L’incident s’est produit un peu après 17 heures, nous a confié un agent de sécurité rencontré sur les lieux. Mais il y a eu plus de peur que de mal, nous rassure notre interlocuteur. Sur place, nous avons pu constater comment l’ouvrage, long de 99 mètres, a cédé en se penchant sur le côté nord du grand bâtiment qui l’abrite.
Résultat des courses, le pylône a fracassé une partie du mur de clôture pour se retrouver dans la rue adjacente. Le spectacle est effrayant, tellement il est inhabituel : câbles, poutrelles métalliques et autres composantes, tout est à terre.
Dans cette rue où l’ouvrage, vieux d'au moins 31 ans, est tombé, une famille entière rend grâce à Dieu de n’avoir pas été impactée par cet accident. Le père de famille, visiblement encore sous le choc, nous explique que tout est allé très vite parce que ses enfants jouaient encore dans la rue, quelques moments avant l’incident.
Il a ajouté qu’un de ses amis a eu la baraka parce qu’il avait l’habitude de garer son luxueux véhicule luxueux à quelques mètres de l’endroit où le pylône est tombé. En fait, quelques riverains pointent du doigt une usure des câbles métalliques supportant l’ouvrage.
Le central téléphonique que surplombait le pylône tombé, structure névralgique de la Sonatel dans la région, a été inauguré le 9 avril 1992 par Moctar Kébé, alors ministre de la Communication, en présence de Cheikh Tidiane Mbaye, Directeur général de la Sonatel à l’époque.
Depuis lors, le pylône était partie intégrante du décor de la ville où sa partie lumineuse était visible de tous les coins, la nuit. Mieux, le central avait inspiré les citoyens de la ville au moment de donner un nom au quartier qui allait naître dans les environs. Logiquement, le nouveau quartier, né à la fin des années 1990, a été baptisé Zone Sonatel.
Aujourd’hui, une perturbation du réseau téléphonique pour ne pas dire des télécommunications de la ville et des zones polarisées par cette installation, est à craindre. Signalons qu’une station radio de la place, Sud FM en l’occurrence, avait son émetteur sur le pylône tombé ce lundi après-midi.
Le Témoin
Résultat des courses, le pylône a fracassé une partie du mur de clôture pour se retrouver dans la rue adjacente. Le spectacle est effrayant, tellement il est inhabituel : câbles, poutrelles métalliques et autres composantes, tout est à terre.
Dans cette rue où l’ouvrage, vieux d'au moins 31 ans, est tombé, une famille entière rend grâce à Dieu de n’avoir pas été impactée par cet accident. Le père de famille, visiblement encore sous le choc, nous explique que tout est allé très vite parce que ses enfants jouaient encore dans la rue, quelques moments avant l’incident.
Il a ajouté qu’un de ses amis a eu la baraka parce qu’il avait l’habitude de garer son luxueux véhicule luxueux à quelques mètres de l’endroit où le pylône est tombé. En fait, quelques riverains pointent du doigt une usure des câbles métalliques supportant l’ouvrage.
Le central téléphonique que surplombait le pylône tombé, structure névralgique de la Sonatel dans la région, a été inauguré le 9 avril 1992 par Moctar Kébé, alors ministre de la Communication, en présence de Cheikh Tidiane Mbaye, Directeur général de la Sonatel à l’époque.
Depuis lors, le pylône était partie intégrante du décor de la ville où sa partie lumineuse était visible de tous les coins, la nuit. Mieux, le central avait inspiré les citoyens de la ville au moment de donner un nom au quartier qui allait naître dans les environs. Logiquement, le nouveau quartier, né à la fin des années 1990, a été baptisé Zone Sonatel.
Aujourd’hui, une perturbation du réseau téléphonique pour ne pas dire des télécommunications de la ville et des zones polarisées par cette installation, est à craindre. Signalons qu’une station radio de la place, Sud FM en l’occurrence, avait son émetteur sur le pylône tombé ce lundi après-midi.
Le Témoin