Dans L’Equipe, le jeune attaquant se confie sur son adaptation difficile au monde du football professionnel. «J’ai aussi été arnaqué par les agents. Certains prenaient mon argent sans que je le sache, ils ramassaient mes primes à la signature, faisaient des trucs bizarres», raconte-il au sujet de ses années en Russie.
Si tu perds, c’est la catastrophe
De Sion, Moussa Konaté semble plutôt garder un bon souvenir, particulièrement marqué par l’expérience de la Coupe. «Les supporters adorent la Coupe, mais on n’est pas allés en finale, alors que le club l’avait remportée treize fois. Si tu perds dans cette compétition, c’est la catastrophe!», explique-t-il dans le quotidien français.
Entre 2014 et 2017, l’international sénégalais a marqué 35 buts en Super League et 11 buts en Coupe de Suisse. «J’ai voulu partir à la fin de la première saison, le président (Christian Constantin) ne voulait pas. Il était attaché à moi, peut-être ! Il demandait une somme…», confie-il avant de préciser: «Il variait. Il a démarré à quatre millions d’euros. Il est monté jusqu’à quinze. C’était un peu dur pour les clubs.»
Finalement, Konaté s’en est allé à Amiens (actuel 16e de Ligue 1) à l’été 2017. «Maintenant, je prends mes propres décisions. C’est à moi de gérer mon existence, mon plan de carrière. J’ai repris ma vie en main.»
Si tu perds, c’est la catastrophe
De Sion, Moussa Konaté semble plutôt garder un bon souvenir, particulièrement marqué par l’expérience de la Coupe. «Les supporters adorent la Coupe, mais on n’est pas allés en finale, alors que le club l’avait remportée treize fois. Si tu perds dans cette compétition, c’est la catastrophe!», explique-t-il dans le quotidien français.
Entre 2014 et 2017, l’international sénégalais a marqué 35 buts en Super League et 11 buts en Coupe de Suisse. «J’ai voulu partir à la fin de la première saison, le président (Christian Constantin) ne voulait pas. Il était attaché à moi, peut-être ! Il demandait une somme…», confie-il avant de préciser: «Il variait. Il a démarré à quatre millions d’euros. Il est monté jusqu’à quinze. C’était un peu dur pour les clubs.»
Finalement, Konaté s’en est allé à Amiens (actuel 16e de Ligue 1) à l’été 2017. «Maintenant, je prends mes propres décisions. C’est à moi de gérer mon existence, mon plan de carrière. J’ai repris ma vie en main.»