés au peuple.
C’est face à ces défis tant structurels que conjoncturels que Macky Sall a mis en place une politique publique ardue pour remettre notre économie sur les rails. Sans beaucoup de ressources, il a instauré les bourses familiales qui soulagent les plus démunis d’entre nous ; il a procédé à une baisse des impôts sur le revenu, du carburant et du gaz, du loyer pour booster le pouvoir d’achat. Il a stabilisé des prix des denrées de première nécessité et a mis en place une politique agressive d’autosuffisance en riz qui diminue nos importations et renforce l’économie locale.
La masse paysanne n’a jamais était aussi soutenue avec la mise à disposition d’intrants pour améliorer la production agricole. Le Ranch de Dolly a été rendu aux éleveurs pour retrouver sa vocation pastorale et secourir les éleveurs en fourrage durant les périodes de soudure. Pour continuer à accompagner les éleveurs et à accroître l’économie sur pied, le Président a instruit son gouvernement de subventionner l’aliment de bétail.
On comprend dès lors pourquoi Macky Sall n’est pas en mesure de combiner une politique publique qui s’attaque à toutes les urgences auxquelles le Sénégal fait face et dans le même temps accorder une once d’attention à celui qui a choisi de battre les records de l’indécence et de la vulgarité. Wade est un récidiviste devant l’éternel.
Wade, avilisseur du Peuple
L’image que le peuple non amnésique garde de Wade, ce n’est pas seulement la plus chère corniche du monde, mais aussi la grâce des assassins de Maître Babacar Sèye, le bateau le Joola avec des milliers de vies humaines perdues, le 23 juin 2011, la mallette de Segura, les 91 milliards du Fesman dans le vent, le jet privé d’un arrogant super ministre qui ne voyageait pas avec les Sénégalais. L’image qui colle à la peau de Wade c’est celui qui a refusé d’être le Mandela du Sénégal, tellement il est inconscient de ce que le peuple a fait pour lui.
En refusant de garder sa réserve et son crédit pour verser dans la calomnie la plus abjecte, il est temps d’examiner l’internement du vieillard qui visiblement n’a pas de conseiller. Même Abdoulaye Mbaye Pekh, son griot attitré, n’a pu le ramener à la raison. Wade a brûlé son habit d’ancien président sur la place publique, donc traitons le comme tel!
Moussa SOW
Citoyen meurtri
UGB/Pndip@yahoo.com