Où en-êtes-vous avec votre association de lutteurs Vip ?
Les gens parlent de Vip, mais ce sont les journalistes qui ont collé le mot Vip. Pour moi, tous les lutteurs sont des Vip. Tout le monde ne pouvait pas venir à la réunion. On a choisi certains pour discuter et au cours des échanges, le mot Vip est sorti. C’est la seule réunion et il n’y en a pas encore eu d‘autres. Je pense que c’était toujours dans le souci de bien faire. On voulait faire avancer les choses et on espérait que tous les lutteurs allaient tirer dans la même direction. Malheureusement, les gens n’ont pas compris nos motivations. Il n’existe pas de Vip dans l’arène.
Comment voyez-vous tous ces bruits autour de l’arène ces temps derniers ?
L’arène ne peut pas se dissocier des disputes avec tous ces millions qu’elle brasse. Tout finit autour d’une table de négociations pour trouver une entente. Tous les lutteurs n’ont pas les mêmes ambitions, les mêmes problèmes et visions. Le Cng a initié une série de rencontres avec les démembrements de la lutte et on espère, au finish, que des changements vont être opérés.
Qui sont les potentiels adversaires de Modou Lô ?
Je n’ai pas un problème d’adversaire dans l’arène. Il n’y a jamais eu une lenteur pour ficeler un combat. Ce ne sont pas les promoteurs qui organisent les affiches, mais plutôt l’arène. Si mon affiche avec Tapha Tine, Balla Gaye n°2 ou Eumeu Sène s’impose, je nouerai mon «nguimb». «Lamb mooy bollé mbeur yi».
Au-delà du lutteur, Modou Lô est devenu un homme d’affaires…
Il faut distinguer Modou Lô l’athlète, de l’humanitaire et du businessman. D’ailleurs, pour l’homme d’affaires que je suis, je m’apprête à lancer ma marque de parfum pour le mois de novembre après avoir lancé ma ligne de vêtements qui sera effective d’ici décembre. Cette marque de parfum se nommera «X Lô». Je veux, à l’instar des stars comme Cristiano Ronaldo, Brad Pitt, etc., pouvoir créer des produits dérivés avec mon image.
Quelle est votre ambition ?
Le rêve de tout lutteur est de devenir «Roi des arènes» et je le serai sous peu, Inch Allah.
Les gens parlent de Vip, mais ce sont les journalistes qui ont collé le mot Vip. Pour moi, tous les lutteurs sont des Vip. Tout le monde ne pouvait pas venir à la réunion. On a choisi certains pour discuter et au cours des échanges, le mot Vip est sorti. C’est la seule réunion et il n’y en a pas encore eu d‘autres. Je pense que c’était toujours dans le souci de bien faire. On voulait faire avancer les choses et on espérait que tous les lutteurs allaient tirer dans la même direction. Malheureusement, les gens n’ont pas compris nos motivations. Il n’existe pas de Vip dans l’arène.
Comment voyez-vous tous ces bruits autour de l’arène ces temps derniers ?
L’arène ne peut pas se dissocier des disputes avec tous ces millions qu’elle brasse. Tout finit autour d’une table de négociations pour trouver une entente. Tous les lutteurs n’ont pas les mêmes ambitions, les mêmes problèmes et visions. Le Cng a initié une série de rencontres avec les démembrements de la lutte et on espère, au finish, que des changements vont être opérés.
Qui sont les potentiels adversaires de Modou Lô ?
Je n’ai pas un problème d’adversaire dans l’arène. Il n’y a jamais eu une lenteur pour ficeler un combat. Ce ne sont pas les promoteurs qui organisent les affiches, mais plutôt l’arène. Si mon affiche avec Tapha Tine, Balla Gaye n°2 ou Eumeu Sène s’impose, je nouerai mon «nguimb». «Lamb mooy bollé mbeur yi».
Au-delà du lutteur, Modou Lô est devenu un homme d’affaires…
Il faut distinguer Modou Lô l’athlète, de l’humanitaire et du businessman. D’ailleurs, pour l’homme d’affaires que je suis, je m’apprête à lancer ma marque de parfum pour le mois de novembre après avoir lancé ma ligne de vêtements qui sera effective d’ici décembre. Cette marque de parfum se nommera «X Lô». Je veux, à l’instar des stars comme Cristiano Ronaldo, Brad Pitt, etc., pouvoir créer des produits dérivés avec mon image.
Quelle est votre ambition ?
Le rêve de tout lutteur est de devenir «Roi des arènes» et je le serai sous peu, Inch Allah.
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