"Pourquoi ne pas faire quelque chose qui ressemble au mode de fonctionnement du marché parallèle, mais qui va forcément respecter le circuit officiel du médicament ?’’, a demandé le docteur Oumar Sarr, coordonnateur du Comité scientifique de la journée de consultation de l’Union des jeunes pharmaciens du Sénégal (UJPS).
"Il faudra juste faire une bonne communication en faisant comprendre aux populations que c’est dangereux de s’orienter vers le marché parallèle des médicaments, mais aussi que leur prix sont beaucoup plus élevés que dans le circuit légal’’, a-t-il argumenté.
L’UJPS tient, le 8 avril prochain, une journée de consultation. Celle-ci va regrouper tous les acteurs du secteur pharmaceutique, pour discuter de l’employabilité, de l’état de lieux sur la législation pharmaceutique, mais surtout de l’exercice illégal de la pharmacie et de la vente de médicaments contrefaits, entre autres.
D’après docteur Oumar Fall, il faut surtout communiquer avec les populations sur le changement de comportement, l’éveil des consciences et attirer leur attention par rapport au danger encouru. Selon lui, chaque fois qu’il est fait état de médicaments de la rue ou de médicaments contrefaits, les gens pensent que cela a un rapport avec les intérêts pécuniaires ou économiques des pharmaciens qui peuvent être menacés.
‘’Ce qui nous motive surtout à vouloir prendre le dessus contre le marché parallèle de vente de médicaments contrefaits, c’est surtout pour veiller à notre mission première, qui est une mission de santé publique, avant d’être une mission économique’’, a-t-il confié.
source: aps.sn
"Il faudra juste faire une bonne communication en faisant comprendre aux populations que c’est dangereux de s’orienter vers le marché parallèle des médicaments, mais aussi que leur prix sont beaucoup plus élevés que dans le circuit légal’’, a-t-il argumenté.
L’UJPS tient, le 8 avril prochain, une journée de consultation. Celle-ci va regrouper tous les acteurs du secteur pharmaceutique, pour discuter de l’employabilité, de l’état de lieux sur la législation pharmaceutique, mais surtout de l’exercice illégal de la pharmacie et de la vente de médicaments contrefaits, entre autres.
D’après docteur Oumar Fall, il faut surtout communiquer avec les populations sur le changement de comportement, l’éveil des consciences et attirer leur attention par rapport au danger encouru. Selon lui, chaque fois qu’il est fait état de médicaments de la rue ou de médicaments contrefaits, les gens pensent que cela a un rapport avec les intérêts pécuniaires ou économiques des pharmaciens qui peuvent être menacés.
‘’Ce qui nous motive surtout à vouloir prendre le dessus contre le marché parallèle de vente de médicaments contrefaits, c’est surtout pour veiller à notre mission première, qui est une mission de santé publique, avant d’être une mission économique’’, a-t-il confié.
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