Karim Wade, après avoir fait annoncer qu’il se rendrait au meeting de Diourbel qu’organisaient les partisans de son mouvement politique dit la « génération du concret », avait fini par faire faux-bond. Pour d’aucuns, Karim ne pouvait pas faire autrement, parce que ne maîtrisant pas la langue du terroir, le Wolof. Il était annoncé qu’il allait l’usiter à l’occasion. L’histoire s’est répétée ce dernier week-end dans la banlieue dakaroise. En dépit d’avoir annoncé sa présence effective, il a fini par se débiner, pour « raison d’absence sur le territoire national ». Il se fera représenter par des ministres de la République, à la tête desquels, le ministre d’État, directeur de cabinet du chef de l’État, Habib Sy. La République à l’envers, pourrait-on commenter. Mais, malgré sa précaution, les foules ont simplement boycotté la manifestation.
Pourtant Karim Wade, dans sa tentative de conquête de la banlieue, est entrain d’y faire construire sa première maison. Mais, la pilule ne passe toujours pas. Car, tous les engagements qu’il y a pris, depuis le temps où il était président de l’Anoci, ne sont pas tenus : emplois et infrastructures. Il s’y ajoute que ses locations journalières de jets privés, pour courir le monde, ne sont pas appréciées par les populations, qu’elles ruinent. Il y’a également que Karim est perçu comme celui qui se sert de la position que lui a conférée son père dans l’appareil d’État, pour se servir. Son nom est lié à tous les scandales financiers, qui se chiffrent en des centaines de milliards. Des agissements qui révoltent les populations, que Karim Wade évite, pour ne pas se faire huer.
Karim évite les foules en banlieue et dans l’intérieur du pays, parce que sachant, également, que la volonté de son père de lui transmettre le pouvoir, à 86 ans et après l’obtention d’un troisième mandat, usurpé, révolte l’essentiel des Sénégalais. Ce sont pour ces quelques raisons que Karim évite les foules. Il ne peut plus les voir que dans l’espace présidentiel. À l’occasion c’est son père qui met la main à la poche, pour payer la location des cars, la présence des « militants » et leur restauration. Un autre gouffre financier, qui ulcère les Sénégalais.
Pourtant Karim Wade, dans sa tentative de conquête de la banlieue, est entrain d’y faire construire sa première maison. Mais, la pilule ne passe toujours pas. Car, tous les engagements qu’il y a pris, depuis le temps où il était président de l’Anoci, ne sont pas tenus : emplois et infrastructures. Il s’y ajoute que ses locations journalières de jets privés, pour courir le monde, ne sont pas appréciées par les populations, qu’elles ruinent. Il y’a également que Karim est perçu comme celui qui se sert de la position que lui a conférée son père dans l’appareil d’État, pour se servir. Son nom est lié à tous les scandales financiers, qui se chiffrent en des centaines de milliards. Des agissements qui révoltent les populations, que Karim Wade évite, pour ne pas se faire huer.
Karim évite les foules en banlieue et dans l’intérieur du pays, parce que sachant, également, que la volonté de son père de lui transmettre le pouvoir, à 86 ans et après l’obtention d’un troisième mandat, usurpé, révolte l’essentiel des Sénégalais. Ce sont pour ces quelques raisons que Karim évite les foules. Il ne peut plus les voir que dans l’espace présidentiel. À l’occasion c’est son père qui met la main à la poche, pour payer la location des cars, la présence des « militants » et leur restauration. Un autre gouffre financier, qui ulcère les Sénégalais.