L’affaire du Commissaire Harouna Sy a failli mettre les Nations-Unis dans une situation embarrassante, à en croire "L’Observateur", qui précise que l’Organisation onusienne «a fait preuve d’une grande diplomatie pour éviter au Sénégal l’humiliation». Selon le journal, l’Onu a traité avec une infinie précaution la saisine de la Raddho et des autres mouvements de défense des Droits de l’Homme qui protestaient contre l’admission du commissaire Sy dans la mission de l’Onu au Darfour.
Dans le maniement de cette affaire embarrassante, l’Onu a tenu à gérer jusqu’au bout «les susceptibilités de l’Etat du Sénégal», lit-on dans le journal, qui ajoute qu’au moment de prononcer la suspension de la procédure d’admission du commissaire Harouna Sy, «les autorités onusiennes ont demandé aux organisations plaignantes de garder les informations confidentielles (ndlr : ce qui n’a pas été le cas avec les fuites constatées depuis samedi) pour gérer cette affaire sans humilier l’Etat du Sénégal».
Ainsi, renseigne le journal, l’Onu a choisi d’informer la Mission diplomatique du Sénégal à New York «par note verbale» de la mesure de suspension de l’admission de l’ancien commissaire central de Dakar, «en attendant les résultats des enquêtes approfondies».
Lesenegalais
Dans le maniement de cette affaire embarrassante, l’Onu a tenu à gérer jusqu’au bout «les susceptibilités de l’Etat du Sénégal», lit-on dans le journal, qui ajoute qu’au moment de prononcer la suspension de la procédure d’admission du commissaire Harouna Sy, «les autorités onusiennes ont demandé aux organisations plaignantes de garder les informations confidentielles (ndlr : ce qui n’a pas été le cas avec les fuites constatées depuis samedi) pour gérer cette affaire sans humilier l’Etat du Sénégal».
Ainsi, renseigne le journal, l’Onu a choisi d’informer la Mission diplomatique du Sénégal à New York «par note verbale» de la mesure de suspension de l’admission de l’ancien commissaire central de Dakar, «en attendant les résultats des enquêtes approfondies».
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