Le site français visité par Leral.net relate une affaire de fraude dans laquelle est trempé l'avocat français Michel de Guillenchmidt qui a présidé le panel organisé par Wade et ses alliés pour valider sa candidature. Selon le point, « La justice a donné raison à l'industriel italien Carlo de Benedetti et a condamné plusieurs sociétés, dont Oléron Participations, fondée par les hommes d'affaires Alain Minc et Pierre Bergé, à lui verser 13,9 millions d'euros, a-t-on appris mardi auprès du TGI de Paris. Dans un jugement rendu vendredi, la 5e chambre civile a estimé que les sociétés Soparfi, Oléron Participations, Avelinvest, ainsi que l'avocat parisien Michel de Guillenchmidt s'étaient bien rendus coupables de manœuvres frauduleuses à l'encontre de Ciga Luxembourg, une société appartenant au groupe Cerus de l'Italien Carlo de Benedetti ».
L’article du Point rappelle que le litige est pour le moins complexe et date de 1992. « La société Final, dirigée par un ami d'Alain Minc, Patrick Gentil, souhaite alors acquérir la Soparfi, une société sans réel intérêt si ce n'est qu'elle contrôle Hoyez, un fabricant de cloisons amovibles. À cette fin, elle obtient un prêt de 125 millions de francs (environ 19 millions d'euros) auprès de la banque Duménil Leblé, propriété de Cerus. Seule la rentabilité de Hoyez pourra permettre à Final-Soparfi de rembourser cet emprunt », rapporte le site.
Le rôle joué dans cette affaire par le constitutionnaliste de Wade est décrit ici par le Point qui nous apprend que la société incriminée, en l’occurrence Avelinvest, filiale d’Oleron Participation était contrôlée directement ou indirectement par Michel de Guillenchmidt. Concomitamment avec Patrick Gentil.
L’article du Point rappelle que le litige est pour le moins complexe et date de 1992. « La société Final, dirigée par un ami d'Alain Minc, Patrick Gentil, souhaite alors acquérir la Soparfi, une société sans réel intérêt si ce n'est qu'elle contrôle Hoyez, un fabricant de cloisons amovibles. À cette fin, elle obtient un prêt de 125 millions de francs (environ 19 millions d'euros) auprès de la banque Duménil Leblé, propriété de Cerus. Seule la rentabilité de Hoyez pourra permettre à Final-Soparfi de rembourser cet emprunt », rapporte le site.
Le rôle joué dans cette affaire par le constitutionnaliste de Wade est décrit ici par le Point qui nous apprend que la société incriminée, en l’occurrence Avelinvest, filiale d’Oleron Participation était contrôlée directement ou indirectement par Michel de Guillenchmidt. Concomitamment avec Patrick Gentil.