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Maroc / Sénégal : vers un nouvel accord aérien

Les ministres des Transports marocain et sénégalais se sont rencontrés en début de semaine afin d’aborder notamment leur accord aérien et de renforcer les liaisons qui ont été réduites en mars.


Rédigé par leral.net le Samedi 26 Mai 2012 à 23:05 | | 18 commentaire(s)|

Maroc / Sénégal : vers un nouvel accord aérien
Les fréquences entre Casablanca et Dakar pourraient bientôt être revues à la hausse pour faire face à la forte demande. C’est en tout cas le souhait des ministres des transports des deux pays, qui ont parlé d’un « accord gagnant-gagnant » pour leurs compagnies aériennes nationales, Royal Air Maroc et Senegal Airlines.

Rappelons, qu’alors même que la ligne était déjà saturée, le Sénégal avait imposé à la RAM de réduire ses fréquences entre Casablanca et Dakar, pour laisser des créneaux libres à Senegal Airlines.

Depuis mars, la compagnie marocaine n’opère donc plus qu’un vol quotidien au lieu de deux auparavant. Or le transporteur sénégalais n’a pas déployé d’avions sur cette route, faute semble-t-il de moyens (elle a enregistré pour sa première année d’exploitation un déficit de plus de 10,5 millions d’euros) et d’appareils disponibles (sa flotte ne compte que quatre Airbus A320 et un ATR 42-500 pour une quinzaine de destinations locales et régionales).

( Les News )


1.Posté par senegalais le 27/05/2012 05:45 | Alerter
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Sachez que actuellement les senegalais vivant au maroc sont en train de vivre l'enfer? Car depuis plus d'une semaine la police procede a des ramasses des senegalais en situation irreguliere cad depassant les 3mois de sejour sans carte de sejour sans que nos corps diplomatiques reagissent parcequ'ils ne font rien pour le bien etre des ressortissant senegalais au maroc encore cette fameuse association aserem qui sont la que pour bouffer l'argent. Merci de transmettre ce message aux autorites senegalaises afin qu'ils sachent qu'est ce que nois endurons et de nous changer ce corps diplomatique qui ne font rien ici

2.Posté par benhima le 27/05/2012 05:49 | Alerter
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la grande arnaque des marocains recommence.il n'y a aucun trafic entre Dakar et Casablanca tout ce qui les intéresse c'est les passagers en continuation.

3.Posté par RAM le 27/05/2012 06:04 | Alerter
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Coup de pouce royal pour la compagnie aérienne marocaine. La Royal Air Maroc (RAM) qui traverse depuis le début de l’année 2011 une forte zone de turbulences marquées par de gros déficits d’exploitation, a été renflouée jeudi par un financement du Fonds Hassan II. Une mesure prise par le souverain marocain pour sauver de la banqueroute le pavillon national. Sursis donc pour une compagnie nationale obligée de composer avec la concurrence, depuis l’accord Open-sky signée avec l’UE.

4.Posté par MAR DE RAM le 27/05/2012 06:06 | Alerter
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Enfin, un plan de sauvetage pour la Royal Air Maroc (RAM). Embourbé depuis plusieurs mois dans une situation potentiellement catastrophique, le transporteur national se voit doté d'un contrat programme portant sur un plan d'investissement de 9,3 MMDH au titre de la période 2011-2016. Signé avant-hier avec le gouvernement, ce contrat programme repose, dans une première phase, sur une série de mesures portant sur l'optimisation du réseau du transport aérien, l'amélioration de la flotte de la compagnie, la rationalisation des dépenses à hauteur d'un MMDH environ, à la faveur de la réduction des taux des salaires et des charges d'exploitation, du développement de l'activité commerciale et du redéploiement des agences de la compagnie. Une restructuration qui fait également la part belle à l'assainissement de la situation financière délicate de la RAM, surtout que celle-ci pourrait être appelée à se dégrader en 2012 avec la crise économique en Europe et le renchérissement du prix du carburant.

