Le fer de lance de ses mauvaises fréquentations, outre la Syrie, l’Iran et la Corée du Nord, sont les groupes narco-islamo-terroristes qui pillulent en Algérie et au Sahel mais également leur force d’appoint qu’est le polisario.
Le conflit qui se déroule actuellement dans le septentrion malien a mis a nu les desseins malfaisants des autorités algériennes et confirmé de manière implacable la présence d’élements du polisario dans les rangs des narco-terroristes.
Une présence confirmée, outre par le Ministre malien des Affaires Etrangères, Tiéman Coulibaly, mais également par les prisonniers détenus par l’armée tchadienne qui mène avec succès des opérations de «dératisation» dans les environs de Tigharghar au Nord Mali, près de la frontière algérienne.
D’ailleurs, le très sérieux magazine américain «Forbes» indique que l'exacerbation des conditions de vie dans les camps des séquestrés de Tindouf, sur fond de répression et de détresse, et la montée en puissance des activités criminelles du groupe terroriste d'Al-Qaida dans le Maghreb Islamique (AQMI) font que le polisario, avec l’assentiment des autorités algériennes, sert de force d'appoint aux franchises de la nébuleuse terroriste dans la région.
Ce magazine, à fort tirage et dont la crédibilité des informations qu’il diffuse ne peut être mise en doute, affirme que l'implication de plus en plus évidente des membres du polisario au sein des groupes terroristes dans la région, s'inscrit dans le cadre d'une tendance encore plus large qui avait vu des éléments polisariens s'engager aux côtés des milices du régime Kadhafi pour réprimer la révolution libyenne et combattre les forces de l'OTAN et constitue une option dangereuse pour la communauté internationale.
Ainsi donc, ce que les autorités algériennes, relayées par la presse locale, qualifiaient de rumeurs non fondées et de mensonges, sont ainsi corroborées non pas de sources marocaines, mais de sources étrangères n’ayant aucun lien direct avec le conflit du Sahara marocain.
Ces éléments de preuves matériels ne laissent point de doute sur le fait que le polisario constitue désormais un des bras armés du terrorisme sahélo-saharien, avec plus 700 hommes, et le paravent d’une politique algérienne visant la déstabilisation de toute la région et en tête, son voisin marocain, et confirment les nombreux rapports officiels et officieux, qui alertaient depuis l’éclatement de la crise nord-malienne, de la forte trouble implication du polisario, dans les combats et les renforcements des groupes terroristes algériens et sahéliens sévissant dans la région.
A ce sujet, Habib Ould Issouf, un nigérien responsable du MUJAO à Gao, avait, lui-même, vanté dans une déclaration à l’AFP, le «précieux soutien de ses frères polisariens».
Pour sa part, le journaliste et spécialiste des questions de défense, Pio Pompa, dans son article paru dans le quotidien italien «Il Foglio» du 1er mar 2013, confirmait également l’existance de liens entre chefs d’AQMI, du MUJAO et d'Ansar Dine et le Département algérien du Renseignement et de Sécurité (DRS).
Il confirme également que le chef du commando de la prise d’otages sanglante d’In Amenas était un élément du polisario qui travaillait pour les services secrets algériens.
C’est pourquoi, son identité n’a jamais été révélée afin de ne pas compromettre définitivement aussi bien l'image du polisario, devenu pour les islamistes une des principales sources de recrutement, que la stratégie désinvolte adoptée par les services secrets algériens pour affirmer leurs propres prérogatives dans toute l'Afrique du Nord et le Sahel.
Enfin, toujours sur ce sujet, on relèvera qu’un rapport publié le 28 février 2013 à Washington par le Centre International des Etudes sur le Terrorisme, relevant du Potomac Institute, met en garde contre la menace AQMI et ses liens avec des organisations criminelles locales, dont le polisario, en soulignant que cette menace pose des défis à la fois tactiques et stratégiques pour la communauté internationale.
Ce même rapport fait état de liens avérés entre AQMI et les cartels latino-américains en vue d’acheminer leurs cargaisons de drogues vers l’Europe, en contrepartie d’armes, et ce par le biais des réseaux terroristes de trafic au Sahel, y compris des membres du polisario.
