«Nous demandons le rétablissement de l’ordre constitutionnel, des élections, elles étaient programmées pour le mois d’avril, il faut qu’elles aient lieu le plus vite possible pour que le peuple malien puisse s’exprimer». Les militaires mutinés au Mali sont apparus tôt jeudi à la télévision nationale pour annoncer qu’Amadou Toumani Touré n’était plus chef de l’Etat et qu’ils s’étaient emparés du pouvoir du fait de l’incapacité des autorités à mater la rébellion touarègue dans le nord du pays.
Ils ont ajouté que les institutions étaient dissoutes, que la Constitution était suspendue et qu’ils remettraient le pouvoir à un nouveau gouvernement démocratiquement élu, cela, ont-ils souligné, dès que le pays serait réunifié et que son intégrité ne serait plus menacée. «Nous travaillons depuis des mois avec nos partenaires de la région et les organisations régionales pour engager un dialogue entre les rebelles du Nord, les Touaregs, et le régime», a indiqué Alain Juppé.
20minutes.fr
Ils ont ajouté que les institutions étaient dissoutes, que la Constitution était suspendue et qu’ils remettraient le pouvoir à un nouveau gouvernement démocratiquement élu, cela, ont-ils souligné, dès que le pays serait réunifié et que son intégrité ne serait plus menacée. «Nous travaillons depuis des mois avec nos partenaires de la région et les organisations régionales pour engager un dialogue entre les rebelles du Nord, les Touaregs, et le régime», a indiqué Alain Juppé.
20minutes.fr