Amnesty International Sénégal, la Ligue Sénégalaise des Droits de l’Homme (LSDH) et la Rencontre Africaine pour la Défense des Droits de l’Homme (RADDHO) sont indignées par la mort de Kécouta Sidibé, suite à des actes de torture, et autres peines ou traitements cruels, inhumains et dégradants perpétrés par des gendarmes de la Brigade de Kédougou.
Kécouta Sidibé, Balla Sidibé et Bamboudou Mady ont été arrêtés à leur domicile dans la nuit du dimanche 12 août 2012 par des gendarmes de la brigade de Kédougou qui les accusaient de vente et d’usage de chanvre indien. Selon la famille, les trois jeunes gens, et Kécouta Sidibé particulièrement ont été l’objet de pires brutalités pendant leur arrestation et leur conduite à la brigade de gendarmerie. La famille a été informée du décès de Kécouta Sidibé ce lundi 13 août alors qu’elle apportait à manger aux détenus.
Amnesty International Sénégal, la Ligue Sénégalaise des Droits Humains et la RADDHO condamnent la pratique de la torture et des mauvais traitements qui est ancrée au sein de la police et de la gendarmerie sénégalaises. Elles exigent l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire pour déterminer les circonstances exactes de la mort de Kécouta Sidibé et que les auteurs de ce crime odieux soient traduits en justice.
Kécouta Sidibé, Balla Sidibé et Bamboudou Mady ont été arrêtés à leur domicile dans la nuit du dimanche 12 août 2012 par des gendarmes de la brigade de Kédougou qui les accusaient de vente et d’usage de chanvre indien. Selon la famille, les trois jeunes gens, et Kécouta Sidibé particulièrement ont été l’objet de pires brutalités pendant leur arrestation et leur conduite à la brigade de gendarmerie. La famille a été informée du décès de Kécouta Sidibé ce lundi 13 août alors qu’elle apportait à manger aux détenus.
Amnesty International Sénégal, la Ligue Sénégalaise des Droits Humains et la RADDHO condamnent la pratique de la torture et des mauvais traitements qui est ancrée au sein de la police et de la gendarmerie sénégalaises. Elles exigent l’ouverture immédiate d’une enquête judiciaire pour déterminer les circonstances exactes de la mort de Kécouta Sidibé et que les auteurs de ce crime odieux soient traduits en justice.