Les plaignants, qui ne savent plus à quel saint se vouer, ont surtout mis en exergue la mauvaise foi de leur collègue qui après avoir probablement prémédité son acte, a confié son magasin à son frère cadet qui a soutenu ne rien savoir des tenants et des aboutissants de l’escroquerie qui a été perpétrée. Pire, un tiers domicilié à Thiaroye est venu déclarer que le stock dont disposait Souleymane Dia lui appartient.
Manière de contrecarrer toute tentative de saisie ou complicité manifeste avec ce dernier ? Dans tous les cas les victimes demeurent perplexes. En attendant les investigations des uns et des autres se poursuivent en vue de dénicher le mis en cause.
Pape GUEYE Le Soleil