Une fois le corps déposé dans la fosse creusée plus tôt dans l'après-midi, une quinzaine de participants, uniquement des hommes, jeunes pour la plupart, ont commencé à le recouvrir de terre à l'aide de pelles et de pioches.
Auparavant, ils avaient prié ensemble, ont constaté les journalistes tenus en dehors du cimetière, placé sous la surveillance des gendarmes et d'un hélicoptère.
Le cimetière, théoriquement fermé à cette heure-là, a été ouvert spécialement pour cette cérémonie en petit comité. Les obsèques du tueur au scooter ont donc bien eu lieu après avoir donné lieu à un imbroglio d'une journée.
Elles ne pouvaient avoir lieu qu'en France, l'Algérie ayant refusé au dernier moment d'accepter que ce cadavre encombrant soit enterré sur son sol.
Programmées jeudi après-midi à 17H00 à Cornebarrieu, elles ont subi un nouveau contretemps quand le maire socialiste de Toulouse, Pierre Cohen, a annoncé les reporter de 24 heures et s'est tourné vers l'Etat pour qu'il trouve une autre solution. Un accord a finalement été trouvé entre toutes les parties prenantes.
SOURCE:7sur7.be
Auparavant, ils avaient prié ensemble, ont constaté les journalistes tenus en dehors du cimetière, placé sous la surveillance des gendarmes et d'un hélicoptère.
Le cimetière, théoriquement fermé à cette heure-là, a été ouvert spécialement pour cette cérémonie en petit comité. Les obsèques du tueur au scooter ont donc bien eu lieu après avoir donné lieu à un imbroglio d'une journée.
Elles ne pouvaient avoir lieu qu'en France, l'Algérie ayant refusé au dernier moment d'accepter que ce cadavre encombrant soit enterré sur son sol.
Programmées jeudi après-midi à 17H00 à Cornebarrieu, elles ont subi un nouveau contretemps quand le maire socialiste de Toulouse, Pierre Cohen, a annoncé les reporter de 24 heures et s'est tourné vers l'Etat pour qu'il trouve une autre solution. Un accord a finalement été trouvé entre toutes les parties prenantes.
SOURCE:7sur7.be