«Il faut arrêter la FrançAfrique, totalement et considérer les Nations africaines à égalité avec l’ensemble des autres nations du monde. Je crains qu’elle ne soit pas terminée contrairement à ce qu’on nous dit », a soutenu Marine Le Pen dans une interview sur radio France internationale. « Ce ne sont pas des sous-nations. Elles ont une souveraineté, elles ont une liberté, elles ont une identité, elles ont aussi le droit de défendre leur souveraineté et leur identité », a poursuivi l’héritière de Jean Marie Le Pen. De son point de vue, il urge d’ «organiser les relations respectueuses dans le cadre d’un co-développement qui permettra d’ailleurs de fixer les populations dans leur pays d’origine ». De ce point de vue, martèle-t-elle, «il faut arrêter l’ingérence en toutes circonstances ». Mme Le Pen dénonce la politique étrangère de la France qui, de concert avec certains pays occidentaux comme l’Angleterre et les Etats Unis, ont engagé et soutenu la guerre dans des pays pauvres (arabes et africains notamment), sous prétexte qu’ils veulent apporter la démocratie. Aussi bien en Afrique que dans les pays arabes, Marine Le Pen veut un renouveau dans les relations.
Ainsi, la candidate de gauche exige que son pays se retire «le plus rapidement possible» de la Syrie. «Je pense qu’il faut reconstruire une politique arabe de la France. Pour cela, il faut mettre une condition et la condition sera notamment la maitrise du flux migratoire. Les négociations qui se feront avec les pays arabes devront passer par une maitrise de leur part de leur immigration ». Elle fait remarquer qu’en dépit des guerres lancées tous azimuts, la France et ses partenaires va-t-en guerre se retrouvent dans un bourbier sans fin, du fait des échecs capitalisés. « On a lancé l’Irak, c’était un échec total. On a lancé l’Afghanistan, échec total, on a lancé la Lybie, échec total. Ça fait beaucoup d’échec quand même hein !», s’exclame Marine Le Pen avant de s’interroger : «Jusqu’ à combien de guerre on va lancer ? » La chef de file du Front national craint de probables attaques d’autres pays et s’en méfie. «Maintenant on veut attaquer la Syrie, on va attaquer éventuellement l’Iran, on envisage même probablement d’attaquer la Russie. Je me méfie moi maintenant». «Je suis tout de même inquiète quand (ces) va-t-en-guerre qui nous dirigent, commencent à critiquer, à parler de démocratie en règle générale». Elle a révélé qu’en Lybie, malgré la guerre engagée, les conséquences qui en ont résulté jusqu’à l’assassinat de Kadhafi : «On n’a pas réussir à mettre en place une démocratie».
Partant, si, elle, Marine est élue, elle promet de régler tous les problèmes par la voie démocratique qui lui semble être la voie royale vers les relations apaisées entre la France et ses pays partenaires.
Ainsi, la candidate de gauche exige que son pays se retire «le plus rapidement possible» de la Syrie. «Je pense qu’il faut reconstruire une politique arabe de la France. Pour cela, il faut mettre une condition et la condition sera notamment la maitrise du flux migratoire. Les négociations qui se feront avec les pays arabes devront passer par une maitrise de leur part de leur immigration ». Elle fait remarquer qu’en dépit des guerres lancées tous azimuts, la France et ses partenaires va-t-en guerre se retrouvent dans un bourbier sans fin, du fait des échecs capitalisés. « On a lancé l’Irak, c’était un échec total. On a lancé l’Afghanistan, échec total, on a lancé la Lybie, échec total. Ça fait beaucoup d’échec quand même hein !», s’exclame Marine Le Pen avant de s’interroger : «Jusqu’ à combien de guerre on va lancer ? » La chef de file du Front national craint de probables attaques d’autres pays et s’en méfie. «Maintenant on veut attaquer la Syrie, on va attaquer éventuellement l’Iran, on envisage même probablement d’attaquer la Russie. Je me méfie moi maintenant». «Je suis tout de même inquiète quand (ces) va-t-en-guerre qui nous dirigent, commencent à critiquer, à parler de démocratie en règle générale». Elle a révélé qu’en Lybie, malgré la guerre engagée, les conséquences qui en ont résulté jusqu’à l’assassinat de Kadhafi : «On n’a pas réussir à mettre en place une démocratie».
Partant, si, elle, Marine est élue, elle promet de régler tous les problèmes par la voie démocratique qui lui semble être la voie royale vers les relations apaisées entre la France et ses pays partenaires.