"Outre l’assistance que vous apportez au chef de l’Etat, au gouvernement et au Parlement, par la permanence de votre action, vous veillez à la sauvegarde du patrimoine public, à l’optimisation des ressources disponibles, à la régularité et à la sincérité des opérations effectuées sur les finances publiques", a déclaré M. Niasse.
Il recevait le rapport 2012 de la Cour des comptes. Le document lui a été remis par le président de ce corps de contrôle, Mamadou Hady Sarr.
"Il me plait de vous rendre hommage et de vous assurer le soutien de l’Assemblée nationale dans l’accomplissement des tâches multiples qui vous sont dévolues", a dit le président de l'Assemblée nationale, en s'adressant à M. Sarr et à ses collègues.
Moustapha Niasse assure que ''l’Assemblée nationale fera de ce rapport le meilleur usage possible".
Pour ce faire, elle va prendre connaissance des "constats", des "recommandations" et des "suggestions" de la Cour des comptes, "pour que le bien public, notre patrimoine commun, soit respecté par toutes et tous", a ajouté M. Niasse.
Il est d’avis que "toutes les missions qui contribuent à ériger la transparence en règle, pour la permanence de la bonne gouvernance, notamment la production de ce rapport public par la Cour des comptes, participent d’une exigence populaire fortement exprimée, c’est-à-dire de la consolidation de notre démocratie".
Saluant "la connaissance profonde" qu’a Moustapha Niasse de "la fonction de contrôle", le premier président de la Cour des comptes lui a demandé d’être "le relais" de l'organe de contrôle auprès du président de la République, Macky Sall, pour "une discrimination positive" en faveur de cette institution de contrôle.
Il a rappelé que la Cour des comptes avait "accusé un léger retard". Mais "maintenant, ce retard est presque résorbé, parce que les travaux sur le rapport 2013 sont déjà bouclés. Il ira bientôt à l’impression", a indiqué Mamadou Hady Sarr.
Le rapport 2012 comprend trois parties, selon M. Sarr.
"La première partie, c’est le contrôle des lois de finances et des administrations financières. Il y a le rapport sur les lois de finances 2009 et 2010. Il y a eu aussi le contrôle des administrations, dont le Fonds de promotion économique", a expliqué M. Sarr.
La deuxième partie concerne "les autres administrations et les collectivités locales (Louga, Tambacounda, etc.). Pour ce qui est de l’administration, il y a l’audit de la Commission du pèlerinage à La Mecque", a ajouté M. Sarr.
''La dernière partie [concerne] les entreprises et les projets publics. Là il y a aussi l’audit de la Société africaine de raffinage (SAR), du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD)", a-t-il relevé.
APS
Il recevait le rapport 2012 de la Cour des comptes. Le document lui a été remis par le président de ce corps de contrôle, Mamadou Hady Sarr.
"Il me plait de vous rendre hommage et de vous assurer le soutien de l’Assemblée nationale dans l’accomplissement des tâches multiples qui vous sont dévolues", a dit le président de l'Assemblée nationale, en s'adressant à M. Sarr et à ses collègues.
Moustapha Niasse assure que ''l’Assemblée nationale fera de ce rapport le meilleur usage possible".
Pour ce faire, elle va prendre connaissance des "constats", des "recommandations" et des "suggestions" de la Cour des comptes, "pour que le bien public, notre patrimoine commun, soit respecté par toutes et tous", a ajouté M. Niasse.
Il est d’avis que "toutes les missions qui contribuent à ériger la transparence en règle, pour la permanence de la bonne gouvernance, notamment la production de ce rapport public par la Cour des comptes, participent d’une exigence populaire fortement exprimée, c’est-à-dire de la consolidation de notre démocratie".
Saluant "la connaissance profonde" qu’a Moustapha Niasse de "la fonction de contrôle", le premier président de la Cour des comptes lui a demandé d’être "le relais" de l'organe de contrôle auprès du président de la République, Macky Sall, pour "une discrimination positive" en faveur de cette institution de contrôle.
Il a rappelé que la Cour des comptes avait "accusé un léger retard". Mais "maintenant, ce retard est presque résorbé, parce que les travaux sur le rapport 2013 sont déjà bouclés. Il ira bientôt à l’impression", a indiqué Mamadou Hady Sarr.
Le rapport 2012 comprend trois parties, selon M. Sarr.
"La première partie, c’est le contrôle des lois de finances et des administrations financières. Il y a le rapport sur les lois de finances 2009 et 2010. Il y a eu aussi le contrôle des administrations, dont le Fonds de promotion économique", a expliqué M. Sarr.
La deuxième partie concerne "les autres administrations et les collectivités locales (Louga, Tambacounda, etc.). Pour ce qui est de l’administration, il y a l’audit de la Commission du pèlerinage à La Mecque", a ajouté M. Sarr.
''La dernière partie [concerne] les entreprises et les projets publics. Là il y a aussi l’audit de la Société africaine de raffinage (SAR), du Programme national de lutte contre le paludisme (PNLP) et du Centre des œuvres universitaires de Dakar (COUD)", a-t-il relevé.
APS