C’est le journal L’Observateur qui s’est penché sur le portrait du numéro 2 de l’Alliance des forces du progrès (Afp). A coeur ouvert, Malick Gackou s’est livré au jeu de questions-réponses de notre consœur Adama Dieng de l’Observateur.
De son enfance, à son cursus scolaire en passant par sa vie d’homme politique, le natif de Guédiawaye n’a rien laissé au hasard.
A ceux qui l’accusent d’être derrière les agissements de Malick Guéye et cie, il dira qu’il n’est pas à leur niveau et que son “seul et unique interlocuteur à l’Afp, c’est Moustapha Niasse et les sages qui l’entourent”.
Malick Gakou reconnait qu’il y a des divergence entre lui et Moustapha Niasse à cause de la question de la candidature de l’Afp à la présidentielle de 2017.
“Aujourd’hui, il faut admettre que nous avons de sérieux divergences sur la manière d’aborder les perspectives politiques de l’Afp et principalement sur la question de la présidentielle de 2017. Je milite pour une candidature de l’Afp à ces élections et lui non”, explique-t-il à l’Obs.
“Je ne peux pas répondre à tout ce qui se dit sur moi parce que je ne suis pas bavard et je garde beaucoup d’humilité, en plus j’ai trop de respect pour le peuple sénégalais. Je ne peux pas avancer masqué, sinon je n’aurais pas démissionné du gouvernement, je n’ai jamais été cireur de bottes de qui que ce soit, j’ai toujours été un homme de convictions. Mais je n’avance pas non plus sans réfléchir, la tête en l’air”, martèle-t-il.
Actusen.com
De son enfance, à son cursus scolaire en passant par sa vie d’homme politique, le natif de Guédiawaye n’a rien laissé au hasard.
A ceux qui l’accusent d’être derrière les agissements de Malick Guéye et cie, il dira qu’il n’est pas à leur niveau et que son “seul et unique interlocuteur à l’Afp, c’est Moustapha Niasse et les sages qui l’entourent”.
Malick Gakou reconnait qu’il y a des divergence entre lui et Moustapha Niasse à cause de la question de la candidature de l’Afp à la présidentielle de 2017.
“Aujourd’hui, il faut admettre que nous avons de sérieux divergences sur la manière d’aborder les perspectives politiques de l’Afp et principalement sur la question de la présidentielle de 2017. Je milite pour une candidature de l’Afp à ces élections et lui non”, explique-t-il à l’Obs.
“Je ne peux pas répondre à tout ce qui se dit sur moi parce que je ne suis pas bavard et je garde beaucoup d’humilité, en plus j’ai trop de respect pour le peuple sénégalais. Je ne peux pas avancer masqué, sinon je n’aurais pas démissionné du gouvernement, je n’ai jamais été cireur de bottes de qui que ce soit, j’ai toujours été un homme de convictions. Mais je n’avance pas non plus sans réfléchir, la tête en l’air”, martèle-t-il.
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