Si les 5000 francs ajoutés sur le prix de la tonne de ciment, le portant à 65 000, ont été enlevés depuis les injonctions des autorités pour ramener le prix de la tonne à son prix initial, il n’en reste pas moins que les difficultés persistent pour se procurer du ciment actuellement dans le pays. Les différents revendeurs affirment que les livraisons sont devenues très lentes et une situation de manque du produit est ainsi créée sur le marché.
Pour Momar Ndao, « ce sont les quotataires qui achètent et revendent le ciment, qui créent cette situation et favorisent ainsi un marché noir pour revendre le ciment beaucoup plus cher ». Le consumériste est formel, « il y a une mafia dans le secteur du ciment et le ministère du Commerce sait ce qui se passe ». Et de déplorer, « ils ont sorti un arrêté pour faire revenir les choses à la normale, mais il n’y a pas d’application, ils doivent donc faire en sorte que la mesure ainsi prise soit appliquée ».
Dans tous les cas, martèle Momar Ndao, « une augmentation du prix du ciment ne se justifie pas au Sénégal. « Ils sont exonérés de taxes et il y a une baisse des prix des intrants comme le carburant et l’électricité, donc il est inadmissible que l’on augment le prix du ciment au Sénégal ».
Surtout que, fait encore remarquer Momar Ndao, « c’est la troisième fois qu’on essaie d’augmenter le ciment, qui est un produit essentiel au Sénégal, parce le souci de chaque sénégalais est de se construire une maison. Dans chaque quartier où vous allez, il y a des chantiers. En plus, le Sénégal est en train de construire une ville nouvelle à Diamniadio. Pour vous dire que la demande est très forte ».
Pour Momar Ndao, « ce sont les quotataires qui achètent et revendent le ciment, qui créent cette situation et favorisent ainsi un marché noir pour revendre le ciment beaucoup plus cher ». Le consumériste est formel, « il y a une mafia dans le secteur du ciment et le ministère du Commerce sait ce qui se passe ». Et de déplorer, « ils ont sorti un arrêté pour faire revenir les choses à la normale, mais il n’y a pas d’application, ils doivent donc faire en sorte que la mesure ainsi prise soit appliquée ».
Dans tous les cas, martèle Momar Ndao, « une augmentation du prix du ciment ne se justifie pas au Sénégal. « Ils sont exonérés de taxes et il y a une baisse des prix des intrants comme le carburant et l’électricité, donc il est inadmissible que l’on augment le prix du ciment au Sénégal ».
Surtout que, fait encore remarquer Momar Ndao, « c’est la troisième fois qu’on essaie d’augmenter le ciment, qui est un produit essentiel au Sénégal, parce le souci de chaque sénégalais est de se construire une maison. Dans chaque quartier où vous allez, il y a des chantiers. En plus, le Sénégal est en train de construire une ville nouvelle à Diamniadio. Pour vous dire que la demande est très forte ».