"Je n’ai aucune influence sur les décisions prises par le président Wade. Mes enfants non plus. Ce sont les mêmes rumeurs qui circulaient sur Elisabeth Diouf et sa famille", a déclaré Viviane Wade qui a toutefois concédé qu’actuellement, avec ses nouvelles charges, Karim Wade est plus impliqué dans la gestion du pouvoir que Sindjéli.
Interpellée sur les accusations et les critiques essuyées par son fils Karim Wade, Viviane Wade affirme : « Les attaques contre Karim ne m’ont fait ni chaud, ni froid parce que ce n’était pas vrai. Si quelqu’un porte un déshonneur à ma famille, je pousse mes enfants à porter plainte. Ça a été le cas avec quelqu’un qui est au Canada (Souleymane Jules Diop Ndlr). Quand on est sur de sa bonne foi, on porte plainte et la justice va trancher », a assuré la présidente de l’Association Education-Santé.
En ce qui concerne les différentes ruptures ou séparations notées entre Me Wade et certains de ses collaborateurs, elle indique les avoir vécues sans états d’âme.
Sur ses rapports avec les opposants tels Amath Dansokho ou Moustapha Niasse, Mme Wade affirme : « S’ils trouvent qu’ils doivent quitter, ils quittent. Il n’y a pas d’animosité entre nous. Quand on se rencontre dans un aéroport on s’embrasse ».
"J’ai choisi d’implanter un hôpital moderne à Ninéfécha pour faire une réparation. Les Bédiks ne sont pas très connus des autres ethnies du Sénégal. Avec cet hôpital, des jeunes de la localité m’ont dit qu’ils ont retrouvé leur honneur", assure-t-elle.
- Par Béatrice L. -
NETTALI.NET-
Interpellée sur les accusations et les critiques essuyées par son fils Karim Wade, Viviane Wade affirme : « Les attaques contre Karim ne m’ont fait ni chaud, ni froid parce que ce n’était pas vrai. Si quelqu’un porte un déshonneur à ma famille, je pousse mes enfants à porter plainte. Ça a été le cas avec quelqu’un qui est au Canada (Souleymane Jules Diop Ndlr). Quand on est sur de sa bonne foi, on porte plainte et la justice va trancher », a assuré la présidente de l’Association Education-Santé.
En ce qui concerne les différentes ruptures ou séparations notées entre Me Wade et certains de ses collaborateurs, elle indique les avoir vécues sans états d’âme.
Sur ses rapports avec les opposants tels Amath Dansokho ou Moustapha Niasse, Mme Wade affirme : « S’ils trouvent qu’ils doivent quitter, ils quittent. Il n’y a pas d’animosité entre nous. Quand on se rencontre dans un aéroport on s’embrasse ».
"J’ai choisi d’implanter un hôpital moderne à Ninéfécha pour faire une réparation. Les Bédiks ne sont pas très connus des autres ethnies du Sénégal. Avec cet hôpital, des jeunes de la localité m’ont dit qu’ils ont retrouvé leur honneur", assure-t-elle.
- Par Béatrice L. -
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