Depuis quelques mois, la France tente plus que jamais de convaincre les migrants de rentrer chez eux. Au moment de l’évacuation de la « jungle » de Calais, cette option a été très largement présentée aux 5 000 exilés qui ont accepté de rejoindre les centres d’accueil et d’orientation (CAO) fin octobre. Efforts couronnés par le départ de 103 Afghans et de 27 Pakistanais de ce campement insalubre.
Pour cela, le gouvernement est prêt à payer et a décidé « de porter à 2 500 euros le montant maximum d’aide au retour » pour les ressortissants acceptant de rentrer volontairement dans leur pays explique le directeur général de l’Office français d’immigration et d’intégration (OFII), Didier Leschi.
Les Britanniques, intéressés aussi à diminuer le stock de migrants souhaitant entrer sur leur territoire rembourseront 1 000 euros par départ effectif.
Si ce dispositif qui fait figure d’«opération spéciale», prend fin au 31 décembre ; l’incitation au départ s’impose comme une politique de long terme en France. « C’est l’une des priorités de la loi de juillet 2015 sur le droit au séjour des étrangers », rappelle Didier Leschi, le directeur de l’OFII, l’organisme en charge de développer cette politique.
Pour cela, le gouvernement est prêt à payer et a décidé « de porter à 2 500 euros le montant maximum d’aide au retour » pour les ressortissants acceptant de rentrer volontairement dans leur pays explique le directeur général de l’Office français d’immigration et d’intégration (OFII), Didier Leschi.
Les Britanniques, intéressés aussi à diminuer le stock de migrants souhaitant entrer sur leur territoire rembourseront 1 000 euros par départ effectif.
Si ce dispositif qui fait figure d’«opération spéciale», prend fin au 31 décembre ; l’incitation au départ s’impose comme une politique de long terme en France. « C’est l’une des priorités de la loi de juillet 2015 sur le droit au séjour des étrangers », rappelle Didier Leschi, le directeur de l’OFII, l’organisme en charge de développer cette politique.