Une situation alarmante pour l’avenir de l’agriculture
Selon le ministre, il a été constaté que plusieurs directions, directions générales et sociétés pertinentes de son département négligent ces jeunes dans leurs processus de stages et de recrutements.
Cette situation engendre frustration et démotivation parmi ces diplômés, pourtant formés pour relever les défis des métiers agricoles. Une telle tendance, souligner la circulaire, est préjudiciable à la politique de formation et d'insertion du ministère, et pourrait nuire aux objectifs fixés en matière de développement agricole et de souveraineté alimentaire.
Des instructions fermes pour un changement immédiat
Afin de résoudre cette problématique, le ministre Mabouba Diagne a donné des instructions claires : désormais, toutes les structures seront impliquées et collaboreront étroitement avec le Bureau de la Formation professionnelle agricole pour l'organisation des étapes et des recrutements. L'objectif est de mettre en place une politique dynamique et durable d'insertion des jeunes formés, en valorisant leurs compétences et en leur offrant des opportunités professionnelles dans le secteur agricole.
Pour faciliter cette démarche, les coordonnées du Chef du Bureau de la Formation professionnelle agricole, Monsieur Serigne Cissé, ont été communiqués :
• Téléphone : 77 174 86 12
• Courriel : s .cisse @hotmail .fr
•
Les destinataires de la circulaire
La directive s'adresse notamment aux principales entités sous tutelle du ministère, telles que :
• SAED
• SONACOS
• SODEFITEX
• SODAGRI
• ANCAR
• ISRA
• ANIDA
• DPV
• DARSA
Un appel à une exécution rigoureuse
Le ministre a insisté sur l'importance d'une mise en œuvre rigoureuse de cette mesure, réaffirmant son engagement à promouvoir une insertion professionnelle équitable pour les jeunes diplômés. Cette initiative s'inscrit dans une vision globale visant à renforcer le secteur agricole tout en offrant des perspectives d'avenir aux nouvelles générations.
Avec cette circulaire, le ministère de l'Agriculture montre une volonté claire de corriger les dysfonctionnements et de redonner confiance à une jeunesse désireuse de contribuer activement au développement du pays
Selon le ministre, il a été constaté que plusieurs directions, directions générales et sociétés pertinentes de son département négligent ces jeunes dans leurs processus de stages et de recrutements.
Cette situation engendre frustration et démotivation parmi ces diplômés, pourtant formés pour relever les défis des métiers agricoles. Une telle tendance, souligner la circulaire, est préjudiciable à la politique de formation et d'insertion du ministère, et pourrait nuire aux objectifs fixés en matière de développement agricole et de souveraineté alimentaire.
Des instructions fermes pour un changement immédiat
Afin de résoudre cette problématique, le ministre Mabouba Diagne a donné des instructions claires : désormais, toutes les structures seront impliquées et collaboreront étroitement avec le Bureau de la Formation professionnelle agricole pour l'organisation des étapes et des recrutements. L'objectif est de mettre en place une politique dynamique et durable d'insertion des jeunes formés, en valorisant leurs compétences et en leur offrant des opportunités professionnelles dans le secteur agricole.
Pour faciliter cette démarche, les coordonnées du Chef du Bureau de la Formation professionnelle agricole, Monsieur Serigne Cissé, ont été communiqués :
• Téléphone : 77 174 86 12
• Courriel : s .cisse @hotmail .fr
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Les destinataires de la circulaire
La directive s'adresse notamment aux principales entités sous tutelle du ministère, telles que :
• SAED
• SONACOS
• SODEFITEX
• SODAGRI
• ANCAR
• ISRA
• ANIDA
• DPV
• DARSA
Un appel à une exécution rigoureuse
Le ministre a insisté sur l'importance d'une mise en œuvre rigoureuse de cette mesure, réaffirmant son engagement à promouvoir une insertion professionnelle équitable pour les jeunes diplômés. Cette initiative s'inscrit dans une vision globale visant à renforcer le secteur agricole tout en offrant des perspectives d'avenir aux nouvelles générations.
Avec cette circulaire, le ministère de l'Agriculture montre une volonté claire de corriger les dysfonctionnements et de redonner confiance à une jeunesse désireuse de contribuer activement au développement du pays