Les conséquences sur la sexualité sont en effet bien réelles.
Les vélos peuvent produire des troubles de l’érection, de douleurs, une diminution de la sensibilité au niveau du périnée. Les répercussions touchent aussi bien les hommes que les femmes. Lors d’une étude sur les effets du vélo sur la santé, 60% des hommes rapportaient des problèmes d’engourdissement au niveau génital. Les spécialistes ont expliqué que cet engourdissement fréquent était du à la pression exercée par la selle qui peut réduire la circulation sanguine dans la zone et imposer une pression excessive sur les nerfs érectiles.
Une synthèse d’études, The vicious cycling: bicycling related urogenital disorders, avait attiré l’attention sur les troubles causés par la pratique du cyclisme, telle que la dysfonction érectile, la compression du nerf pudendal (appelée syndrome d’Alcock), la prostatite et l’élévation du PSA. Des lésions telles que le troisième testicule ou l’hygroma peuvent également survenir.
En effet, ils rapportent que les cyclistes réguliers ont plus de problèmes testiculaires et plus de problèmes d’infertilité que les autres, en partie à cause de l’échauffement engendré par la pratique précisément au niveau des testicules. La selle exerce de fortes pressions sur la zone du périnée située entre l’arrière des testicules et l’anus. Elle risque donc de comprimer les nerfs et, surtout, les vaisseaux sanguins indispensables à l’érection. Mal irriguée, la région sexuelle fonctionne moins bien.
Pour éviter tout problème d’érection vous devez utiliser une selle confortable de bonne qualité, large et rembourrée.
Vous devez choisir un modèle qui ne va pas trop appuyer sur le périnée.
Vos pédales doit être ajustées pour que le poids du corps repose en partie sur les pieds, au lieu de porter entièrement sur la selle.
Vous devez également pédaler debout sur le vélo toutes les dix minutes. Cela va permettre de relâcher la pression et donc de laisser le sang circuler dans les vaisseaux.
Les vélos peuvent produire des troubles de l’érection, de douleurs, une diminution de la sensibilité au niveau du périnée. Les répercussions touchent aussi bien les hommes que les femmes. Lors d’une étude sur les effets du vélo sur la santé, 60% des hommes rapportaient des problèmes d’engourdissement au niveau génital. Les spécialistes ont expliqué que cet engourdissement fréquent était du à la pression exercée par la selle qui peut réduire la circulation sanguine dans la zone et imposer une pression excessive sur les nerfs érectiles.
Une synthèse d’études, The vicious cycling: bicycling related urogenital disorders, avait attiré l’attention sur les troubles causés par la pratique du cyclisme, telle que la dysfonction érectile, la compression du nerf pudendal (appelée syndrome d’Alcock), la prostatite et l’élévation du PSA. Des lésions telles que le troisième testicule ou l’hygroma peuvent également survenir.
En effet, ils rapportent que les cyclistes réguliers ont plus de problèmes testiculaires et plus de problèmes d’infertilité que les autres, en partie à cause de l’échauffement engendré par la pratique précisément au niveau des testicules. La selle exerce de fortes pressions sur la zone du périnée située entre l’arrière des testicules et l’anus. Elle risque donc de comprimer les nerfs et, surtout, les vaisseaux sanguins indispensables à l’érection. Mal irriguée, la région sexuelle fonctionne moins bien.
Pour éviter tout problème d’érection vous devez utiliser une selle confortable de bonne qualité, large et rembourrée.
Vous devez choisir un modèle qui ne va pas trop appuyer sur le périnée.
Vos pédales doit être ajustées pour que le poids du corps repose en partie sur les pieds, au lieu de porter entièrement sur la selle.
Vous devez également pédaler debout sur le vélo toutes les dix minutes. Cela va permettre de relâcher la pression et donc de laisser le sang circuler dans les vaisseaux.
Larissa k AFRK.MAG