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Mamadou Lamine Diallo crache ses vérités: "Moustapha Niasse n’est pas dans la rupture…Je trouve que c’est une honte"

Mamadou Lamine Diallo a étalé toute sa désapprobation du fonctionnement de l’Assemblée nationale. Pour le leader du mouvement « Tekki », la rupture chantée à gauche et à droite n’est qu’une chimère.


Rédigé par leral.net le Samedi 19 Octobre 2013 à 15:55 | | 7 commentaire(s)|

Mamadou Lamine Diallo crache ses vérités: "Moustapha Niasse n’est pas dans la rupture…Je trouve que c’est une honte"
Le leader du mouvement « Tekki » est en désaccord avec le fonctionnement de l’Assemblée nationale. Pour Mamadou Lamine Diallo, la rupture tant louée par la majorité actuelle n’est pas effective. Lamine Diallo est allé un peu plus loin en déclarant dans les colonnes du quotidien l’Observateur que Moustapha Niass travaille pour Macky Sall. «Moustapha Niasse n’est pas dans la rupture. Je l’ai observé pendant une année. Je l’ai entendu, j’ai lu ses écrits, son discours, notamment lors de la Journée des institutions l’année dernière, tout cela me conforte dans l’idée qu’il n’est pas pour la rupture, qu’il est pour une Assemblée nationale à la solde du président de la République. C’est cela la conception profonde de Moustapha Niasse», a t-il confié.
Par rapport au discours du président de l’Assemblée nationale après son élection, Mamadou Lamine Diallo l’a trouvé carrément décalé des attentes des populations et de la classe politique. «Je trouve que c’est une honte. C’est une façon de jeter en pâture les députés. Les populations vont croire que les députés sont là pour leurs propres intérêts. Il ne faut pas donner l’impression que nous ne sommes là que pour des avantages personnels. Il faut qu’on discute des politiques publiques présentées par l’Exécutif, qu’on contrôle l’action du gouvernement… Ce discours était un peu décalé par rapport aux attentes à la fois des députés, du M23, des Assises nationales et des populations», commente t-il.
«Je suis encore plus déçu dans le fond, parce que je me rends compte que la conception politique que Moustapha niasse a de l’Assemblée nationale est en déphasage avec ce que nous avons signé dans la Charte des Assises nationales. C’est décevant et inacceptable. Nous ne pouvons pas avoir une Assemblée comme celle sous Senghor, c’est révolu», a fait savoir le député.

Senego

MLD


1.Posté par Atypico le 19/10/2013 14:24 | Alerter
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Est - il normal et sain que ce soit le Président de la République du Sénégal qui, en tant que président en exercice de l'APR, vienne faire la leçon aux députés du peuples, membres de la coalition BBY? Je ne le pense pas . Qu'en est - il du coup, de la liberté de conscience du citoyen député qui doit plier l'échine devant l'exécutif quoique cet exécutif réalise et en l'ocurrence ne réalise rien des promesses électorales et de la rupture annocée au départ et qui a justifié la constitution de la coalition BBY et le vote des populations pour les candidats BBY. L'intervention de Macky comme maître de "députés esclaves" dans la maison BBY qui ne défend plus que sa personne et non ses promesses de départ est un non sens total, une preuve que " la république bananière" n'est pas si éloignée de nous que nous le souhaitions. Wade sans Wade, des députés non du peuple mais de la volonté exclusive du président ...déprimant ce monde de politi...chien chiens !

2.Posté par Abdou le 19/10/2013 14:30 | Alerter
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Cette Affaire doit être celle du Peuple sénégalais qui doit se lever et dire ses quatre Vérités à ces gens qui n'ont aucune vergogne !! Malheureusement c'est le même système pourri qui continue depuis Senghor et les Sénégalais seuls peuvent y mettre un terme définitif ...

3.Posté par DANGOTE AU CAMEROUN le 19/10/2013 16:11 | Alerter
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Cameroun - Un autre scandale à Douala : RODEO et DANGOTE même combat :: CAMEROON

Après la scandaleuse implantation de la Cimenterie Dangote sur base de corruption des membres du gouvernement et de certaines élites locales, la ville de Douala et ses habitants vivent actuellement un autre scandale sur le plan environnemental. Douala présente désormais le visage d’une ville à la dérive: une cité sans foi ni loi, gangrénée par la pollution, où le désordre est généralisé, le civisme absent, la corruption rampante, les industries polluantes et dangereuses implantées illégalement, les agressions quotidiennes, les incendies à répétition, les accidents meurtriers récurrents, les immeubles instables écrasant leurs occupants, les restaurants sur le trottoir, la gestion des déchets approximative, les transports en commun inexistants … Mais rassurons-nous selon le Délégué du Gouvernement cela ira mieux en 2025.

Encore une promesse. On nous avait promis la santé pour tous en l’an 2000, et pendant que nous attendons toujours, on nous annonce que le Cameroun sera émergeant en 2035. Quelle dérision.