Une dangerosité qui a fait que les Etats-Unis ont ajouté, le 26 février 2013, à leur liste antiterroriste le chef touareg, très proche du régime algérien, Iyad Ag Ghali, le chef du mouvement islamiste Ansar Dine, en raison de ses liens étroits avec AQMI.
Sur ce chapitre, on ne peut passer sous silence le courage, la bravoure et le professionnalisme des forces armées tchadiennes qui combattent implacablement les ennemis de la liberté, de la démocratie et de la tolérance au Nord Mali afin de restaurer l’intégrité territoriale et la souveraineté du pays amis qu’est le Mali.
Une armée tchadienne qui est en passe de réussir ce que l’armée algérienne, avec tout son armement dernière génération, acheté coup de milliards de dollars, a été incapable faire, à savoir mettre fin aux activités des leaders d’AQMI et autres groupes terroristes qui circulaient, et circulent toujours, dans leur territoire et jusqu’aux portes d’Alger pour traumatiser la population algérienne, notamment Kabyle et touareg, et etouffer tout mouvement de protestations social et politique.
Pour peu que l’armée tchadienne donnent une raclée aux soldats algériens, comme en 1987, où, tout simplement équipée de Toyota Land Cruiser, il avait défait une armée libyenne super équipée en blindés, avions de chasse et hélicoptères de combat, nul ne s’en étonnera.
Jamais, au cours de son histoire militaire, l’armée libyenne n’avait essuyé un échec aussi cinglant et humiliant ! C’est ce qui pend au nez de l’Algérie aujourd’hui, si elle persiste à rester dans cette voie sans issue.
Face ce fiasco, les stratèges algériens ont donc décidé de s’en prendre directement au Maroc.
Aussi, ils ont mobilisé un groupe de cinq eurodéputés, de l'intergroupe parlementaire pour le Sahara, groupe formant lobby algéro-polisarien au Parlement de Strasbourg, pour mener une opération de provocation anti-marocaine et tenter de forcer l’entrée de la ville de Laayoune, le 06 mars 2013 pour dénoncer une prétendue situation des droits de l'homme dans les provinces sahariennes.
Ce groupe est conduit par l’eurodéputé espagnol Willy Meyer, un récidiviste névrosé notoirement connu pour son engagement aux côtés du polisario auprès duquel il trouve probablement sa réponse dans une alchimie subtile dont l’ossature principale était l’axe Tripoli-Alger-Tindouf, des escales exotiques que l’eurodéputé espagnol semblait fréquenter assidument, au nom d’une certaine conception de la révolution qui voudrait que l’on se range du côté de ceux qui affirment les droit universels des autres mais refusent d’appliquer ces maximes à leur propre peuple. Un individu qui refuse encore aujourd’hui de reconnaître son engagement aux côtés de Kaddafi, principal soutien, avec l’Algérie, aux terroristes du polisario.
Ils ont, d’ailleurs, été expulsés vers Madrid dès leur arrivée à sur le territoire marocain.
En complément à cette stratégie, les experts algériens ont également décidé de provoquer le Maroc sur le plan militaire.
Ainsi, il a été signalé deux incidents à la frontière terrestre algéro-marocaine.
Le premier a eu lieu fin férier 2013, lorsque des gardes frontières ont tiré à la kalachnikov sur 10 citoyens marocains, habitants à la région d’Aârja dans la province de Figuig, pour leur voler les truffes qu’ils avaient ramassées.
Le second incident est intervenu également fin février 2013 lorsque les soldats algériens ont tenté de provoquer des soldats marocains à la frontière algéro-marocaine près du village de Cherarka en tirant en l’air.
Des provocations auxquelles le Maroc a répondu par une ignorance dédaigneuse.
Enfin, le summum de la mauvaise fréquentation des autorités algérienne est sans nul conteste le chef du polisario, Mohamed Abdelaziz, dit Marrakchi.
En effet, dans sa dernière édition, datée du 06 mars, le très sérieux magazine américain Forbes Magazine décrit l'obscénité du faste de Mohamed Abdelaziz, dans des camps de Tindouf où règne le désespoir des populations sahraouies, privées de leurs droits les plus élémentaires.
