Et entre autres requêtes déroulées sur les murs de la Raddho, on peut lire « d’ abord le retour à l’ordre constitutionnel, à la légalité, à la sécurité et à la démocratie ; le dialogue après. Madagascar est en deuil de sa souveraineté. Marc Ravalomanana, on l’a élu ; GTT demande le retour à la légalité. Non aux putschistes. Reconnaître TGV et la Haute autorité pour la transition (HAT), c’est approuver, encourager et stimuler les coups d’Etat dans le monde. Non à la consultation populaire organisée par les putschistes… ».
Le Collectif GTT a déclaré, par ailleurs, poursuivre André Rajoelina là où il ira pour dénoncer à la face du monde « sa tentative de légitimation du pouvoir ». A cet effet, il se démarque des autorités sénégalaises qui sont les premières à recevoir le président autoproclamé de Madagascar. Cela en contradiction avec la décision de l’Union africaine qui, à travers le groupe consultatif sur la situation à Madagascar affirmant « le rejet par leurs organisations et pays respectifs du changement anticonstitutionnel intervenu à Madagascar et demandant à tous les membres de la communauté internationale de s’abstenir de toute action qui pourrait compliquer les efforts visant à restaurer l’ordre constitutionnel à Madagascar ».
Dans le même sillage, il qualifie de « mensonge » le communiqué envoyé depuis Dakar à Madagascar par la délégation de Rajoelina que « le Président de la République du Sénégal, Abdoulaye Wade, reconnaît ce dernier comme président de la République de Madagascar ».
GTT s’interroge également sur l’attitude la France. Cela en faisant ainsi allusion aux indiscrétions de la réunion entre le Conseil de paix et sécurité (CPS) et l’Union Africaine (Ua) le 30 avril 2009. « D’après les premières indiscrétions qui ont filtré à Africa Hall, la durée de la réunion s’explique par le fait que la France était réticente à désavouer, de manière ouverte, le gouvernement d’Andry Rajoelina. Le deuxième point qui aurait allongé la réunion, c’est celui de l’établissement des listes des personnes visées par les sanctions ».
Abdou TIMERA ferloo.com
Le Collectif GTT a déclaré, par ailleurs, poursuivre André Rajoelina là où il ira pour dénoncer à la face du monde « sa tentative de légitimation du pouvoir ». A cet effet, il se démarque des autorités sénégalaises qui sont les premières à recevoir le président autoproclamé de Madagascar. Cela en contradiction avec la décision de l’Union africaine qui, à travers le groupe consultatif sur la situation à Madagascar affirmant « le rejet par leurs organisations et pays respectifs du changement anticonstitutionnel intervenu à Madagascar et demandant à tous les membres de la communauté internationale de s’abstenir de toute action qui pourrait compliquer les efforts visant à restaurer l’ordre constitutionnel à Madagascar ».
Dans le même sillage, il qualifie de « mensonge » le communiqué envoyé depuis Dakar à Madagascar par la délégation de Rajoelina que « le Président de la République du Sénégal, Abdoulaye Wade, reconnaît ce dernier comme président de la République de Madagascar ».
GTT s’interroge également sur l’attitude la France. Cela en faisant ainsi allusion aux indiscrétions de la réunion entre le Conseil de paix et sécurité (CPS) et l’Union Africaine (Ua) le 30 avril 2009. « D’après les premières indiscrétions qui ont filtré à Africa Hall, la durée de la réunion s’explique par le fait que la France était réticente à désavouer, de manière ouverte, le gouvernement d’Andry Rajoelina. Le deuxième point qui aurait allongé la réunion, c’est celui de l’établissement des listes des personnes visées par les sanctions ».
Abdou TIMERA ferloo.com