Quelques phrases sur son compte Twitter et c’est tout. Samir Nasri fait profil bas depuis la fin de l’Euro et les polémiques qui l’ont accompagné. Ses trois matches de suspension avec l’équipe de France l’ont éloigné du débat entourant les premières listes de Didier Deschamps. Et les premières performances des Bleus ne l’ont pas fait franchement regretté. Pour autant, Nasri n’a pas disparu de la circulation en Angleterre. Bien au contraire.
Depuis l’entame de l’exercice 2012-2013, le milieu offensif est incontournable à Manchester City. Titularisé lors du Community Shield et lors des quatre premières journées de Premier League, il a offert deux victoires à son équipe (face à Chelsea au Community Shield et face à Southampton en championnat). Sans faire de bruit en France, il s’impose en ce début de saison comme l’homme fort des Citizens avec Carlos Tevez, au détriment d’un David Silva moins tranchant qui a déjà vécu deux séjours sur le banc de touche.
On l’a souvent dit, Samir Nasri marche à la revanche. Ce qu’il s’est passé avec les Bleus durant l’été lui donne un surplus de motivation pour donner des maux de tête au nouveau sélectionneur Didier Deschamps. La saison dernière, il n’était pas forcément titularisé par Roberto Mancini et voyait David Silva prendre les clés du jeu. Aujourd’hui, il a inversé la situation. Sans faire de bruit et sans chercher à mettre en lumière ses dernières bonnes prestations, il revient sur le devant de la scène en Angleterre. Et forcément, le débat autour de son retour en équipe de France va vite refaire surface. En attendant, il va retrouver une exposition médiatique plus élevée grâce à la Ligue des Champions, où il affrontera demain soir le Real Madrid de Karim Benzema.
Aurélien Léger-Moëc
Depuis l’entame de l’exercice 2012-2013, le milieu offensif est incontournable à Manchester City. Titularisé lors du Community Shield et lors des quatre premières journées de Premier League, il a offert deux victoires à son équipe (face à Chelsea au Community Shield et face à Southampton en championnat). Sans faire de bruit en France, il s’impose en ce début de saison comme l’homme fort des Citizens avec Carlos Tevez, au détriment d’un David Silva moins tranchant qui a déjà vécu deux séjours sur le banc de touche.
On l’a souvent dit, Samir Nasri marche à la revanche. Ce qu’il s’est passé avec les Bleus durant l’été lui donne un surplus de motivation pour donner des maux de tête au nouveau sélectionneur Didier Deschamps. La saison dernière, il n’était pas forcément titularisé par Roberto Mancini et voyait David Silva prendre les clés du jeu. Aujourd’hui, il a inversé la situation. Sans faire de bruit et sans chercher à mettre en lumière ses dernières bonnes prestations, il revient sur le devant de la scène en Angleterre. Et forcément, le débat autour de son retour en équipe de France va vite refaire surface. En attendant, il va retrouver une exposition médiatique plus élevée grâce à la Ligue des Champions, où il affrontera demain soir le Real Madrid de Karim Benzema.
Aurélien Léger-Moëc