Ainsi Richard Miniter, auteur de cet article, confirme que le chef des séparatistes dispose d'un complexe construit en béton armé dans les camps de Tindouf, mais dispose en plus de résidences secondaires somptueuses aussi bien en Espagne que dans d'autres pays d'Europe.
Un faste qui n’a d’égal que l'indigence la plus abjecte des conditions de vie dans des habitats de fortune, sans accès à l'eau potable dont souffrent les populations sahraouies des camps de Tindouf, à l'exception du cercle rapproché de Mohamed Abdelaziz, et qui prouve le détournement mafieux des aides accordées aux séquestrés de Tndouf.
C’est donc bien ce genre de fréquentations algériennes qui nuit à la sécurité régionale et internationale et porte atteinte à la sécurité nationale, à la stabilité, la souveraineté et l’intégrité territoriale de ses voisins et confirme l’adage : «dis moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es». Un adage qui sied bien l’Algérie !
Quant au Royaume du Maroc, je citerai la déclaration faite le 05 mars 2013 par Madame Carmen Romera, porte-parole de l'OTAN, selon laquelle il est «un partenaire stratégique clé du Dialogue méditerranéen et joue un rôle très actif pour la sécurité régionale et internationale». Une déclaration amplement suffisante et qui se passe de tout commentaire.
C’est pourquoi, malgré toutes ces évidences, le polisario et Alger multiplient les plans média pour essayer d'occulter les liaisons dangereuses entre les éléments séparatistes et les terroristes islamistes ayant occupé le Nord du Mali.
Aussi, acculés au dos du mur, les autorités algériennes et le polisario, s'accrochent à une théâtralisation criarde des questions des Droits de l'Homme en maquillant des principes nobles pour servir de vils desseins.
Il est plus que temps qu’Alger comprenne que son activisme suicidaire ne changera rien à la réalité sur le terrain et au soutien, maintes fois réitéré, par la communauté internationale au plan marocain d'autonomie et aux derniers développements portés par le Printemps Arabe qui ont fini par avoir raison du régime Kaddafi, soutien de la première heure du polisario, dont l'extinction annonce celle du polisario qui se rapproche inexorablement, en droite ligne d'une vérité historique irréfragable.
Telle est la conclusion de ce papier.
Farid Mnebhi.
Le conflit qui se déroule actuellement dans le septentrion malien a mis a nu les desseins malfaisants des autorités algériennes et confirmé de manière implacable la présence d’élements du polisario dans les rangs des narco-terroristes.
Une présence confirmée, outre par le Ministre malien des Affaires Etrangères, Tiéman Coulibaly, mais également par les prisonniers détenus par l’armée tchadienne qui mène avec succès des opérations de «dératisation» dans les environs de Tigharghar au Nord Mali, près de la frontière algérienne.
D’ailleurs, le très sérieux magazine américain «Forbes» indique que l'exacerbation des conditions de vie dans les camps des séquestrés de Tindouf, sur fond de répression et de détresse, et la montée en puissance des activités criminelles du groupe terroriste d'Al-Qaida dans le Maghreb Islamique (AQMI) font que le polisario, avec l’assentiment des autorités algériennes, sert de force d'appoint aux franchises de la nébuleuse terroriste dans la région.
Ce magazine, à fort tirage et dont la crédibilité des informations qu’il diffuse ne peut être mise en doute, affirme que l'implication de plus en plus évidente des membres du polisario au sein des groupes terroristes dans la région, s'inscrit dans le cadre d'une tendance encore plus large qui avait vu des éléments polisariens s'engager aux côtés des milices du régime Kadhafi pour réprimer la révolution libyenne et combattre les forces de l'OTAN et constitue une option dangereuse pour la communauté internationale.
Ainsi donc, ce que les autorités algériennes, relayées par la presse locale, qualifiaient de rumeurs non fondées et de mensonges, sont ainsi corroborées non pas de sources marocaines, mais de sources étrangères n’ayant aucun lien direct avec le conflit du Sahara marocain.
Ces éléments de preuves matériels ne laissent point de doute sur le fait que le polisario constitue désormais un des bras armés du terrorisme sahélo-saharien, avec plus 700 hommes, et le paravent d’une politique algérienne visant la déstabilisation de toute la région et en tête, son voisin marocain, et confirment les nombreux rapports officiels et officieux, qui alertaient depuis l’éclatement de la crise nord-malienne, de la forte trouble implication du polisario, dans les combats et les renforcements des groupes terroristes algériens et sahéliens sévissant dans la région.
