D’après « Libération », il avoue qu’il a commencé à commercialiser les médicaments parce qu’il avait déjà un stock de deux containers et que la date de péremption s’approchait.
«Ce serait un énorme manquer à gagner si je ne parvenais pas à les écouler au niveau des hôpitaux, centres de santé, cliniques», a-t-il dit.
«Je reconnais les faits qui me sont reprochés. Je travaille dans l’illégalité (…) À propos de la commercialisation des médicaments, nous avons accompli toute la procédure nécessaire en la matière et les dossiers ont été déposés à la Direction de la Pharmacie et du Médicament, mais l’autorisation n’est pas encore sortie», a-t-il avoué.
«Ce serait un énorme manquer à gagner si je ne parvenais pas à les écouler au niveau des hôpitaux, centres de santé, cliniques», a-t-il dit.
«Je reconnais les faits qui me sont reprochés. Je travaille dans l’illégalité (…) À propos de la commercialisation des médicaments, nous avons accompli toute la procédure nécessaire en la matière et les dossiers ont été déposés à la Direction de la Pharmacie et du Médicament, mais l’autorisation n’est pas encore sortie», a-t-il avoué.