L’enquête sur la mort Mariama Sagna, responsable des femmes de Pastef à Keur Massar, commence à dévoiler ses secrets. Selon « Libération », la thèse d’un viol qui a mal tourné, paraissait évidente.
Le journal signale que la victime était presque nue et des traces de sperme étaient visibles sur son corps, lorsqu’elle a été découverte inerte dans sa chambre.
D’après la source, l’un des charretiers, arrêté sur la base de plusieurs témoignages, a fait des aveux complets face aux enquêteurs. Il a reconnu n’avoir pas agi seul. Ensuite, il a expliqué que lorsqu’ils sont arrivés dans le domicile, il n’y avait personne.
C’est en avançant qu’ils ont trouvé Mariama Sagna, couverte à moitié, en train de sortir de la salle de bain. C’est sans doute la vue de cette nudité qui a réveillé leur instinct de prédateur.
L’un des meurtriers présumés a révélé qu’ils se sont ensuite jetés sur cette mère de famille pour la violer tout à tour et ce serait son complice qui l’aurait étranglé parce qu’elle criait.
En outre, Libération souligne que le certificat de genre de mort a attesté qu’elle a été étranglée alors que l’autopsie pratiquée à l’hôpital Le Dantec a confirmé plusieurs pénétrations.
Le journal signale que la victime était presque nue et des traces de sperme étaient visibles sur son corps, lorsqu’elle a été découverte inerte dans sa chambre.
D’après la source, l’un des charretiers, arrêté sur la base de plusieurs témoignages, a fait des aveux complets face aux enquêteurs. Il a reconnu n’avoir pas agi seul. Ensuite, il a expliqué que lorsqu’ils sont arrivés dans le domicile, il n’y avait personne.
C’est en avançant qu’ils ont trouvé Mariama Sagna, couverte à moitié, en train de sortir de la salle de bain. C’est sans doute la vue de cette nudité qui a réveillé leur instinct de prédateur.
L’un des meurtriers présumés a révélé qu’ils se sont ensuite jetés sur cette mère de famille pour la violer tout à tour et ce serait son complice qui l’aurait étranglé parce qu’elle criait.
En outre, Libération souligne que le certificat de genre de mort a attesté qu’elle a été étranglée alors que l’autopsie pratiquée à l’hôpital Le Dantec a confirmé plusieurs pénétrations.