De l'avis unanime des acteurs, le rôle des médias est primordial et les attentes sont très fortes. Dans ce secteur, Abdou Aziz Mandiang, qui est dans le comité de plaidoyer de la santé, campe le débat.
"Nous voulons un comité sénégalais très fort. Il reste une réelle volonté de l'Etat pour arriver à ce stade, d'autant que le Sénégal a été rétrogradé au niveau B. Alors que le niveau A nous sied mieux", souligne-t-il.
A l'en croire, "la réforme est en cours, mais la presse doit aider la société civile à avoir un comité sénégalais très fort. Pour ce faire, il faut que l'Etat mette à la tête de ce comité un homme neutre, qui pourra décider en toute autonomie et objectivité".
"Nous voulons un comité sénégalais très fort. Il reste une réelle volonté de l'Etat pour arriver à ce stade, d'autant que le Sénégal a été rétrogradé au niveau B. Alors que le niveau A nous sied mieux", souligne-t-il.
A l'en croire, "la réforme est en cours, mais la presse doit aider la société civile à avoir un comité sénégalais très fort. Pour ce faire, il faut que l'Etat mette à la tête de ce comité un homme neutre, qui pourra décider en toute autonomie et objectivité".