A ce sujet, Habib Ould Issouf, un nigérien responsable du MUJAO à Gao, avait, lui-même, vanté dans une déclaration à l’AFP, le «précieux soutien de ses frères polisariens».
Pour sa part, le journaliste et spécialiste des questions de défense, Pio Pompa, dans son article paru dans le quotidien italien «Il Foglio» du 1er mar 2013, confirmait également l’existance de liens entre chefs d’AQMI, du MUJAO et d'Ansar Dine et le Département algérien du Renseignement et de Sécurité (DRS).
Il confirme également que le chef du commando de la prise d’otages sanglante d’In Amenas était un élément du polisario qui travaillait pour les services secrets algériens.
C’est pourquoi, son identité n’a jamais été révélée afin de ne pas compromettre définitivement aussi bien l'image du polisario, devenu pour les islamistes une des principales sources de recrutement, que la stratégie désinvolte adoptée par les services secrets algériens pour affirmer leurs propres prérogatives dans toute l'Afrique du Nord et le Sahel.
Enfin, toujours sur ce sujet, on relèvera qu’un rapport publié le 28 février 2013 à Washington par le Centre International des Etudes sur le Terrorisme, relevant du Potomac Institute, met en garde contre la menace AQMI et ses liens avec des organisations criminelles locales, dont le polisario, en soulignant que cette menace pose des défis à la fois tactiques et stratégiques pour la communauté internationale.
Ce même rapport fait état de liens avérés entre AQMI et les cartels latino-américains en vue d’acheminer leurs cargaisons de drogues vers l’Europe, en contrepartie d’armes, et ce par le biais des réseaux terroristes de trafic au Sahel, y compris des membres du polisario.
Une dangerosité qui a fait que les Etats-Unis ont ajouté, le 26 février 2013, à leur liste antiterroriste le chef touareg, très proche du régime algérien, Iyad Ag Ghali, le chef du mouvement islamiste Ansar Dine, en raison de ses liens étroits avec AQMI.
Sur ce chapitre, on ne peut passer sous silence le courage, la bravoure et le professionnalisme des forces armées tchadiennes qui combattent implacablement les ennemis de la liberté, de la démocratie et de la tolérance au Nord Mali afin de restaurer l’intégrité territoriale et la souveraineté du pays amis qu’est le Mali.
Une armée tchadienne qui est en passe de réussir ce que l’armée algérienne, avec tout son armement dernière génération, acheté coup de milliards de dollars, a été incapable faire, à savoir mettre fin aux activités des leaders d’AQMI et autres groupes terroristes qui circulaient, et circulent toujours, dans leur territoire et jusqu’aux portes d’Alger pour traumatiser la population algérienne, notamment Kabyle et touareg, et etouffer tout mouvement de protestations social et politique.
Pour peu que l’armée tchadienne donnent une raclée aux soldats algériens, comme en 1987, où, tout simplement équipée de Toyota Land Cruiser, il avait défait une armée libyenne super équipée en blindés, avions de chasse et hélicoptères de combat, nul ne s’en étonnera.
Jamais, au cours de son histoire militaire, l’armée libyenne n’avait essuyé un échec aussi cinglant et humiliant ! C’est ce qui pend au nez de l’Algérie aujourd’hui, si elle persiste à rester dans cette voie sans issue.
Face ce fiasco, les stratèges algériens ont donc décidé de s’en prendre directement au Maroc.
Aussi, ils ont mobilisé un groupe de cinq eurodéputés, de l'intergroupe parlementaire pour le Sahara, groupe formant lobby algéro-polisarien au Parlement de Strasbourg, pour mener une opération de provocation anti-marocaine et tenter de forcer l’entrée de la ville de Laayoune, le 06 mars 2013 pour dénoncer une prétendue situation des droits de l'homme dans les provinces sahariennes.
