Cependant, indique l’avocat, « les autorités peuvent mettre fin à sa détention et elles connaissent les mécanismes juridiques pour y parvenir. Par ailleurs, à tous les degrés de juridiction, il existe une autorité à qui la loi confère le pouvoir de mettre fin à cette détention injuste, que ne justifie que le jeu de pouvoir immonde dans une démocratie et un Etat de droit ».
La robe noire a interpellé solennellement le président de la République et le ministre de la Justice, qui ont des pouvoirs leur permettant d’activer des leviers qui ne portent pas atteinte à la séparation des pouvoirs et qui seraient conformes aux droits civils de la personne, garantis et protégés par les instruments internationaux des droits de l’homme.
« Je lance aussi un appel pressant aux autorités religieuses qui ne doivent pas rester indifférentes face à cette situation, afin qu’elles usent de leur pouvoir et influence, pour la libération immédiate et sans délai, de Monsieur Ousmane Sonko qui, comme tout citoyen, doit jouir des droits élémentaires prévus par les lois nationales et les instruments juridiques internationaux ratifiés par le Sénégal et qui font que la détention avant jugement, doit être une exception et la liberté, la règle », a-t-il déclaré.
Avant de poursuivre : « Je fais appel enfin à la communauté internationale soucieuse de paix et de stabilité dans la sous-région et dans le continent, pour qu’elle fasse tout ce que les accords et les liens d’amitié leur permet, pour que le trouble grave et persistant que cause le seul maintien en détention de M. Ousmane Sonko soit solutionné, avant que l’irréparable qui est prévisible ne se produise, avec des conséquences graves sur la paix, la sécurité et la stabilité dans la sous-région ».
La robe noire a interpellé solennellement le président de la République et le ministre de la Justice, qui ont des pouvoirs leur permettant d’activer des leviers qui ne portent pas atteinte à la séparation des pouvoirs et qui seraient conformes aux droits civils de la personne, garantis et protégés par les instruments internationaux des droits de l’homme.
« Je lance aussi un appel pressant aux autorités religieuses qui ne doivent pas rester indifférentes face à cette situation, afin qu’elles usent de leur pouvoir et influence, pour la libération immédiate et sans délai, de Monsieur Ousmane Sonko qui, comme tout citoyen, doit jouir des droits élémentaires prévus par les lois nationales et les instruments juridiques internationaux ratifiés par le Sénégal et qui font que la détention avant jugement, doit être une exception et la liberté, la règle », a-t-il déclaré.
Avant de poursuivre : « Je fais appel enfin à la communauté internationale soucieuse de paix et de stabilité dans la sous-région et dans le continent, pour qu’elle fasse tout ce que les accords et les liens d’amitié leur permet, pour que le trouble grave et persistant que cause le seul maintien en détention de M. Ousmane Sonko soit solutionné, avant que l’irréparable qui est prévisible ne se produise, avec des conséquences graves sur la paix, la sécurité et la stabilité dans la sous-région ».