"Qui aurait pu imaginer qu’un jour notre pays atteindrait un tel niveau de violences et d’irresponsabilités ? N’eût été l’intervention de la police locale de Chicago, ce Sénégalais, M. Souleymane Jules Diop, serait passé de vie à trépas", ajoute Niasse. Qui précise que "parce que, tout simplement, il a voulu exprimer, à l’occasion d’un débat public, des idées, des opinions, une position qui n’était pas conforme à la volonté des adeptes de la pensée unique".
Le leader de l’Alliance des forces de progrès (Afp) estime par ailleurs dans la même déclaration rendue publique dimanche à Fatick que "les problèmes du pays ont des solutions". Mais pour lui, "il convient, avant tout, d’élaborer et de mettre en œuvre, sur une période maximale de vingt quatre mois, un Programme d’Urgence dans le but de réhabiliter – et cela est tout à fait possible – les trois secteurs prioritaires du développement". Il s’agit de "la production, de la consommation et des consommateurs et, enfin, des infrastructures". Précisément, selon Moustapha Niasse, il s’agit de comprendre que "le redressement de l’économie sénégalaise et la lutte contre la pauvreté ne peuvent être atteints comme objectifs prioritaires que si les mesures envisagées et à entreprendre commencent par le monde rural, celui des paysans, des pêcheurs, des éleveurs et des artisans" ? Et cela se décline en termes de "reprise en main dès le mois de janvier 2009" de la filière avec "une dotation en semences d’arachide de première qualité, pour une quantité minimale de 100.000 tonnes".
Pour l’Afp, "ce Programme prioritaire d’amorce de la réhabilitation de la filière arachidière doit intégrer la question des engrais". Et "si les Industries Chimiques Sénégalaises (I.C.S.) ne peuvent plus en produire suffisamment, il faut commander à l’extérieur les divers types d’engrais destinés à la production d’arachides et de céréales". Les ressources nécessaires pour financer ce programme "seront tirées des économies réalisables avec la suppression du Sénat, la réduction de moitié des salaires des ministres et des nombreux conseillers que Me Abdoulaye Wade entretient inutilement et qui n’ont aucun rendement pour la communauté nationale". De même, "les voyages du Chef de l’Etat doivent être réduits et il doit être mis fin à cette croisade épuisante et improductive entreprise, tout azimut à la recherche effrénée de distinctions de tous genres et de décorations inutiles". Niasse estime que c’est là le vrai " souci du concret".
Moustapha Niasse estime aussi que "les mesures qui doivent être prises, dans le cadre de ce programme d’urgence, en faveur du monde rural doivent aussi s’étendre aux populations des villes". Aussi propose-t-il une série de mesures pour freiner "l’inflation qui affecte les prix des denrées de première nécessité", susciter "la disparition progressive et accélérée des stocks de riz destinés à la consommation", freiner "la rareté du gaz domestique qui menace le peu de forêts qui nous restent" etc.
De même, "le bradage des réserves foncières de l’Etat et des espaces domaniaux placés sous sa responsabilité, opérations spéculatives dont tirent profits une mafia et des affairistes impénitents ne saurait durer plus longtemps". Car, dit-il, "ce patrimoine appartient au peuple et il doit être protégé". De même, la vente, dans des conditions totalement nébuleuses, des actions de l’IPRES dans le capital de la SONATEL, à des privés masqués, le projet de vendre à des privés de même acabit des actions de l’Etat dans le même capital de la SONATEL, "s’inscrivent en droite ligne dans la veine des innombrables actes de mal gouvernance du régime en place".
Le leader de l’Alliance des forces de progrès (Afp) estime par ailleurs dans la même déclaration rendue publique dimanche à Fatick que "les problèmes du pays ont des solutions". Mais pour lui, "il convient, avant tout, d’élaborer et de mettre en œuvre, sur une période maximale de vingt quatre mois, un Programme d’Urgence dans le but de réhabiliter – et cela est tout à fait possible – les trois secteurs prioritaires du développement". Il s’agit de "la production, de la consommation et des consommateurs et, enfin, des infrastructures". Précisément, selon Moustapha Niasse, il s’agit de comprendre que "le redressement de l’économie sénégalaise et la lutte contre la pauvreté ne peuvent être atteints comme objectifs prioritaires que si les mesures envisagées et à entreprendre commencent par le monde rural, celui des paysans, des pêcheurs, des éleveurs et des artisans" ? Et cela se décline en termes de "reprise en main dès le mois de janvier 2009" de la filière avec "une dotation en semences d’arachide de première qualité, pour une quantité minimale de 100.000 tonnes".
Pour l’Afp, "ce Programme prioritaire d’amorce de la réhabilitation de la filière arachidière doit intégrer la question des engrais". Et "si les Industries Chimiques Sénégalaises (I.C.S.) ne peuvent plus en produire suffisamment, il faut commander à l’extérieur les divers types d’engrais destinés à la production d’arachides et de céréales". Les ressources nécessaires pour financer ce programme "seront tirées des économies réalisables avec la suppression du Sénat, la réduction de moitié des salaires des ministres et des nombreux conseillers que Me Abdoulaye Wade entretient inutilement et qui n’ont aucun rendement pour la communauté nationale". De même, "les voyages du Chef de l’Etat doivent être réduits et il doit être mis fin à cette croisade épuisante et improductive entreprise, tout azimut à la recherche effrénée de distinctions de tous genres et de décorations inutiles". Niasse estime que c’est là le vrai " souci du concret".
Moustapha Niasse estime aussi que "les mesures qui doivent être prises, dans le cadre de ce programme d’urgence, en faveur du monde rural doivent aussi s’étendre aux populations des villes". Aussi propose-t-il une série de mesures pour freiner "l’inflation qui affecte les prix des denrées de première nécessité", susciter "la disparition progressive et accélérée des stocks de riz destinés à la consommation", freiner "la rareté du gaz domestique qui menace le peu de forêts qui nous restent" etc.
De même, "le bradage des réserves foncières de l’Etat et des espaces domaniaux placés sous sa responsabilité, opérations spéculatives dont tirent profits une mafia et des affairistes impénitents ne saurait durer plus longtemps". Car, dit-il, "ce patrimoine appartient au peuple et il doit être protégé". De même, la vente, dans des conditions totalement nébuleuses, des actions de l’IPRES dans le capital de la SONATEL, à des privés masqués, le projet de vendre à des privés de même acabit des actions de l’Etat dans le même capital de la SONATEL, "s’inscrivent en droite ligne dans la veine des innombrables actes de mal gouvernance du régime en place".