En effet, profitant du séjour de Anta Sarr, la ministre chargée des Femmes et de la Famille, à l'occasion de la célébration de la journée du 8 mars, notre compatriote Sokhna Nata Samb, Administratrice du FAISE, a choisi cette mémorable journée qui célèbre toutes les femmes du monde, pour humilier et déshonorer ses consœurs, pour la plupart des militantes d l'APR.
Ces braves femmes étaient toutes porteuses d'une étude de faisabilité de projet, souvent payée très chère pour prétendre bénéficier du financement mis à leur disposition, par le président de la République, afin de les aider à booster leur business en perte de vitesse, une conséquence des crises économiques et financières qui continuent à rendre très difficiles les conditions d 'existence et de survie des expatriés.
Quel beau geste du Président, quelle bonne initiative si l'esprit du président et ses consignes étaient suivis à la lettre. Mais non, loin de là.
Mais, c'est bien en réalité, ce qu'à tenté d' honorer le consul général, en dépit de son refus d'élargir son comité de pilotage dont on ne connaît aucun membre, si ce n'est lui même, le président.
En toute vraisemblance, tout était fait et bien fait avant l'arrivée de madame Nata Samb. Cette dernière, en complicité avec monsieur Pape Barro Gassama, responsable politique de l'APR, membre de la famille du président Sall, a pris l'initiative de reprendre le travail exécuté sur une période de six mois par le consul général, monsieur Sidy Niang.
En quelques heures Sokhna Nata a pondu sa propre liste des bénéficiaires, constituée en partie de ses anciennes camarades de promotion, des amis et des griots, toutes avec une rare élégance, toutes souriantes face à leur amie, dans une salle pleine.
Pour donner un cachet populaire et tromper la vigilance du président de la République, madame à fait convoquer toutes les dames de la communauté détentrices ou pas de projets, sous les caméras de la télévision nationale. Tout le monde sait que l'APR USA ne peut pas remplir une aussi grande salle.
La communauté sénégalaise est choquée, ses propres sœurs et frères du parti n'en croient pas toujours les yeux. Madame à trompé tout son beau monde. Sur les quatre cent mille dollars, madame n'a pas dépensé le tiers, ou est le reste de l'argent ? À quel fin le reste de cet argent est prévu ? Est ce une directive de dernière heure, du fait de cette incommodité ? Les fonds ne seront jamais remboursés par ses rares amis qui en bénéficient, des fonds perdus pour reprendre la tendance officieuse et populaire.
Madame n'a pas financé un seul projet. Pas un seul alors! Madame a approuvé des noms fictifs, des femmes d'autres Etats, certainement des militantes acquises à sa cause.
Je trouve étonnant le cas de cette dame, informée par son camarade, avoir entendu son nom cité parmi les bénéficiaires, le jour de la remise cérémonie symbolique des chèques.
Très excitée, la dame appelle le consulat, on lui dit que si elle n'est pas contactée, c'est qu'elle n'est pas attributaire.... C'est vraiment bizarre et scandaleux !!!!
C'est comme nous sommes gérés par un autre régime, autre que celui du président Macky Sall. L'homme qui prône la politique vertueuse et la gestion rigoureuse des ressources du pays. L'homme qui a mis tout le monde en prison, pour malversation.
Non, nous ne laisserons jamais passer ce hold up, cette mascarade, ce vol organisé bien mûri et inintelligent mis en exécution par madame Mbacké.
Je me souviens très bien de ce genre de pratiques, au temps où le président Macky Sall était premier ministre. Une somme pareille avait été mise à la disposition des femmes du pds, sous la conduite de madame Aida Mbodj, responsable et ministre des femmes à l'époque.
Cet argent avait fini entre les mains des présidents de sections libérales fictives. C'est dire que madame Nata Samb, n'est pas étrangère à cette pratique, mais qu'elle sache que même si les régimes ont changé, les hommes sont restes les mêmes. Ceux là qui veillent au prix de leur vie, des agissements inélégants et malhonnêtes, de cette nature.
La communauté sénégalaise par ma voix interpelle le ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l'extérieur, le directeur général des sénégalais de l'extérieur et enfin le président de la République, à prendre toutes les mesures nécessaires pour éclairer les sénégalaises de la diaspora américaine et les rétablir dans leur droit, cette injustice doublée d'une tentative d'humiliation, savamment orchestrée et mise en application par madame Nata Samb, ne saura jamais prospérer.
L'on ne peut pas emprisonner des auteurs de malversations et laisser madame Nata Samb, libre.
Enfin, la suppression du FAISE est le souhait de tous les expatriés, car selon eux, convoyer de l'argent à partir du Sénégal et les mettre à la dispositions (de l'APR ) de la diaspora, demeure un " délit" et un non sens... La priorité est ailleurs, car même si l'esprit est juste, la méthode est nébuleuse.
Le moins qu'on puisse admettre, c'est de conserver l'agence et demander à ceux qui veulent se faire financer, de déposer leurs études de projets dans les services consulaires ou au service des affaires économiques et sociales de l'ambassade du Sénégal à Washington et ces derniers les achemineront à leur tour à Dakar, au siège de l'agence.
C'est l'ultime recommandation, sur laquelle nous attendons les autorités compétentes et à leur tête le président de la République. Si rien n'est fait, en dehors de la cérémonie de restitution des chèques symboliquement distribués de cinq mille dollars, une journée de protestation et de siting dans les locaux du Consulat général de New York sera organisée le 4 avril prochain, à l'occasion de la célébration de notre indépendance pour protester contre le hold up du siècle.
