A chaque litige, il dissout ses sociétés pour ne pas s’acquitter de ses dettes et de ses obligations auprès des tiers, mais aussi auprès de l’administration.
Ces mêmes pratiques, qui ont fait le tour de la place, amènent les banques de la place de Dakar à être très réticentes à lui accorder des prêts bancaires pour la finalisation d’un chantier qui dure.
L’Etat du Sénégal n’a même pas vérifié si son projet était conforme et qui était réellement derrière ce grand bâtiment qui viendra influencer notre jeunesse. La bande d’expatriés, tous des hommes blancs, venus de France, pilote les activités futures qui doivent inquiéter notre société sénégalaise.
Il suffit de creuser pour s’apercevoir d’une réalité peu conforme à nos mœurs et croyances !
Qui protège Marc Aldasor se demandait déjà la presse sénégalaise en 2005…
Depuis son installation au pays de la téranga, ce Français qui se croit tout permis, n’a de cesse de violer les réglementations et les droits du Sénégal et des Sénégalais en particulier.
Promoteur du Cinéma Liberté aujourd’hui à Grand Dakar, Marc Aldasoro s’est permis une construction sur la voie publique mais aussi de bloquer totalement le passage pour les riverains, qui ont en vain dénoncé les agissements de ce dernier, avec son chantier qui n’est soumis à aucun contrôle de l’Etat.
Les autorités sénégalaises sont restées sourdes et muettes sur les agissements du sieur Aldasoro depuis des années, malgré la mise en danger de la vie de nos compatriotes qui y travaillent depuis. Jamais son comportement n’aurait eu lieu en France.
Depuis des années, des Sénégalais travaillent dans ses chantiers sans aucune mesure de sécurité mais surtout, sans être déclarés auprès des autorités sociales et fiscales, mettant ainsi en risque leur sécurité et leurs familles.
La traite des salariés, c’est une spécificité du promoteur qui en 20 ans au Sénégal, n’a jamais déclaré aucun salarié, n’a jamais réglé les impôts liés au travail, tout en exposant de dignes Sénégalais travailleurs depuis des années à la précarité et aux risques, sous le regard de l’Etat et de ses services de contrôle.
Au programme, le sieur Aldasoro programme une radio et une chaîne de télé au Sénégal avec sa Liberté.
Quelle liberté ?
Nos autorités devraient bien enquêter sur la personne en tant que telle et le programme à venir, dans ce futur média au Sénégal.
Ndiaga Diop Leral.net
Ces mêmes pratiques, qui ont fait le tour de la place, amènent les banques de la place de Dakar à être très réticentes à lui accorder des prêts bancaires pour la finalisation d’un chantier qui dure.
L’Etat du Sénégal n’a même pas vérifié si son projet était conforme et qui était réellement derrière ce grand bâtiment qui viendra influencer notre jeunesse. La bande d’expatriés, tous des hommes blancs, venus de France, pilote les activités futures qui doivent inquiéter notre société sénégalaise.
Il suffit de creuser pour s’apercevoir d’une réalité peu conforme à nos mœurs et croyances !
Qui protège Marc Aldasor se demandait déjà la presse sénégalaise en 2005…
Depuis son installation au pays de la téranga, ce Français qui se croit tout permis, n’a de cesse de violer les réglementations et les droits du Sénégal et des Sénégalais en particulier.
Promoteur du Cinéma Liberté aujourd’hui à Grand Dakar, Marc Aldasoro s’est permis une construction sur la voie publique mais aussi de bloquer totalement le passage pour les riverains, qui ont en vain dénoncé les agissements de ce dernier, avec son chantier qui n’est soumis à aucun contrôle de l’Etat.
Les autorités sénégalaises sont restées sourdes et muettes sur les agissements du sieur Aldasoro depuis des années, malgré la mise en danger de la vie de nos compatriotes qui y travaillent depuis. Jamais son comportement n’aurait eu lieu en France.
Depuis des années, des Sénégalais travaillent dans ses chantiers sans aucune mesure de sécurité mais surtout, sans être déclarés auprès des autorités sociales et fiscales, mettant ainsi en risque leur sécurité et leurs familles.
La traite des salariés, c’est une spécificité du promoteur qui en 20 ans au Sénégal, n’a jamais déclaré aucun salarié, n’a jamais réglé les impôts liés au travail, tout en exposant de dignes Sénégalais travailleurs depuis des années à la précarité et aux risques, sous le regard de l’Etat et de ses services de contrôle.
Au programme, le sieur Aldasoro programme une radio et une chaîne de télé au Sénégal avec sa Liberté.
Quelle liberté ?
Nos autorités devraient bien enquêter sur la personne en tant que telle et le programme à venir, dans ce futur média au Sénégal.
Ndiaga Diop Leral.net