L’hiver dernier, alors que le transfert d’Alexandre Pato au Paris Saint-Germain semblait conclu, Silvio Berlusconi avait douché les espoirs du club de la capitale en faisant capoter l’opération avec son véto personnel. Mais cette fois, le patron des Rossoneri ne pourra pas s’opposer au départ du Brésilien Thiago Silva. En effet, alors que les médias français et transalpins s’accordent pour annoncer l’arrivée imminente de l’international auriverde chez les Rouge-et-Bleu, Berlusconi a lâché une phrase qui ravira les supporters parisiens.
« Les comptes (en banque) vont mal. Pour Thiago, je ne peux rien faire. Ils me donnent 46 millions d’euros… », a-t-il déclaré dans des propos relayés par La Stampa. Sauf surprise, le PSG et ses pétrodollars ont donc finalement convaincu le champion d’Europe 2007 de lâcher son roc défensif. S’il restait prudent, le directeur sportif parisien, Leonardo, pouvait donc laisser transpirer un optimisme notable. Reste maintenant à connaître les détails exacts de l’affaire.
Alors que Berlusconi annonce un chiffre de 46 M€, le PSG a-t-il accepté d’effecteur un paiement d’une seule traite ou a-t-il convaincu Galliani de rentrer à Milan avec un chèque de 40 M€ plus 6 M€ de bonus ? On aura tout le temps de le savoir. Car désormais, après l’évocation de tous ces épisodes survenus depuis hier, seule l’officialisation du transfert manque à l’appel. Un ultime chapitre qui devrait intervenir assez rapidement si l’on se fie au président milanais.
Matthieu Margueritte
« Les comptes (en banque) vont mal. Pour Thiago, je ne peux rien faire. Ils me donnent 46 millions d’euros… », a-t-il déclaré dans des propos relayés par La Stampa. Sauf surprise, le PSG et ses pétrodollars ont donc finalement convaincu le champion d’Europe 2007 de lâcher son roc défensif. S’il restait prudent, le directeur sportif parisien, Leonardo, pouvait donc laisser transpirer un optimisme notable. Reste maintenant à connaître les détails exacts de l’affaire.
Alors que Berlusconi annonce un chiffre de 46 M€, le PSG a-t-il accepté d’effecteur un paiement d’une seule traite ou a-t-il convaincu Galliani de rentrer à Milan avec un chèque de 40 M€ plus 6 M€ de bonus ? On aura tout le temps de le savoir. Car désormais, après l’évocation de tous ces épisodes survenus depuis hier, seule l’officialisation du transfert manque à l’appel. Un ultime chapitre qui devrait intervenir assez rapidement si l’on se fie au président milanais.
Matthieu Margueritte