Madere Fall
Cpasa
USA
Ces braves femmes étaient toutes porteuses d'une étude de faisabilité de projet, souvent payée très chère pour prétendre bénéficier du financement mis à leur disposition, par le président de la République, afin de les aider à booster leur business en perte de vitesse, une conséquence des crises économiques et financières qui continuent à rendre très difficiles les conditions d 'existence et de survie des expatriés.
Quel beau geste du Président, quelle bonne initiative si l'esprit du président et ses consignes étaient suivis à la lettre. Mais non, loin de là.
Mais, c'est bien en réalité, ce qu'à tenté d' honorer le consul général, en dépit de son refus d'élargir son comité de pilotage dont on ne connaît aucun membre, si ce n'est lui même, le président.
En toute vraisemblance, tout était fait et bien fait avant l'arrivée de madame Nata Samb. Cette dernière, en complicité avec monsieur Pape Barro Gassama, responsable politique de l'APR, membre de la famille du président Sall, a pris l'initiative de reprendre le travail exécuté sur une période de six mois par le consul général, monsieur Sidy Niang.
En quelques heures Sokhna Nata a pondu sa propre liste des bénéficiaires, constituée en partie de ses anciennes camarades de promotion, des amis et des griots, toutes avec une rare élégance, toutes souriantes face à leur amie, dans une salle pleine.
Pour donner un cachet populaire et tromper la vigilance du président de la République, madame à fait convoquer toutes les dames de la communauté détentrices ou pas de projets, sous les caméras de la télévision nationale. Tout le monde sait que l'APR USA ne peut pas remplir une aussi grande salle.
La communauté sénégalaise est choquée, ses propres sœurs et frères du parti n'en croient pas toujours les yeux. Madame à trompé tout son beau monde. Sur les quatre cent mille dollars, madame n'a pas dépensé le tiers, ou est le reste de l'argent ? À quel fin le reste de cet argent est prévu ? Est ce une directive de dernière heure, du fait de cette incommodité ? Les fonds ne seront jamais remboursés par ses rares amis qui en bénéficient, des fonds perdus pour reprendre la tendance officieuse et populaire.
Madame n'a pas financé un seul projet. Pas un seul alors! Madame a approuvé des noms fictifs, des femmes d'autres Etats, certainement des militantes acquises à sa cause.
Je trouve étonnant le cas de cette dame, informée par son camarade, avoir entendu son nom cité parmi les bénéficiaires, le jour de la remise cérémonie symbolique des chèques.
Très excitée, la dame appelle le consulat, on lui dit que si elle n'est pas contactée, c'est qu'elle n'est pas attributaire.... C'est vraiment bizarre et scandaleux !!!!
C'est comme nous sommes gérés par un autre régime, autre que celui du président Macky Sall. L'homme qui prône la politique vertueuse et la gestion rigoureuse des ressources du pays. L'homme qui a mis tout le monde en prison, pour malversation.
Non, nous ne laisserons jamais passer ce hold up, cette mascarade, ce vol organisé bien mûri et inintelligent mis en exécution par madame Mbacké.
Je me souviens très bien de ce genre de pratiques, au temps où le président Macky Sall était premier ministre. Une somme pareille avait été mise à la disposition des femmes du pds, sous la conduite de madame Aida Mbodj, responsable et ministre des femmes à l'époque.
Cet argent avait fini entre les mains des présidents de sections libérales fictives. C'est dire que madame Nata Samb, n'est pas étrangère à cette pratique, mais qu'elle sache que même si les régimes ont changé, les hommes sont restes les mêmes. Ceux là qui veillent au prix de leur vie, des agissements inélégants et malhonnêtes, de cette nature.
La communauté sénégalaise par ma voix interpelle le ministre des affaires étrangères et des sénégalais de l'extérieur, le directeur général des sénégalais de l'extérieur et enfin le président de la République, à prendre toutes les mesures nécessaires pour éclairer les sénégalaises de la diaspora américaine et les rétablir dans leur droit, cette injustice doublée d'une tentative d'humiliation, savamment orchestrée et mise en application par madame Nata Samb, ne saura jamais prospérer.
L'on ne peut pas emprisonner des auteurs de malversations et laisser madame Nata Samb, libre.
Enfin, la suppression du FAISE est le souhait de tous les expatriés, car selon eux, convoyer de l'argent à partir du Sénégal et les mettre à la dispositions (de l'APR ) de la diaspora, demeure un " délit" et un non sens... La priorité est ailleurs, car même si l'esprit est juste, la méthode est nébuleuse.
Le moins qu'on puisse admettre, c'est de conserver l'agence et demander à ceux qui veulent se faire financer, de déposer leurs études de projets dans les services consulaires ou au service des affaires économiques et sociales de l'ambassade du Sénégal à Washington et ces derniers les achemineront à leur tour à Dakar, au siège de l'agence.
C'est l'ultime recommandation, sur laquelle nous attendons les autorités compétentes et à leur tête le président de la République. Si rien n'est fait, en dehors de la cérémonie de restitution des chèques symboliquement distribués de cinq mille dollars, une journée de protestation et de siting dans les locaux du Consulat général de New York sera organisée le 4 avril prochain, à l'occasion de la célébration de notre indépendance pour protester contre le hold up du siècle.
Madere Fall
Cpasa
USA