C’est surement pour atteindre cette émergence que la société RODEO DEVELPPMENT LTD, dont le capital se répartit entre deux sociétés américaines et la SNH, construit un gazoduc traversant la ville. Sans respecter la législation environnementale en vigueur, exactement comme DANGOTE : on distribue des enveloppes et dès lors, on se croit tout permis. C’est également pour cette raison que le Ministre de l’Environnement HELLE Pierre a décidé de faire la guerre aux sacs en plastique, en rappelant que tout contrevenant sera puni d’une forte amende et d’emprisonnement à partir de …. 2014.

Comment peut-il se moquer ainsi des populations ? Comment une loi qui est bafouée par son propre département ministériel dans les cas de l’implantation de l’usine de cimenterie et de la construction du gazoduc connaîtra-t-elle un meilleur sort dans celui de la gestion des déchets ? Comment peut-il penser motiver les opérateurs économiques et les ménages sur ce sujet, quand il donne par ailleurs un mauvais exemple de non respect de la loi qu’il est chargé de faire appliquer ?

Dans l’affaire du gazoduc comme dans celle de la cimenterie, les travaux ont commencé alors que la phase de discussions visant à aplanir les préoccupations des populations n’était pas terminée. Alors que pour NDOGPASSI III, les familles déguerpies du site n’étaient pas encore indemnisées. Contrairement aux promesses du Ministre des Mines, Badel NDANGA NDINGA, celui-là même qui a orchestré en toute illégalité, la pose de la première pierre de la cimenterie DANGOTE, avec ses collègues Bello BOUBA MAÏGARI et Louis Paul MOTAZE.

Enveloppes pour les décideurs, intimidations et menaces pour les populations, lorsqu’elles veulent faire valoir leurs droits à être consultées pour les projets industriels et dangereux initiés dans leur voisinage. Conformément à la loi. A NDOGPASSI III, lieu d’implantation de l’usine RODEO, l’eau potable reste une denrée rare, l’électricité est accessible seulement au tiers des ménages, la collecte des ordures est inexistante et la connexion téléphonique irrégulière. A tous ces désagréments vécus quotidiennement, les populations non déguerpies doivent faire face en plus, aux dangers liés à la proximité de cette usine de gaz érigée sans délimitation d’un périmètre de sécurité : on y trouve des habitations jusqu’au niveau de la guérite !

Mais il y a pire. Si l’Etude d’Impact Environnemental du site de NDOGPASSI III a été escamotée, celle de la construction de son gazoduc de plus de 15 km, devant relier l’usine à ses clients dans les zones portuaire et industrielle de BONABERI, n’a tout simplement pas été réalisée. Les travaux à ce jour sont largement avancés. Les tuyaux jonchent les bords de la chaussée. Les employés et leurs machines s’activent chaque jour tout au long du tracé, à enfouir les tuyaux près des habitations, des écoles, des stations services, du chemin de fer, des immeubles de bureaux, des routes largement fréquentées, sans aucune information et sensibilisation des populations riveraines au tracé.

En guise d’exemple, le pipeline Tchad-Cameroun qui pourtant ne transporte que du pétrole brut difficilement inflammable et explosif, a été construit hors des zones habitées, dans des tranchées de 2 mètres de profondeur, avec une emprise de 10 à 15 mètres de part et d’autre du tracé, interdite à tout accès. Pour le gazoduc traversant Douala aucune de ces précautions n’a été prise. Aucune disposition légale n’est respectée.

Or le gazoduc, au même titre que la cimenterie, est une installation classée dangereuse - en raison du gaz qui est un produit qui peut facilement s’enflammer et exploser - soumise à la réalisation d’une Etude d’Impact Environnemental au cours de laquelle les populations doivent être consultées selon une procédure clairement définie par la loi, d’une Etude de Dangers et d’une enquête publique avec une nouvelle fois l’obligation de recueillir l’avis des populations. Toutes choses qui ne sont pas effectives dans ces deux projets.

Le Groupe DANGOTE s’entête à construire son usine de ciment à la Base Elf, refusant un autre site dont les travaux d’aménagements nécessiteraient des coûts supplémentaires. Pourtant on nous le présente comme un Groupe milliardaire. Il devient soudain fauché comme des blés, quand il peut faire des économies sur le dos des populations. De même pour RODEO, dont l’une des variantes du projet consistait à faire passer les tuyaux de gaz par les drains de la ville.

Trop cher pour les américains, pourtant milliardaires en dollars. Et la SNH ayant financé deux fois un avion sans que celui-ci soit livré et sans savoir quelle destination a prise l’argent, n’a plus un sou de plus à mettre dans un projet, uniquement pour les beaux yeux d’une population qui du reste, ne sera pas mise au courant.

Il faut pourtant rappeler que Douala a parfois frôlé la catastrophe ces dernières années : les couvercles des cuves de la SCDP près du Pont sur le Wouri ont sauté, créant une panique générale parmi les passants ; idem à la suite d’un écoulement important de produits au carrefour Agip ; le Chef de l’Etat a failli être la victime d’un grave incident d’origine électrique lors d’un discours Place du Gouvernement, les câbles électriques ayant été sectionnés lors des fouilles réalisées pour l’installation de sa tribune ; tout dernièrement, d’autres fouilles effectuées pour les travaux de pose de la fibre optique ont causé le sectionnement de la canalisation chargée d’alimenter l’aéroport de Douala en kérosène, répandant ce produit entre les habitations dont les occupants ont été déguerpis en catastrophe.