5.Posté par ISSA le 27/05/2012 11:00 | Alerter
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6.Posté par PRORAM le 27/05/2012 11:54 | Alerter
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Les affaires qu'elles soient économiques financières et meme sociales ne s'accommodent guère avec les sentiments et les états d'ame ou d'humeur. Le seul partenaire naturel viable du Sénégal en matière de transport aérien est le maroc par l'histoire, la géographie, la culture, les rapports RAM /air sénégal sont fondamentalement différents des relations que pourraient avoir RAM et Sénégal Airlines les rapports de filiales contre des relations de partenariat c'est différent. faut aussi savoir que la gestion économique financière et managériale d'une cie aero requiert périodiquement des ajustements sur les couts ce qui engage des coupes sur les couts de structure surtout donc l'architecture de la cie, un redimentionnement des effectifs en rapport avec le niveau des activités etc c'est normal voyez ait france est en pleine restructuration avec un nouveau plan d'équilibre et de développement ce n'est pas une défaillance ni une tare .faut savoir saisir les opportunités par rapport à ses forces et faiblesses donc revenir aux rapports aériens Maroc Sénégal.

7.Posté par Lambal le 27/05/2012 16:24 | Alerter
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Oui c'est cela. Après, les marocains vont s'organiser pour abandonner les passagers allant en Afrique au sud du Sahara à Casablanca pour n'embarquer que les blancs et les arabes qui vont Europe, en Amérique du Nord et dans les pays arabes.

Ouvrez-vous les yeux et sachez que ces marocains ne sont pas nos amis. J'ai vécu une expérience tellement malheureuse que plus jamais je ne revoyagerai par cette compagnie. Depuis je dissuade mes amis de prendre cette campagnie.

8.Posté par ANTI RAM le 27/05/2012 16:38 | Alerter
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De vives tensions ont éclaté ces dernières semaines à Casablanca entre forces de l’ordre et étrangers subsahariens suite aux fréquents contrôles des titres de séjour de ces derniers. Au cours d’exécutions d’un arrêté du wali de la ville autorisant depuis quelques semaines l’expulsion d’étrangers en situation irrégulière, de nombreux ressortissants sénégalais notamment ont été arrêtés et brutalisés par les policiers marocains. En plus de « leurs biens saccagés surtout dans les quartiers de Casablanca, notamment au marché de la Médina où ils officient », selon des témoignages cités par un quotidien sénégalais.
« Sénégalais périmés », « africains périmés »
Selon Babacar Diop, l’une des personnes interrogées, « les rafles concernaient au début les vendeurs à la sauvette, mais depuis quelques jours, c’est devenu un délit de faciès. Les policiers ne procèdent plus à la vérification des papiers, mais ils embarquent les gens jusqu’au commissariat pour ensuite le faire. On ne distingue même plus les étudiants des autres. On rafle tout le monde ». « Nous exigeons le respect de nos droits humains même si la police marocaine nous détient en prison », a indiqué à Yabiladi, un jeune homme qui a requis l’anonymat.

9.Posté par BENHIMA le 27/05/2012 16:45 | Alerter
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Royal Air Maroc : haro sur les prix de son Dakar – Casablanca
Publié le 25 mars 2011 à 10h00 par Elsa Lecautec dans Actualité, Insolite - 0 commentaire

La compagnie nationale marocaine doit faire face, ces derniers temps, à de fortes critiques de la part de la communauté marocaine du Sénégal à propos des prix qu’elle pratique sur sa ligne Dakar – Casablanca.

7000 dirhams (620 euros) l’aller simple en basse saison et 8500 (754 euros) durant l’été. Les tarifs de la Royal Air Maroc (RAM) sur sa ligne Dakar – Casablanca sont dénoncés comme « inabordables » par président du Conseil national des Marocains du Sénégal, Mohamed Farsi. Selon l’agence de presse MAP, ce dernier en est venu à écrire à la compagnie et à « d’autres autorités marocaines », afin que la RAM revoie ses prix à la basse sur cette liaison dont elle a le monopole.

