L’épouse de Moustapha Diouf fait savoir qu’elle ne trouve pas mieux qu’une chaînette autour de la ceinture. C’est d’ailleurs pourquoi elle en compte 100 au détriment des Bine Bine (perles) qu’elle estime démodés.
Sous ou sur – c’est selon -, Diamant noir met une des 30 nuisettes qui se trouvent dans un placard bien fermé de son armoire. Si l’artiste trouve que les Bine Bine ne sont pas In, elle n’a pas relégué au second plan les béthios (petits pagnes) qui certainement doivent accompagner la nuisette. Et des béthios, la « tassoukat » n’en comptabilise pas moins de 10. Ce n’est pas tout. Ndiolé ajoute qu’elle s’est fait confectionnés 50 types de « thiouraye » (encens) partagés dans 50 pots. On comprend aisément pourquoi son mari qui a été chassé du domicile conjugal a porté l’affaire sur la place publique.
Pour paraître belle et attirante, l’artiste s’est tapée un greffage dont le coût est estimé à 240 mille francs. Mais elle précise que ses principaux bailleurs sont ses fans. Des cheveux artificiels d’une telle valeur serait de phase avec un parfum qui avoisine 32000 francs Cfa.
Il faut dire que jusque-là, l’auteure de « Diack Diack » donne l’image d’une femme moderne. Toutefois, elle avoue avoir plus de 100 tenues traditionnelles.
Si la question à savoir « pourquoi Ndiolé danse-t-elle aussi bien » vous taraude l’esprit, trouvez une partie de réponse se trouve dans le fait qu’elle a « levé le pied », la première fois en public à l’âge de 3 ans.
galsentv.com
Sous ou sur – c’est selon -, Diamant noir met une des 30 nuisettes qui se trouvent dans un placard bien fermé de son armoire. Si l’artiste trouve que les Bine Bine ne sont pas In, elle n’a pas relégué au second plan les béthios (petits pagnes) qui certainement doivent accompagner la nuisette. Et des béthios, la « tassoukat » n’en comptabilise pas moins de 10. Ce n’est pas tout. Ndiolé ajoute qu’elle s’est fait confectionnés 50 types de « thiouraye » (encens) partagés dans 50 pots. On comprend aisément pourquoi son mari qui a été chassé du domicile conjugal a porté l’affaire sur la place publique.
Pour paraître belle et attirante, l’artiste s’est tapée un greffage dont le coût est estimé à 240 mille francs. Mais elle précise que ses principaux bailleurs sont ses fans. Des cheveux artificiels d’une telle valeur serait de phase avec un parfum qui avoisine 32000 francs Cfa.
Il faut dire que jusque-là, l’auteure de « Diack Diack » donne l’image d’une femme moderne. Toutefois, elle avoue avoir plus de 100 tenues traditionnelles.
Si la question à savoir « pourquoi Ndiolé danse-t-elle aussi bien » vous taraude l’esprit, trouvez une partie de réponse se trouve dans le fait qu’elle a « levé le pied », la première fois en public à l’âge de 3 ans.
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