Dans une déclaration partagée sur ses réseaux sociaux, Aurélien Taché a rappelé les événements du 1er décembre 1944, où plusieurs centaines de tirailleurs sénégalais furent exécutés par l’armée française au camp de Thiaroye pour avoir revendiqué le paiement de leur solde. La reconnaissance récente de ce massacre par Emmanuel Macron est saluée, mais, selon le député, elle reste insuffisante. « La vérité est loin d’être établie », a-t-il souligné.
Lors de la cérémonie commémorative tenue au camp de Thiaroye, Aurélien Taché était présent en tribune présidentielle aux côtés de son homologue sénégalais Aly Diouara, pour accueillir le président Bassirou Diomaye Faye et le chef de l’État sénégalais, Ousmane Sonko. Ce dernier, tout comme Bassirou Diomaye Faye, a insisté sur la nécessité de mobiliser l’ensemble des acteurs, étatiques et non étatiques, pour établir les faits et honorer la mémoire des tirailleurs sénégalais.
Bassirou Diomaye Faye a notamment lancé un appel à une collaboration internationale : « Nous avons besoin de l’implication de tous, y compris du côté français, pour que la vérité éclate. » Cet appel fait écho à la mission de la nouvelle commission d’enquête, qui vise à reconstituer les circonstances du massacre, identifier les responsabilités et envisager les réparations éventuelles.
Cette démarche marque une étape significative dans le processus de réhabilitation des tirailleurs sénégalais et de réexamen critique du passé colonial de la France. Elle illustre également l’engagement croissant de parlementaires des deux rives pour rétablir justice et dignité à ceux qui ont payé de leur vie leur service sous le drapeau français.
Lors de la cérémonie commémorative tenue au camp de Thiaroye, Aurélien Taché était présent en tribune présidentielle aux côtés de son homologue sénégalais Aly Diouara, pour accueillir le président Bassirou Diomaye Faye et le chef de l’État sénégalais, Ousmane Sonko. Ce dernier, tout comme Bassirou Diomaye Faye, a insisté sur la nécessité de mobiliser l’ensemble des acteurs, étatiques et non étatiques, pour établir les faits et honorer la mémoire des tirailleurs sénégalais.
Bassirou Diomaye Faye a notamment lancé un appel à une collaboration internationale : « Nous avons besoin de l’implication de tous, y compris du côté français, pour que la vérité éclate. » Cet appel fait écho à la mission de la nouvelle commission d’enquête, qui vise à reconstituer les circonstances du massacre, identifier les responsabilités et envisager les réparations éventuelles.
Cette démarche marque une étape significative dans le processus de réhabilitation des tirailleurs sénégalais et de réexamen critique du passé colonial de la France. Elle illustre également l’engagement croissant de parlementaires des deux rives pour rétablir justice et dignité à ceux qui ont payé de leur vie leur service sous le drapeau français.