L’enfant de Adja Marietou fall , justement qu’il lui dédie rend hommage non seulement à sa chère mère mais aussi à toutes les femmes du monde ; incitant les enfants à respecter leurs parents .il scandait « bou sa yaye wakhè nga sani lokho , bou baay wakhè nga sani lokho , foo dèèm touti thi yaawla ».
Il disait également « loo doul defaal sa yaay diko defal yayou kenèèn sentouthia ya bakh nakh sa bopp laa ». sa maitrise de la langue kothie barma lui confère une possibilité de composer avec aisance des proverbes qui jusqu’à présent sont utilisés par bon nombre de gens « kouy liguey aak kouy weurr di wakh bou weer dewè mounougno yeem resultat » .
Dire que ndongo lo aimait serigne fallou est un pléonasme mais il faut le dire car les différentes versions de la chanson dédiée au cheikh en dit long sur ses talents car il nous a gratifier de pas moins de cinq versions dont les unes plus percutantes que les autres .
Ndongo a su entrer dans le cœur des mélomanes par son feeling (occupation scénique),son look vestimentaire mais aussi par sa voix qui tranchait carrément avec ce que l’on a l’habitude de voir ou mieux d’entendre .
Ndongo lo contrairement au personnage de Ben Okri dans flowers and shadows qui avait horreur de se rappeler du moindre détail de son passé rejetant en bloc toute personne ou toute chose susceptible de lui apporter un flashback ; lui (Ndongo) avait l’habitude de faire référence à son passé dans ses discours mais aussi et surtout dans ses chansons .
Ndongo à travers la chanson dédiée à ses amis d’enfance « kharite » et celle dédiée a momar gueye frère ainé de Ndiamè celui qu’il surnomma son jumeau « boo ndieukoon kou waay dagnoulay guenè »fait preuve de reconnaissance car dans un dialogue avec Baye Demba Faye le frère cadet à Mbaye Dieye Faye incite son monde à la reconnaissance car soutient-il « kou fatè lilla faal dinga folekou » .
Le courage non plus ne faisait defaut a l’enfant de pikine qui, sachant qu’il était malade et gravement a tenu à servir ses fans jusqu’à la fin de ses jours. Il luttait contre une maladie qui le rongeait et ses détracteurs qui tiraient à boulet rouge sur lui. Et il avait l’habitude à ses fans de ne répondre à personne car disait-il « mbiirmi dina lèèr » mais un soir du haut du podium
Du ravin night il decide de revenir sur les rumeurs qui couraient à son sujet car dit-il « sa papa daaf nema ndongo lo maniko niang , mounima weedi dou ragal seetaal sa deerla tèè kou mounoul yakh daay wakh lou gnaaw ndongo waan leen guinaw nga deem »
Il revient à chacun de nous de saluer le courage de ce garçon qui comme il l’a promis « dii beguel fansyi bamay sangooo soufsi » a été le serviteur du peuple jusqu’à la dernière minute de sa vie.
Porte étendard de la banlieue ,il revendiquait haut et fort sa provenance de la banlieue ,pikine , ville qui l’a vu naitre et grandir et qui lui était tellement chère qu’il disait « loumou goudi goudi loumou leundeum leundeum pikine laay fanaan ».il fait ainsi partie des premiers qui ont entamé l’œuvre de dédiabolisation de la banlieue ;faire comprendre à qui veut savoir que l’on peut venir du plus profond de la banlieue sans moyen et finir à la plus haute marche du podium et ceci seul le travail peut nous le concéder .
Il disait également « loo doul defaal sa yaay diko defal yayou kenèèn sentouthia ya bakh nakh sa bopp laa ». sa maitrise de la langue kothie barma lui confère une possibilité de composer avec aisance des proverbes qui jusqu’à présent sont utilisés par bon nombre de gens « kouy liguey aak kouy weurr di wakh bou weer dewè mounougno yeem resultat » .
Dire que ndongo lo aimait serigne fallou est un pléonasme mais il faut le dire car les différentes versions de la chanson dédiée au cheikh en dit long sur ses talents car il nous a gratifier de pas moins de cinq versions dont les unes plus percutantes que les autres .
Ndongo a su entrer dans le cœur des mélomanes par son feeling (occupation scénique),son look vestimentaire mais aussi par sa voix qui tranchait carrément avec ce que l’on a l’habitude de voir ou mieux d’entendre .
Ndongo lo contrairement au personnage de Ben Okri dans flowers and shadows qui avait horreur de se rappeler du moindre détail de son passé rejetant en bloc toute personne ou toute chose susceptible de lui apporter un flashback ; lui (Ndongo) avait l’habitude de faire référence à son passé dans ses discours mais aussi et surtout dans ses chansons .
