Les activités des sciences, de la technologie et de l’innovation sont universellement reconnues non seulement comme le moteur du développement économique, mais aussi et surtout un contributeur clé à la réduction de la pauvreté et un élément central pour atteindre un développement durable », soutient le directeur de l’enseignement supérieur et de la recherche, Mamadou Sangaré qui pense que c’est un atelier très important et on a des pays comme le Ghana et le Burkina Fasso qui sont venus assister.
C’est un atelier de formation sur la collecte, le stockage, l’analyse de données de recherche scientifique. Nos structures de recherche sont tellement éclatées qui aujourd’hui, il est impossible de savoir ce qu’on a fait ou ce qu’on n’a pas fait. Il nous faut des moyens pour regrouper toutes ces structures, de renforcer leur compétence et permettre à l’Etat de prendre la bonne décision.
Pour relever le défi de priorité de développement de nos pays comme une agriculture de développement, la sécurité alimentaire, les énergies renouvelables, la construction d’un système de santé performant, favoriser la création des entreprises exploitant les retombées, la compétitivité des entreprises des STI. Il nous faut fonder nos économies sur des stratégies nationales en se focalisant sur des données scientifiques probantes pour éclairer les décisions des gouvernants en rapport avec le développement économique et social de nos pays, selon le directeur dans son discours.
« Le gouvernement manifeste une forte volonté d’appuyer la recherche scientifique et l’innovation technologique », dit M. Sangaré qui estime que c’est dans cette dynamique que onze décisions importantes ont été prises par son excellence, Macky Sall, conformément aux priorités de notre projet de développement économique et social le Plan Sénégal Emergent (PSE) pour afin d’impulser notre enseignement supérieur, la recherche scientifique et l’innovation technologique.
Parmi ces décisions, on note la réorientation du système d’enseignement supérieur vers les sciences, les technologies, les formations professionnelles courtes qui permettent de développer des formations supérieures alignées sur les besoins de l’économie.
Selon le directeur, nos pays doivent encourager les investissements directs étrangers horizontaux ou verticaux qui induisent un fort taux de transfert de technologie. Ces investissements peuvent constituer des sources importantes d’accélération de a croissance économique, de modernisation et de croissance d’emploi.
Thierno Malick Ndiaye
C’est un atelier de formation sur la collecte, le stockage, l’analyse de données de recherche scientifique. Nos structures de recherche sont tellement éclatées qui aujourd’hui, il est impossible de savoir ce qu’on a fait ou ce qu’on n’a pas fait. Il nous faut des moyens pour regrouper toutes ces structures, de renforcer leur compétence et permettre à l’Etat de prendre la bonne décision.
Pour relever le défi de priorité de développement de nos pays comme une agriculture de développement, la sécurité alimentaire, les énergies renouvelables, la construction d’un système de santé performant, favoriser la création des entreprises exploitant les retombées, la compétitivité des entreprises des STI. Il nous faut fonder nos économies sur des stratégies nationales en se focalisant sur des données scientifiques probantes pour éclairer les décisions des gouvernants en rapport avec le développement économique et social de nos pays, selon le directeur dans son discours.
« Le gouvernement manifeste une forte volonté d’appuyer la recherche scientifique et l’innovation technologique », dit M. Sangaré qui estime que c’est dans cette dynamique que onze décisions importantes ont été prises par son excellence, Macky Sall, conformément aux priorités de notre projet de développement économique et social le Plan Sénégal Emergent (PSE) pour afin d’impulser notre enseignement supérieur, la recherche scientifique et l’innovation technologique.
Parmi ces décisions, on note la réorientation du système d’enseignement supérieur vers les sciences, les technologies, les formations professionnelles courtes qui permettent de développer des formations supérieures alignées sur les besoins de l’économie.
Selon le directeur, nos pays doivent encourager les investissements directs étrangers horizontaux ou verticaux qui induisent un fort taux de transfert de technologie. Ces investissements peuvent constituer des sources importantes d’accélération de a croissance économique, de modernisation et de croissance d’emploi.
Thierno Malick Ndiaye
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