Les fréquences entre Casablanca et Dakar pourraient bientôt être revues à la hausse pour faire face à la forte demande. C’est en tout cas le souhait des ministres des transports des deux pays, qui ont parlé d’un « accord gagnant-gagnant » pour leurs compagnies aériennes nationales, Royal Air Maroc et Senegal Airlines.
Rappelons, qu’alors même que la ligne était déjà saturée, le Sénégal avait imposé à la RAM de réduire ses fréquences entre Casablanca et Dakar, pour laisser des créneaux libres à Senegal Airlines.
Depuis mars, la compagnie marocaine n’opère donc plus qu’un vol quotidien au lieu de deux auparavant. Or le transporteur sénégalais n’a pas déployé d’avions sur cette route, faute semble-t-il de moyens (elle a enregistré pour sa première année d’exploitation un déficit de plus de 10,5 millions d’euros) et d’appareils disponibles (sa flotte ne compte que quatre Airbus A320 et un ATR 42-500 pour une quinzaine de destinations locales et régionales).
Rappelons, qu’alors même que la ligne était déjà saturée, le Sénégal avait imposé à la RAM de réduire ses fréquences entre Casablanca et Dakar, pour laisser des créneaux libres à Senegal Airlines.
Depuis mars, la compagnie marocaine n’opère donc plus qu’un vol quotidien au lieu de deux auparavant. Or le transporteur sénégalais n’a pas déployé d’avions sur cette route, faute semble-t-il de moyens (elle a enregistré pour sa première année d’exploitation un déficit de plus de 10,5 millions d’euros) et d’appareils disponibles (sa flotte ne compte que quatre Airbus A320 et un ATR 42-500 pour une quinzaine de destinations locales et régionales).