La prévention des risques n’est jamais intégrée aux différents travaux et projets réalisés dans la ville. C’est à chaud, lorsque les risques latents se sont déjà réalisés sous forme d’accidents, que les décisions sont prises, dans la précipitation, et toujours au détriment des populations. Or, des mesures de précaution élémentaires auraient l’avantage de pallier à l’avance, aux dérisoires moyens de protection civile de la ville, à l’inorganisation administrative et à l’absence de coordination entre les différents services de la ville.

Face à une administration aux ordres, aux élus serviles et atones, aux gestionnaires de la ville amorphes et incompétents en matière de gestion des risques urbains, il s’agit pour les populations de reconquérir la parole et d’exiger que les droits que leur confère la législation environnementale soient respectés. Seules leur réelle implication dans tous les processus en cours et leur forte mobilisation autour de ces enjeux pourraient mettre fin aux manquements, aux irrégularités et aux actes illicites posés par des opérateurs économiques véreux avec la complicité des autorités locales.

4.Posté par DANGOTE AU CAMEROUN le 19/10/2013 16:12 | Alerter
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Les premiers sacs de ciment de Dangote annoncés pour janvier 2014

Le milliardaire nigérian Aliko Dangote produira avant la fin de cette année 1 500 000 tonnes de ciment par an au Cameroun. De jour comme de nuit, des ouvriers s’activent sur le site de l’usine situé sur les berges du fleuve Wouri à Douala. Selon un contrôleur du chantier, l’usine de broyage de clinker en construction progresse bien et sera opérationnel d’ici la fin de l’année. Soit avec environ six mois de retard selon les premières prévisions qui étaient fixés au deuxième trimestre de 2013. Ce retard est dû aux nombreuses oppositions des riverains et des associations de défense de l’environnement qui n’avaient pas hésité à ester le géant nigérian en justice.

En effet, attiré par le leadership du Cameroun dans la sous région d’Afrique centrale, Aliko Dangote avait crée Dangote Industries (Cameroun) Ltd, une filiale de son groupe basé au Nigéria. Inoni Ephraim, l’ancien premier ministre va solliciter du milliardaire au cours d’une rencontre en 2008, la construction d’une usine de ciment au Cameroun pour juguler la pénurie que connaît le pays. L’homme d’affaire qui compte de nombreuses cimenteries ailleurs dans son portefeuille en Afrique accède à la demande. Il crée alors la Dangote Cement Plc qui est intégré à Dangote Industries (Cameroun) Ltd. Le 19 septembre 2011 trois conventions sont signées avec le ministère camerounais des mines et du développement technologique. Le site de la base Elf situé sur les berges du Wouri lui est proposé sur recommandation du président Paul Biya. Celui-ci est situé tout juste en face des Cimenterie du Cameroun, une propriété du groupe français Lafarge. Dangote s’engage alors à investir 57 milliards de Fcfa dans la construction d’une unité moderne de production de ciment.

Alors que les travaux sont lancés, il va subir des oppositions des communautés riveraines et des hommes politiques qui vont aboutir à des arrêts de travaux. L’arbitrage des tribunaux et l’aval du président Paul Biya lui donne raison, ouvrant la voie à la reprise des travaux. Aliko Dangote promet de livrer les premiers sacs de ciments produits au Cameroun en 2014.

5.Posté par FREEMAN le 19/10/2013 17:11 | Alerter
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en tout cas, je prefere m'accouprir devant ce monsieur Dangote qui cree au moins des emplois que devant les maitres chanteurs de tout bord( toute ecurie ou comme comme vous voulez..tarrikha).
Honnetement, Wade a donné les terres de Pout au Marabout et il est rappelé a Dieu 2 ou 4 mois aprés..et maintenant ces fils veulent 6 milliards pour remplir leurs poches.. N'importe quoi ce pays.
Please, aplliquons les enseignements et valeurs de Cheikh Ahmadou Bamba et non de profiter de son nom pour se remplir les poches
Wa salam

6.Posté par tathia le 19/10/2013 20:22 | Alerter
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en tout cas le peuple attend la rupture, il n'est jamais tard pour faire du bien. bravo à Mamadou Lamine DIALLO.


7.Posté par pacotille le 20/10/2013 15:30 | Alerter
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Mouvement TEKKI, Tekki wouléne thiotou ndayame
vous êtes des aigris et des haineux parce que vous ne représentez rien dans ce pays
avant toi c'était Me ndeye Fatou Touré cette peste qui ment plus qu'elle ne respire et ne pense qu'à ses poches et sa bouche c'est pourquoi vous ne lui avez pas laisse le poste cette fois ci.
chaque fois qu'on distribue des faveurs à l'assemblée vous avez pris votre part
pauvre con

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