Ndongo à travers la chanson dédiée à ses amis d’enfance « kharite » et celle dédiée a momar gueye frère ainé de Ndiamè celui qu’il surnomma son jumeau « boo ndieukoon kou waay dagnoulay guenè »fait preuve de reconnaissance car dans un dialogue avec Baye Demba Faye le frère cadet à Mbaye Dieye Faye incite son monde à la reconnaissance car soutient-il « kou fatè lilla faal dinga folekou » .
Le courage non plus ne faisait defaut a l’enfant de pikine qui, sachant qu’il était malade et gravement a tenu à servir ses fans jusqu’à la fin de ses jours. Il luttait contre une maladie qui le rongeait et ses détracteurs qui tiraient à boulet rouge sur lui. Et il avait l’habitude à ses fans de ne répondre à personne car disait-il « mbiirmi dina lèèr » mais un soir du haut du podium
Du ravin night il decide de revenir sur les rumeurs qui couraient à son sujet car dit-il « sa papa daaf nema ndongo lo maniko niang , mounima weedi dou ragal seetaal sa deerla tèè kou mounoul yakh daay wakh lou gnaaw ndongo waan leen guinaw nga deem »
Il revient à chacun de nous de saluer le courage de ce garçon qui comme il l’a promis « dii beguel fansyi bamay sangooo soufsi » a été le serviteur du peuple jusqu’à la dernière minute de sa vie.
Porte étendard de la banlieue ,il revendiquait haut et fort sa provenance de la banlieue ,pikine , ville qui l’a vu naitre et grandir et qui lui était tellement chère qu’il disait « loumou goudi goudi loumou leundeum leundeum pikine laay fanaan ».il fait ainsi partie des premiers qui ont entamé l’œuvre de dédiabolisation de la banlieue ;faire comprendre à qui veut savoir que l’on peut venir du plus profond de la banlieue sans moyen et finir à la plus haute marche du podium et ceci seul le travail peut nous le concéder .
Ndongo Lo Niang est venu apporter la rupture à une certaine tradition , bafouer l’ordre qui semblait préétabli constituant la source à laquelle viennent se désaltérer pas mal d’artistes actuels car ce que l’on note quand on prête attention à ce qui est entrain de se passer cinq après sa disparition que tous font du « Ndongo lo « ;si ce ne sont pas ses paroles , c’est sa voix sinon c’est tout simplement son look vestimentaire qui était propre à lui. Ainsi il avait raison quand il affirmait l’ors d’une soirée « maan maay gouy gou daargui khaleyi thi maan lagni dianguè yeeg ».
De nos jours le thème de la mère occupe une place centrale dans la chanson c’est grâce à Ndongo , actuellement presque tous les artistes nous gratifier d’une chanson dédié à leur maman .et en vérité ils sont de prés ou de loin été influencé par le fils de Mbagnick Niang qui, dès l’entame de sa carrière de sa carrière rendit hommage à sa mère et dans sa production posthume dans « seuy » qui est un chef-d’œuvre il rend un dernier hommage à sa mère « sama yaay dafdon yanou maat wouti keur baay mbagnick niang. Sama diabar djithi keurgui royaal sama yaay …. »sans compter le tube « beugnaa kou beug yayaam ».
Ndongo lo aura tracé le chemin qui est long et parsemé d’embuches mais comme il le soutient deukou banekh boo guiss yoonwi dafay tiss boko gnemè banekhou boko gnemewoul doo deem baay banekhou boko gnemewoul doo deem baay banekhou ».il fait partie de ceux qui ont eu le courage de déblayer un terrain aussi cahoteux et si actuellement beaucoup de jeunes ont la latitude de s’affirmer sur la scène musicale ,ils le doivent en partie au disciple de serigne fallou qui affirmait sans cesse serigne fallou gnoun sougnouy mbiir dou diekh ndakh yaaw saay mbir dou diekh tè aam sang dou diekhlè diaam baa dou diekhlè daraa »il a raison car il s’en est allé certes mais son nom sera gravé jamais dans les anales de l’histoire.et le commun des mortels sera tenté de se demander comment en si peu de temps un jeune de moins de trente ans peut-il servir au peuple sénégalais un plat si délicieux . ce garçon avait un don indéniable car on se rend compte qu’il lui arrivé de créer séance tenante une chanson (conférez-vous au titre « mounoumalla bayi »)et ceci me donne l’occasion de rendre hommage aussi à l’équipe de musiciens qui se trouvaient derrière lui car suivre avec le rythme un artiste aussi talentueux qu’imprévisible n’était pas chose aisée . il avait vraiment un don pour la chanson de par sa voix et de par ses thèmes ,il l’a reconnu et l’a dit dans son morceau « lima done »il disait qu’il est devenu ce qu’il grâce à DIEU et l’autre est ce qu’il est ce qu’il car DIEU en a décidé ainsi « limadoon dou yaaw dou maan yallala »
Ndongo ,tu es certes parti mais tu es à jamais présent parmi nous car le vrai artiste ne meurt jamais car à chaque fois que l’on revisite son œuvre c’est comme une renaissance pour lui ; et toi même ne le disais tu pas dans ton tube intitulé fallou « ndanaan bou dewè dieuf dieu dou null ndakh netaligaa » . les générations contemporaines et celles d’après gagneraient à faire de ton œuvre et de ta vie un cahier de route pour affronter la longue marche que constitue la vie.