Mais la RAM se défend de gonfler ses prix. Elle les justifie par les taxes aéroportuaires sénégalaises et la hausse des prix du kérosène. Le transporteur marocain souligne de plus qu’environ 70% du trafic sur cette ligne est constitué de Sénégalais et de ressortissants des autres pays d’Afrique de l’ouest qui font escale à Casablanca avant de continuer leur voyage sur d’autres destinations.

Un argument que Mohamed Farsi retourne facilement à son avantage, en arguant que si les prix étaient plus bas, plus de Marocains emprunteraient ces vols. Une pétition aurait donc été lancée pour demander une baisse des tarifs à la RAM.

10.Posté par RAMEUR le 29/05/2012 01:30 | Alerter
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Le gouvernement marocain vient au chevet de la Royal Air Maroc (RAM), la compagnie aérienne nationale, qui depuis quelque temps est au plus mal, n’étant pas parvenue à négocier correctement un des tournants majeurs qu’ait connus le ciel marocain, à savoir sa libéralisation, avec l’arrivée des low-costs qui en a découlé. Une situation plombée encore davantage par le printemps arabe et la flambée du prix des carburants.

L’Etat marocain n’a pas été sourd au cri de détresse lancé par le président de la compagnie, Driss Benhima, cet été, qui prédisait un avenir très sombre à la RAM, et qui en appelait à l’aide de l’Etat, pour entamer un réajustement complet de la compagnie, compte tenu de son nouvel environnement très concurrentiel.

Ainsi, le 21 septembre, la RAM et l’Etat marocain ont signé un Contrat Programme portant sur la restructuration et le développement de la compagnie, avec entre autres l’optimisation du réseau pour une meilleure productivité, la réduction des charges (salariales et d’exploitation), l’amélioration de la satisfaction des clients passant par une meilleure qualité des services grâce à des infrastructures adaptées et une flotte améliorée, l’optimisation et le développement de l’activité et la recapitalisation de la RAM par l’Etat à hauteur de 145 M€, pour relever tous ces défis dont dépend la survie de la compagnie.

11.Posté par NORAM le 29/05/2012 01:33 | Alerter
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Accusée de mal gérer les bagages, la Royal Air Maroc (RAM) fait l’objet d’une campagne de boycotte au Sénégal, de la part de la diaspora sénégalaise.

La Royal Air Maroc (RAM) n’a pas que des amis et au Sénégal, il semblerait qu’elle en ait bien peu. Une campagne de boycott, diffusée via Facebook, par mail ou par sms, est en effet montée par les Sénégalais de l’étranger contre la compagnie aérienne marocaine à qui ils reprochent des vols et retards de bagages bien trop fréquents à leur goût.

Selon le magazine sénégalais Réussir Business, la RAM serait en effet connue dans le pays pour sa mauvaise gestion des bagages. Le magazine estime qu’environ 60 valises par jour n’arrivent pas à Dakar ou bien arrivent vides. La compagnie recevrait ainsi plus d’une cinquantaine de réclamations par vol à l’arrivée à l’aéroport international Léopold Sedar Senghor où elle atterrit deux fois par jour en provenance de Casablanca.

