« Un pays émergent est un pays pauvre qui a une forte croissance et celle-ci s’inscrit dans la durée ». C’est ainsi que Mamadou Ndoye la définit un pays émergent. Ce qui n’est pas le cas pour le Sénégal dont l’économie dégringole de jour en jour. « En 2006, nous avons connu notre première chute à 03% de croissance contre 5,6% pour le reste des pays de l’Afrique. En 2010, nous pouvons chuter à moins de 2% », dit-il.
« Quand on a une croissance économique qui tend vers la récession économique comment donc, peut on dire qu’on est un pays émergent » s’interroge-t-il ; avant de regretter comment les ressources nationales sont mal distribuées. En effet, s’insurge-t-il « 20% de la population qui s’accaparent de 80% des richesses. Tandis que les secteurs qui devraient booster l’économie nationale s’écroulent et on assiste à la réduction de l’investissement étranger à cause de la pollution dans les affaires mais aussi la corruption ».
Evoquant le volet scolaire caractérisé par la volonté des autorités de supprimer l’entrée en 6ème, Mamadou Ndoye donne un avis mitigé. « S’il s’agit de l’obligation scolaire de dix années d’étude pour offrir aux jeunes une opportunité d’insertion à la fin du cycle secondaire, c’est quelque chose de merveilleux », précise-t-il avant de relativiser que tout ce qui est souhaitable n’est pas possible. Surtout, argue-t-il « cette volonté de supprimer l’entrée en 6ème sans planification, ni réflexion, on risque de ne pas avoir de gains supplémentaires mais de pertes de ce que nous avons voulu faire ».
Par ailleurs, après avoir reconnu que le Sénégal est un pays corrompu, Mamadou Ndoye estime que ce qui est grave c’est que rien n’est fait pour lutter contre le phénomène. « Au contraire, on encourage la corruption au Sénégal », s’indigne-t-il.
« Si Karim Wade est compétent pour bénéficier tous ces portefeuilles ministériels, il ne l’a pas montré dans l’opposition, c’est après l’accession de son père au pouvoir, (lui qui a engagé les Sénégalais dans une lutte avec souvent des morts d’homme) qu’on a connu Karim Wade » répond ainsi Mamadou Ndoye comme pour répondre à Wade qui déclarait que son fils est compétent.
S’agissant de la dévolution monarchique qu’on prêterait au chef de l’Etat, Mamadou Ndoye pense que tout le monde est responsable de cette situation pour ne pas construire une riposte nécessaire.
Ferloo.com
« Quand on a une croissance économique qui tend vers la récession économique comment donc, peut on dire qu’on est un pays émergent » s’interroge-t-il ; avant de regretter comment les ressources nationales sont mal distribuées. En effet, s’insurge-t-il « 20% de la population qui s’accaparent de 80% des richesses. Tandis que les secteurs qui devraient booster l’économie nationale s’écroulent et on assiste à la réduction de l’investissement étranger à cause de la pollution dans les affaires mais aussi la corruption ».
Evoquant le volet scolaire caractérisé par la volonté des autorités de supprimer l’entrée en 6ème, Mamadou Ndoye donne un avis mitigé. « S’il s’agit de l’obligation scolaire de dix années d’étude pour offrir aux jeunes une opportunité d’insertion à la fin du cycle secondaire, c’est quelque chose de merveilleux », précise-t-il avant de relativiser que tout ce qui est souhaitable n’est pas possible. Surtout, argue-t-il « cette volonté de supprimer l’entrée en 6ème sans planification, ni réflexion, on risque de ne pas avoir de gains supplémentaires mais de pertes de ce que nous avons voulu faire ».
Par ailleurs, après avoir reconnu que le Sénégal est un pays corrompu, Mamadou Ndoye estime que ce qui est grave c’est que rien n’est fait pour lutter contre le phénomène. « Au contraire, on encourage la corruption au Sénégal », s’indigne-t-il.
« Si Karim Wade est compétent pour bénéficier tous ces portefeuilles ministériels, il ne l’a pas montré dans l’opposition, c’est après l’accession de son père au pouvoir, (lui qui a engagé les Sénégalais dans une lutte avec souvent des morts d’homme) qu’on a connu Karim Wade » répond ainsi Mamadou Ndoye comme pour répondre à Wade qui déclarait que son fils est compétent.
S’agissant de la dévolution monarchique qu’on prêterait au chef de l’Etat, Mamadou Ndoye pense que tout le monde est responsable de cette situation pour ne pas construire une riposte nécessaire.
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