Ndongo tu allé certes comme un météore mais comme disait julie burchill « les larmes sont parfois une réponse à la mort. Quand une vie a été vécue vraiment honnêtement ,vraiment avec succès ,ou simplement vraiment ,la meilleure réponse à la ponctuation finale de la mort est le sourire » donc Ndongo que t’accueille dans son paradis. 11 likhlass.
BOYDAHRA DJOLOFF(massakh2002@yahoo.it)
De nos jours le thème de la mère occupe une place centrale dans la chanson c’est grâce à Ndongo , actuellement presque tous les artistes nous gratifier d’une chanson dédié à leur maman .et en vérité ils sont de prés ou de loin été influencé par le fils de Mbagnick Niang qui, dès l’entame de sa carrière de sa carrière rendit hommage à sa mère et dans sa production posthume dans « seuy » qui est un chef-d’œuvre il rend un dernier hommage à sa mère « sama yaay dafdon yanou maat wouti keur baay mbagnick niang. Sama diabar djithi keurgui royaal sama yaay …. »sans compter le tube « beugnaa kou beug yayaam ».
Ndongo lo aura tracé le chemin qui est long et parsemé d’embuches mais comme il le soutient deukou banekh boo guiss yoonwi dafay tiss boko gnemè banekhou boko gnemewoul doo deem baay banekhou boko gnemewoul doo deem baay banekhou ».il fait partie de ceux qui ont eu le courage de déblayer un terrain aussi cahoteux et si actuellement beaucoup de jeunes ont la latitude de s’affirmer sur la scène musicale ,ils le doivent en partie au disciple de serigne fallou qui affirmait sans cesse serigne fallou gnoun sougnouy mbiir dou diekh ndakh yaaw saay mbir dou diekh tè aam sang dou diekhlè diaam baa dou diekhlè daraa »il a raison car il s’en est allé certes mais son nom sera gravé jamais dans les anales de l’histoire.et le commun des mortels sera tenté de se demander comment en si peu de temps un jeune de moins de trente ans peut-il servir au peuple sénégalais un plat si délicieux . ce garçon avait un don indéniable car on se rend compte qu’il lui arrivé de créer séance tenante une chanson (conférez-vous au titre « mounoumalla bayi »)et ceci me donne l’occasion de rendre hommage aussi à l’équipe de musiciens qui se trouvaient derrière lui car suivre avec le rythme un artiste aussi talentueux qu’imprévisible n’était pas chose aisée . il avait vraiment un don pour la chanson de par sa voix et de par ses thèmes ,il l’a reconnu et l’a dit dans son morceau « lima done »il disait qu’il est devenu ce qu’il grâce à DIEU et l’autre est ce qu’il est ce qu’il car DIEU en a décidé ainsi « limadoon dou yaaw dou maan yallala »
Ndongo ,tu es certes parti mais tu es à jamais présent parmi nous car le vrai artiste ne meurt jamais car à chaque fois que l’on revisite son œuvre c’est comme une renaissance pour lui ; et toi même ne le disais tu pas dans ton tube intitulé fallou « ndanaan bou dewè dieuf dieu dou null ndakh netaligaa » . les générations contemporaines et celles d’après gagneraient à faire de ton œuvre et de ta vie un cahier de route pour affronter la longue marche que constitue la vie.
Ndongo tu allé certes comme un météore mais comme disait julie burchill « les larmes sont parfois une réponse à la mort. Quand une vie a été vécue vraiment honnêtement ,vraiment avec succès ,ou simplement vraiment ,la meilleure réponse à la ponctuation finale de la mort est le sourire » donc Ndongo que t’accueille dans son paradis. 11 likhlass.
BOYDAHRA DJOLOFF(massakh2002@yahoo.it)