12.Posté par RAMOUT le 29/05/2012 01:51 | Alerter
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Mais les problèmes sont plus complexes que les griefs avancés par nos sources à Air-Sénégal. En effet, il ressort de nos investigations que la Royal Air Maroc balise le terrain pour grignoter les parts de marchés dévolus à Air-Sénégal. L’information selon laquelle l’Etat du Sénégal a décidé de reprendre la quasi-totalité du contrôle de l’actionnariat en y associant quelques privés, a fini de faire le tour du monde…des affaires. Et les Marocains prennent les devants. Ce qui explique, entre autres, l’exfiltration des cadres d’Air Sénégal vers la Royal Air-Maroc. Ibra Wane, jusque-là Directeur du Marketing, va atterrir à la maison-mère de la société marocaine. D’autres cadres devraient être débauché

13.Posté par RAMOUT le 29/05/2012 01:52 | Alerter
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La non attribution du marché du pèlerinage à La Mecque à Air Sénégal International (Asi) continue de briser le cœur des Marocains. Qui ont vite fait de décrypter ce message lancé par l’Etat du Sénégal comme une déclaration de guerre. S’inscrivant dans une logique conflictuel, les actionnaires de la Royal Air-Maroc durcissent les mesures pour pousser Asi au dépôt de bilan. Pour preuve, de retour de week-end au Maroc, les gestionnaires de la Royal Air Maroc (Ram) ont décidé, hier, de supprimer l’escale de Lyon et la fermeture de la représentation en France. Motif évoqué par la Ram : «Les lignes de Asi sur Paris ne sont pas rentables». «Faux», rétorquent des agents de Asi. «Le coefficient de remplissage est bon. Les recettes sont bonnes. La réalité est que les Marocains en veulent toujours aux autorités sénégalaises depuis qu’ils ont perdu le marché du pèlerinage à La Mecque. Et la décision de fermer le bureau de Paris est une menace pour la compagnie. C’est scandaleux ce qu’ils veulent faire», font savoir les mêmes sources. Si l’on sait que la représentation de Paris représente 40 % des recettes de Asi. D’autant plus qu’elle alimente 50% des vols de la sous-région de Asi, à savoir Paris-Dakar-Bamako, Cotonou, Lomé…Et la Ram qui est une concurrente de Asi, compte désigner son propre agent pour gérer les affaires de Asi à Paris. «Comment peux-tu demander à un concurrent de vendre des billets pour toi , alors qu’il en cherche pour son propre compte ?», s’interrogent des agents de Asi. Toujours dans leur réplique contre la décision des autorités sénégalaises de mettre fin à la coopération dans le domaine de l’aéronautique, ils (les gestionnaires de la Ram) foulent au pied le décret de l’Etat sur la gestion de la plateforme aéroportuaire.

14.Posté par RAM le 29/05/2012 02:26 | Alerter
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— La Royal air Maroc (RAM) considère "irrecevable" la
contre-proposition sénégalaise concernant l'avenir de la compagnie Air
Sénégal International (ASI), l'une des plus importantes compagnies
aériennes d'Afrique de l'Ouest, a-t-on appris samedi de source
officielle.
Cette réaction fait suite à la réunion qui a regroupé
à Dakar -du 29 avril au 1er mai- des experts de la RAM et d'ASI en vue
de trouver une issue à la crise qu'affronte la compagnie sénégalaise,
dont 51% du capital est détenu par la RAM.
Les avions de l'ASI sont cloués au sol depuis le 24 avril suite à des problèmes financiers.
Lors
de ces discussions, "la partie sénégalaise a présenté une feuille de
route considérée comme irrecevable par la partie marocaine", a déclaré
Habiba Laklalech, directrice des affaires générales du Groupe Royal Air
Maroc, dans un entretien avec l'agence marocaine MAP.
Habiba
Laklalech a estimé "inacceptable que la partie sénégalaise qui, dès
2007 avait déclaré sa volonté de reprendre ASI, demande à la RAM de
rester dans la gestion de cette compagnie au-delà de 2009, c'est à dire
à une échéance bien au-delà de celle souhaitée par la RAM".
Mme
Laklalech a aussi jugé inacceptable que "la partie sénégalaise veuille
contraindre la RAM à subventionner, à fonds perdus et à hauteur d'au
moins 300 millions de dirhams (27 millions d'euros), le redémarrage des
activités d'ASI".
La responsable de la RAM a en outre révélé que,
lors de la réunion de Dakar, les experts sénégalais avaient demandé à
ce que la RAM mette à la disposition d'ASI une flotte comprenant "au
moins" un long courrier de type Boeing 767 ou équivalent". Cela
signifierait, pour la RAM, de prendre à sa charge une compagnie long
courrier pour le compte d'autrui, a-t-elle dit.
"La réponse de
l'Etat sénégalais à nos propositions est décourageante", a estimé
Habiba Lakhlalech. Elle a réitéré "la disposition de la RAM, malgré
toutes les difficultés que nous avons traversées et malgré toutes les
pertes déjà subies, à aider le Sénégal à reconstruire sa compagnie
nationale".
Pour nous, a-t-elle ajouté, il s'agit de "sauver les
routes aériennes les plus importantes d'ASI et de préserver les emplois
existants".
Mme Lakhlalech a souligné qu'il était "inconcevable
de vouloir à la fois nous forcer à rester et en plus exiger que nous
payons pour cela"

