"(…). Comme je vous l’ai toujours indiqué, je ne reconnais ni la légitimité, ni la représentativité de cette structure qui a choisi d’évoluer en marge de la légalité", a assaisonné Me Wade.
Le président de la république ne s’en est pas tenu à ce recadrage. Selon lui, il revient au gouvernement de se charger de cette question. «Au demeurant, la question de la Casamance relevant de la responsabilité du gouvernement, il lui appartient de choisir les voies et moyens de son règlement dans le respect de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale du Sénégal », a appris Me Wade.
Sur la même lancée, le président a exhumé le passé du parti socialiste qui a selon lui ouvert ce conflit dont "est membre" Mactar Mbow. "Le parti socialiste dont vous êtes un membre influent est celui-là même qui a allumé en Casamance l'incendie qu'il n'a pas pu éteindre en 18 ans. Par quel miracle détiendrait-il une solution?", a demandé Me Wade qui "dit avancer lentement mais sûrement vers la paix qui pourrait les surprendre".
A noter que le président de la république a été saisi le 1er février 2011 par lettre n° n°11/02/0023/MC portant proposition de solution à la crise casamançaise.
Charles Thialice SENGHOR PRESSAFRIK
Le président de la république ne s’en est pas tenu à ce recadrage. Selon lui, il revient au gouvernement de se charger de cette question. «Au demeurant, la question de la Casamance relevant de la responsabilité du gouvernement, il lui appartient de choisir les voies et moyens de son règlement dans le respect de la souveraineté nationale et de l’intégrité territoriale du Sénégal », a appris Me Wade.
Sur la même lancée, le président a exhumé le passé du parti socialiste qui a selon lui ouvert ce conflit dont "est membre" Mactar Mbow. "Le parti socialiste dont vous êtes un membre influent est celui-là même qui a allumé en Casamance l'incendie qu'il n'a pas pu éteindre en 18 ans. Par quel miracle détiendrait-il une solution?", a demandé Me Wade qui "dit avancer lentement mais sûrement vers la paix qui pourrait les surprendre".
A noter que le président de la république a été saisi le 1er février 2011 par lettre n° n°11/02/0023/MC portant proposition de solution à la crise casamançaise.
Charles Thialice SENGHOR PRESSAFRIK