Ce groupe est conduit par l’eurodéputé espagnol Willy Meyer, un récidiviste névrosé notoirement connu pour son engagement aux côtés du polisario auprès duquel il trouve probablement sa réponse dans une alchimie subtile dont l’ossature principale était l’axe Tripoli-Alger-Tindouf, des escales exotiques que l’eurodéputé espagnol semblait fréquenter assidument, au nom d’une certaine conception de la révolution qui voudrait que l’on se range du côté de ceux qui affirment les droit universels des autres mais refusent d’appliquer ces maximes à leur propre peuple. Un individu qui refuse encore aujourd’hui de reconnaître son engagement aux côtés de Kaddafi, principal soutien, avec l’Algérie, aux terroristes du polisario.
Ils ont, d’ailleurs, été expulsés vers Madrid dès leur arrivée à sur le territoire marocain.
En complément à cette stratégie, les experts algériens ont également décidé de provoquer le Maroc sur le plan militaire.
Ainsi, il a été signalé deux incidents à la frontière terrestre algéro-marocaine.
Le premier a eu lieu fin férier 2013, lorsque des gardes frontières ont tiré à la kalachnikov sur 10 citoyens marocains, habitants à la région d’Aârja dans la province de Figuig, pour leur voler les truffes qu’ils avaient ramassées.
Le second incident est intervenu également fin février 2013 lorsque les soldats algériens ont tenté de provoquer des soldats marocains à la frontière algéro-marocaine près du village de Cherarka en tirant en l’air.
Des provocations auxquelles le Maroc a répondu par une ignorance dédaigneuse.
Enfin, le summum de la mauvaise fréquentation des autorités algérienne est sans nul conteste le chef du polisario, Mohamed Abdelaziz, dit Marrakchi.
En effet, dans sa dernière édition, datée du 06 mars, le très sérieux magazine américain Forbes Magazine décrit l'obscénité du faste de Mohamed Abdelaziz, dans des camps de Tindouf où règne le désespoir des populations sahraouies, privées de leurs droits les plus élémentaires.
Ainsi Richard Miniter, auteur de cet article, confirme que le chef des séparatistes dispose d'un complexe construit en béton armé dans les camps de Tindouf, mais dispose en plus de résidences secondaires somptueuses aussi bien en Espagne que dans d'autres pays d'Europe.
Un faste qui n’a d’égal que l'indigence la plus abjecte des conditions de vie dans des habitats de fortune, sans accès à l'eau potable dont souffrent les populations sahraouies des camps de Tindouf, à l'exception du cercle rapproché de Mohamed Abdelaziz, et qui prouve le détournement mafieux des aides accordées aux séquestrés de Tndouf.
C’est donc bien ce genre de fréquentations algériennes qui nuit à la sécurité régionale et internationale et porte atteinte à la sécurité nationale, à la stabilité, la souveraineté et l’intégrité territoriale de ses voisins et confirme l’adage : «dis moi qui tu fréquentes, je te dirais qui tu es». Un adage qui sied bien l’Algérie !
Quant au Royaume du Maroc, je citerai la déclaration faite le 05 mars 2013 par Madame Carmen Romera, porte-parole de l'OTAN, selon laquelle il est «un partenaire stratégique clé du Dialogue méditerranéen et joue un rôle très actif pour la sécurité régionale et internationale». Une déclaration amplement suffisante et qui se passe de tout commentaire.
C’est pourquoi, malgré toutes ces évidences, le polisario et Alger multiplient les plans média pour essayer d'occulter les liaisons dangereuses entre les éléments séparatistes et les terroristes islamistes ayant occupé le Nord du Mali.
Aussi, acculés au dos du mur, les autorités algériennes et le polisario, s'accrochent à une théâtralisation criarde des questions des Droits de l'Homme en maquillant des principes nobles pour servir de vils desseins.
Il est plus que temps qu’Alger comprenne que son activisme suicidaire ne changera rien à la réalité sur le terrain et au soutien, maintes fois réitéré, par la communauté internationale au plan marocain d'autonomie et aux derniers développements portés par le Printemps Arabe qui ont fini par avoir raison du régime Kaddafi, soutien de la première heure du polisario, dont l'extinction annonce celle du polisario qui se rapproche inexorablement, en droite ligne d'une vérité historique irréfragable.
Telle est la conclusion de ce papier.
Farid Mnebhi.