« Papito Kara du Pastef est mort dans une pirogue Barsax, au large de l’Espagne. Ce jeune Sénégalais brillant, courageux et patriote, s'est engagé dans l'action politique au sein du Pastef. Comme tout le monde le sait, qui veut noyer Sonko, l'accuse de tous les péchés recensés par tous les dictateurs depuis la nuit des temps », regrette Mamadou Lamine Diallo.
Selon lui, Papiko Kara, pourchassé du Sénégal, a voulu faire comme des milliers de ses compatriotes, rejoindre l'Europe par les pirogues. Dans cette logique, il précise que ceux qui prennent les pirogues se sentent persécutés et considèrent qu’ils ne peuvent plus vivre dans notre pays.
L’économiste de formation estime que c'est une honte pour BBY, avec son slogan, « un Sénégal pour tous ». L’auteur de Questekki réitère, en soutenant que c'est une tragédie que vit notre jeunesse, qui n'a plus d'espoir en notre pays. Il a chargé le gouvernement, en déclarant que le régime en place afficherait une indifférence qui traduirait leur manque de courage patriotique.
Mamadou Lamine Diallo revient à la charge et met à l'index le Premier ministre et son ministre des Finances. « Le ministre des Finances dépense, à coup de centaines de millions, pour la campagne déguisée en tournées économiques d’Amadou Bâ. Ces dépenses sont soigneusement cachées au peuple et aux députés.»
Tribune
Selon lui, Papiko Kara, pourchassé du Sénégal, a voulu faire comme des milliers de ses compatriotes, rejoindre l'Europe par les pirogues. Dans cette logique, il précise que ceux qui prennent les pirogues se sentent persécutés et considèrent qu’ils ne peuvent plus vivre dans notre pays.
L’économiste de formation estime que c'est une honte pour BBY, avec son slogan, « un Sénégal pour tous ». L’auteur de Questekki réitère, en soutenant que c'est une tragédie que vit notre jeunesse, qui n'a plus d'espoir en notre pays. Il a chargé le gouvernement, en déclarant que le régime en place afficherait une indifférence qui traduirait leur manque de courage patriotique.
Mamadou Lamine Diallo revient à la charge et met à l'index le Premier ministre et son ministre des Finances. « Le ministre des Finances dépense, à coup de centaines de millions, pour la campagne déguisée en tournées économiques d’Amadou Bâ. Ces dépenses sont soigneusement cachées au peuple et aux députés.»
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