15.Posté par RAM le 29/05/2012 02:28 | Alerter
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Le Sénégal juge "inacceptable" et "irresponsable" que
la Royal air Maroc (RAM) veuille, selon elle, se retirer
"immédiatement" de la gestion et du capital de la compagnie Air Sénégal
international, engagée dans une procédure de cessation de paiements.
"La
RAM exige son retrait immédiat tant de la gestion que du capital social
d'Air Sénégal international, en laissant le soin à la partie
sénégalaise de se charger du règlement de l'intégralité du passif de la
compagnie aérienne (...)", a affirmé le directeur général de l'Agence
nationale de l'aviation civile du Sénégal, Mathiaco Bessane, dans un
communiqué transmis à l'AFP.
Air Sénégal - 500 emplois - avait
été créée en 2000 par la RAM (51% du capital) et le Sénégal (49%). Ses
avions sont actuellement cloués au sol.
Le Sénégal fait valoir
que la gestion de la compagnie "a pourtant été intégralement prise en
charge dès le début de ses activités par la compagnie marocaine et ce
(...) sans que l'actionnaire sénégalais ait été en mesure d'obtenir des
explications pertinentes quant à la situation financière actuelle de la
société commune".
"Le Sénégal juge le préalable du retrait
immédiat (...) posé par la RAM inacceptable, voire irresponsable", a
déclaré M. Bessane.
Interrogé par l'AFP, M. Bessane a assuré que
"la RAM avait décidé unilatéralement de s'engager dans une procédure de
cessation de paiements sans s'assurer de l'aval du conseil
d'administration, mis devant le fait accompli".
Selon lui, les
discussions entre experts sénégalais et marocains sur l'avenir de la
compagnie, interrompues vendredi à Dakar, devraient néanmoins reprendre
"lundi ou mardi".
M. Bessane entendait répliquer à des propos de la directrice des affaires générales du Groupe RAM, Habiba Laklalech.
Vendredi,
Mme Laklalech avait jugé "inacceptable que la partie sénégalaise qui,
dès 2007 avait déclaré sa volonté de reprendre ASI, demande à la RAM de
rester dans la gestion de cette compagnie au-delà de 2009".
Le
groupe marocain avait également jugé "inacceptable" que la partie
sénégalaise veuille contraindre, selon elle, la RAM à subventionner à
hauteur d'au moins 27 millions d'euros le redémarrage des activités
d'ASI.

