L’ambassadeur s’est projeté vers d’autres programmes, à savoir la mise en place d’un nouveau projet de lutte au Sénégal. « Ce nouveau projet entamera sous peu son travail d’appui aux efforts sénégalais, sous le nom de partenariat opérationnel de lutte contre le trafic de migrants, la traite des personnes, les trafics transfrontaliers et le terrorisme au Sénégal ».
Toutefois, dans le processus de lutte contre la migration, l’Union européenne au-delà des faits existants, renseigne que « nous vivons une situation qui nous interpelle tous et nous rappelle à quel point, il est important pour le Sénégal comme pour tous les pays du monde, de parvenir à gérer et encadrer ses flux migratoires. Nous nous devons d’agir ensemble, afin de développer les perspectives et opportunités pour la jeunesse, de renforcer les voies légales de migration, tout en luttant contre le fléau de la migration irrégulière ».
Selon Jean Pisani, qui faisait l’économie du programme Gouvernance, migration et développement, « l’initiative UEOIM a permis à plus de 500 migrants, de bénéficier d’accompagnement au retour, de prise en charge psychologique et de projet de réintégration économique, soit individuel soit communautaire ; le programme Gouvernance, migration et développement (GMD) qui a accompagné la mise en place de 14 Bureaux d’accueil d’orientation et de suivi (BAOS) et un quinzième qui est en cours d’installation à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass. Plus de 600 projets ont été financés pour les migrants de retour».
Avec Le Grand Panel
Toutefois, dans le processus de lutte contre la migration, l’Union européenne au-delà des faits existants, renseigne que « nous vivons une situation qui nous interpelle tous et nous rappelle à quel point, il est important pour le Sénégal comme pour tous les pays du monde, de parvenir à gérer et encadrer ses flux migratoires. Nous nous devons d’agir ensemble, afin de développer les perspectives et opportunités pour la jeunesse, de renforcer les voies légales de migration, tout en luttant contre le fléau de la migration irrégulière ».
Selon Jean Pisani, qui faisait l’économie du programme Gouvernance, migration et développement, « l’initiative UEOIM a permis à plus de 500 migrants, de bénéficier d’accompagnement au retour, de prise en charge psychologique et de projet de réintégration économique, soit individuel soit communautaire ; le programme Gouvernance, migration et développement (GMD) qui a accompagné la mise en place de 14 Bureaux d’accueil d’orientation et de suivi (BAOS) et un quinzième qui est en cours d’installation à l’aéroport international Blaise Diagne de Diass. Plus de 600 projets ont été financés pour les migrants de retour».
Avec Le Grand Panel