Cette femme aux attributs non négligeables semble heureuse. Mais au fond, ne l’est pas. Qu’est ce qui lui manque alors à cette native de Pikine Guinaw Rails qui a tout eu dans sa vie ? Un homme pour combler le vide placé par un célibat qui n’a fait que durer.
Pourtant, la « lionne de la banlieue » a déjà « goutté au bonheur et aux affres du mariage », mais après son divorce avec le père de Mouhamed, son fils, Ndèye en redemande. Seulement elle devra prendre son mal en patience puisque la gent masculine n’est pas prête à la défier. « J’ai l’impression que les hommes ont peur de moi », laisse-t-elle entendre dans un entretien avec Le Populaire. Pourtant Dame nature ne l’a pas oubliée dans la distribution de « cadeaux » que toute femme aimerait avoir. D’ailleurs elle le reconnaît. « Je suis charmante, dama jongé », se glorifie-t-elle. Mais son charme n’émeut pas d’autant qu’elle n’a même pas un petit ami. Et cela n’est pas sans l’étonner.
Un appel du pied à tous les hommes courageux de ce pays. Mais attention : la promotrice de lutte doublée d’une politicienne qui ne jure que par le wadisme ne veut pas d’un acteur de l’arène encore moins d’un politicien pour lui tenir compagnie. « Je veux avoir un mari sérieux et compréhensif, même s’il n’a pas de gros moyens », briefe celle qui coiffe Sainte Catherine depuis belle lurette. En tout cas, les paris sont ouverts. Bonne chance aux plus téméraires !
Pourtant, la « lionne de la banlieue » a déjà « goutté au bonheur et aux affres du mariage », mais après son divorce avec le père de Mouhamed, son fils, Ndèye en redemande. Seulement elle devra prendre son mal en patience puisque la gent masculine n’est pas prête à la défier. « J’ai l’impression que les hommes ont peur de moi », laisse-t-elle entendre dans un entretien avec Le Populaire. Pourtant Dame nature ne l’a pas oubliée dans la distribution de « cadeaux » que toute femme aimerait avoir. D’ailleurs elle le reconnaît. « Je suis charmante, dama jongé », se glorifie-t-elle. Mais son charme n’émeut pas d’autant qu’elle n’a même pas un petit ami. Et cela n’est pas sans l’étonner.
Un appel du pied à tous les hommes courageux de ce pays. Mais attention : la promotrice de lutte doublée d’une politicienne qui ne jure que par le wadisme ne veut pas d’un acteur de l’arène encore moins d’un politicien pour lui tenir compagnie. « Je veux avoir un mari sérieux et compréhensif, même s’il n’a pas de gros moyens », briefe celle qui coiffe Sainte Catherine depuis belle lurette. En tout cas, les paris sont ouverts. Bonne chance aux plus téméraires !