16.Posté par RAM le 29/05/2012 02:31 | Alerter
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Entre
le Sénégal et ses partenaires marocains, on ne parle plus le même
langage pour ce qui est de la gestion de la compagnie aérienne Air
Sénégal international (Asi). Dans un communiqué publié dans la presse,
il y a quelques jours, la Royal Air Maroc (Ram) menaçait de se retirer
de la compagnie si le Sénégal ne faisait rien afin de clarifier la
situation.
Une position qui n’est pas du tout partagée par l’Etat du Sénégal.
Ainsi, dans un communiqué rendu public hier l’Agence nationale de
l’aviation civile du Sénégal (Anacs) s’est fait l’écho du gouvernement
pour donner la position sénégalaise dans cette affaire. Et le Sénégal
invite la Royal air Maroc, actionnaire majoritaire d’Air Sénégal
international, à cesser de faire du dilatoire pour que soient
redéfinies les modalités de la reprise en main de la compagnie par la
partie sénégalaise.
Selon l’Anacs, « la Royal air Maroc s’est opposée à la réalisation
de l’audit financier, commercial, technique et juridique de sa gestion
d’Asi et ce, en refusant de communiquer, dans ce cadre, l’ensemble des
informations nécessaires à la réalisation dudit audit et de permettre
ainsi à l’Etat du Sénégal de prendre connaissance au préalable de la
réalité de la situation financière, technique et opérationnelle » de la
compagnie aérienne.
Pourtant, les Marocains avaient, dans une dépêche de l’Agence France
presse (Afp) reprise par des quotidiens dakarois, argué d’« un manque
de visibilité » et d’« une absence de feuille de route pour la reprise
d’Air Sénégal International (Asi) par la partie sénégalaise ». Les
Marocains auraient même demandé au Sénégal de « mettre rapidement en
exécution sa décision de prendre le contrôle d’Air Sénégal
International ». « Faux », rétorque le communiqué de l’Anacs. Qui
regrette « l’absence totale de concertation préalable de la part du
partenaire marocaine ».
Selon le communiqué dont nettali.net a pu avoir copie, le déficit
financier d’Air Sénégal international a atteint plus de 12 milliards de
francs Cfa à la fin de l’exercice 2007. « C’est de la responsabilité
pleine et entière de Ram qui gère la compagnie depuis sa création »,
accuse l’Agence nationale de l’aviation civile du Sénégal.

17.Posté par MAR le 29/05/2012 02:44 | Alerter
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RAM plane used by
ASI which was in Cotonou, Benin, on Wednesday due to leave for Dakar
with 106 passengers was suddenly "repatriated" to Morocco without
explanation. The passengers made their way to Senegal with other
companies.
Air Senegal International was created in 2000 with RAM
holding 51 percent od the stakes in the company and the Senegalese
state 49 percent. Since almost two years ago, the companies have been
at odds with one another.
This week a Senegalese court ruled that
RAM could not withdraw from the company. Late in 2007 the Senegalese
state announced it was taking control of ASI accusing the RAM of bad
management.
The Moroccans are pressing Dakar to take effective control of the company, saying they will withdraw otherwise.

18.Posté par MAR le 29/05/2012 02:50 | Alerter
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compagnie aérienne Royal Air Maroc (RAM) ne dessert
plus Dakar avec ses propres avions depuis mercredi et "jusqu'à nouvel
ordre", et a "rapatrié" mercredi un des ses appareil utilisé par Air
Sénégal International (ASI), a indiqué jeudi à l'AFP le porte-parole
d'ASI Matar Diop.
"Les
avions de la RAM ne viennent plus du tout à Dakar, depuis hier
(mercredi) et jusqu'à nouvel ordre. Il y a un bras de fer entre deux
partenaires, chacun utilise les armes qu'il a", a-t-il ajouté.
D'autre
part, un avion de la RAM utilisé par ASI, qui était mercredi à Cotonou
avec 106 passagers à bord, a "été rapatrié au Maroc". Aucune
explication n'a été donnée à l'ASI, selon le porte-parole. Les
passagers ont pris d'autres compagnies aériennes.
Royal Air Maroc
et l'Etat du Sénégal sont en conflit ouvert depuis près de deux ans sur
la gestion de leur filiale commune Air Sénégal International.

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